(1) Toi ?!

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Chapitre 1 :

Lion, aujourd’hui est votre jour de chance, saisissez l’amour en vol, vous pouvez réussir.

Oui bien sûr comme si j’allais croire ça, des vulgaires mots sur un papier, qui me dirais ce qui allais se passer dans ma vie, mais bien sûr. Nos croyances peuvent être tellement stupide parfois, je ne sais même pas pourquoi je lis ça.  Il y a tellement longtemps que j’ai perdu fois en l’amour, au prince charment, je ne sais même pas si j’ai déjà crue au véritable amour … si je le fais une fois, et je n’aurais pas dû, je n’aurais jamais dû lui offrir mon cœur, je n’aurais jamais du croire que j’avais une chance d’être heureuse avec un homme. Qu’elle discourt pathétique, il avait réussie, il avait tout gagné ! Il m’avait rendu faible, vulnérable et j’en passe …

Soudainement je vis l’heure qui s’affichait à ma montre, par surprise, je fis tomber mon bol sur la table, renversant ainsi mon café, sur mes feuilles de cour. J’étais actuellement en dernière années de droit.  Ma vie se partageait, entre mes cours et mon travail pour payer mes études évidement. J’étais loin d’avoir grandis une cuillère en argent dans la bouche, mais je n’étais pas non plus pauvre, mais l’argent pour mes études mes parents ne l’avais pas, mes parents … plutôt ma mère, mon père ne s’était  jamais préoccuper de moi. J’avais très vite appris à devenir autonome, à ne compter que sur moi-même.  Une bonne et mauvaise chose.

Bref j’étais vraiment en retard pour mon boulot en plus je venais de m’offrir le droit de refaire entièrement, mon travail pour université ! Mais là je n’avais pas le temps ! Je  saisis mon sac, d’une rapidité déconcertante, j’arrivais à ma voiture, et pris la  route jusqu’aux bureaux dans le qu’elle je travaillais. Dans celui-ci, je n’y faisais que du classement interminable de dossier, des photocopies …  En bref, toutes les tâches ingrates qu’on pouvait trouver, elle me revenait, comme un droit. Mais bon je n’avais pas à faire la fine bouche sans ce travail, plus d’étude, plus d’étude, un travail comme celui-ci à vis ! Dans tous les cas je devais y passer. De toute façon, dans  moins d’un an, je pourrais exercer, le droit, une passion qui la toujours été.

J’arrivais au bureau, et croisa Maïlys, une fille toujours souriante, pleine de vie, et qui ne se laisse jamais abattre. Certes parfois, elle rit vraiment pour rien. Mais je l’adore, elle est génial, elle arrive toujours à me rendre le sourire ! A ma vue, elle me sourit discrètement et me dit :

- Bonne chance Pauline !

- Oh merci j’en aurais besoin.

Maïlys, elle n’était pas une étudiante perdu, qui avait trouvé ce travaille désespérément pour payer ses études  comme moi loin de là ! Voilà maintenant deux ans qu’elle travaillait ici, et elle me comprenait tout à fait dans les dures taches, épuisantes, mine de rien que je devais effectuer. Je continuai la discussion tout en me rendant, à la toute  petite pièce, ou était, éparpiller des centaines de dossier dont j’avais pour taches de trier.

- Tu es arrivée à faire ta présentation ?  Lui demandai-je.

- Oui et non.

- Ah oui pourquoi ?

- Ils n’ont pas refusé le projet, mais il m’on coller un directeur marketing qui gérera toute notre section.

- J’espère qu’il ne sera pas un de ses bourreaux de travail !

- Moi, j’espère surtout qu’il soit mignon ! Si je dois me le coltiner pendant six mois, autant, avoir un partis prix. Me répondit-elle le sourire aux lèvres.

- Six mois tu dis ?

- Oui ! Je sais c’est long !

Je regardai ma montre, elle affichait huit heure trente, je mis donc cour à notre conversation.

- Bon, je suis désolé, mais il faut vraiment que j’y aille. Je n’aurais jamais le temps de finir avant ce soir sinon.

- Ok ! A toute à l’heure. Dis, on mange ensemble ce midi ? 

- Oui bien sûr, comme d’habitude.

Je me rendis dans ce que je surnommais « la pièce au mille problème » et commençais mon trie interminable de papier.

Deux longues heures avais passé, plus qu’une et j’étais libérée, pour ma pause déjeuner. Je ne sais pas comment, mais je réussie à faire tomber une pile entière de papier que je venais de triée, je criai alors énerver contre moi-même : « Oh non mais ce n’est pas vraie ! Je ne pouvais pas faire pire comme journée ! »

Effectivement, ma journée, elle avait, comment dire, mal démarrer. J’avais renversé mon bol ce matin, sur mon travail de l’université au qu’elle j’avais passé plus de deux heures, et je me retrouvais  donc obliger de le recopier. De plus j’étais en retard et j’avais dus rouler au-dessus de la vitesse autorisé, me prenant ainsi un PV. Et maintenant, je me retrouve à devoir recommencer à trier des papiers qui m’avais pris plus de deux heures la première fois, alors oui, en y réfléchissant je ne pouvais pas faire pire journée.

J’étais en train de rassembler tous les papiers, quand la porte derrière moi s’ouvrit, une voix d’homme, que je connaissais trop bien se fit entendre. Dès ses premiers mots je savais très biens à qui j’avais affaire.

- Je peux vous aider ?

FLASH BACK : 8 mois plus tôt :

- Je peux vous aider ?

Un homme, au sourire ravageur, aux magnifiques cheveux blond, coiffer en pagaille et aux yeux bleue se tenais devant moi, et il  commençant à m’aider à ramasser mes feuille qui c’était échapper de mon dossier. Une fois, les feuilles toute ramassé je dis :

- Merci beaucoup ! Vous venez de me sauver la vie !

- Je n’irais pas jusque-là !

- A si croyez-moi ! Bon je suis désolé mais je dois y aller je vais être vraiment en retard sinon !

- Attendez ! Le héros du jour a le droit d’avoir le numéro de la jolie jeune femme ?

Je souris à l’entente de cette phrase, puis, je sortis un stylo de mon sac et commençais à écrire mon numéro, tout en disant :

- Voilà pour le héros du jour !

- Merci beaucoup ! Et quand je vous téléphonerais,  je  pourrais vous appeler comment ?

- Pauline.

- Enchanté Pauline moi c’est Thomas.

- A bientôt Thomas. Dis-je en commençant à partir.

FIN DU FLASH BACK

- Qu’est-ce que tu fais ici ?  Dis-je mortifier à sa vue.

Il paraissait, tout autant étonné que moi, pourtant sa réponse se fit avec une incroyable sérénité :

- Je suis le nouveau chef marketing

Pas pire comme journée disais-je ? Je ne pouvais pas mettre plus tromper.

To be continued ...

My loveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant