(8) L'idée d'une conférence

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Chapitre 8 :

Deux semaines c'était écouler depuis que j'avais avoué tout sur mon histoire avec Thomas à Maïlys.  
Deux semaines que j'avais passé à éviter Thomas dès que j'en avais eu la possibilité ce qui avait fait que notre relation de ses deux dernières semaines se résumait à « Bonjour » ou encore « Au revoir » ou bien « Bonne journée ». Ridicule ce petit jeu de « on ne se connaît pas » mais c'est le seul qui me rendais un semblent peut heureuse au du moins qui me faisais me sentir mieux. Moi je le voyais, mieux je me portais.

Non je ne lui avais jamais pardonné. Oui je lui en voulais terriblement. 
Et pour le moment le petit jeu de tu m'évite, je t'évite était le seul qui fonctionnais.

Et puis je me sentais de mieux en mieux avec Mathis tout était idyllique dans notre relation et je ne laisserai jamais personne gâcher ca ah non ca jamais. Et encore moins Thomas, malheureusement quoi que je fasse tout revenais à lui, je le savais tôt ou tard je devrais out lui dire pour continuer à vivre normale .. non pour vivre et pour pouvoir l’oublier, du moins si seulement je pourrais l’oublier

Flashback

- Pauline ?

- Oui ? Qu’est qu’il y a Mathis ?

- Tout va bien ? Tu avais l’air totalement perdu dans tes pensées.

- Oui, tout va bien ne t’en fais pas tant que tu es près de moi, tout-ira bien.

Je me penchais vers lui pour l’embrasser tendrement et c’est après cela qu’il dit :

- Je t’aime.

Mon cœur se mit à battre à cent à l’heure. Je me sentis me raidir en l’espace de quelques secondes la dernière personne à m’avoir prononcer ses mots étais Thomas, et vu ce qui c’étais passer … Je me sentais très mal, je le savais Mathis n’étais pas Thomas mais cela ne voulait pas dire qu’il réagirais de le même manière. Et si lui aussi m’abandonnais sans aucun remord ? Il n’était peut-être pas Thomas, mais il pouvait très bien être comme Thomas et cela me faisais très peur. C’est à ce moment-là que j’avais réalisé, qu’il fallait que je parle à Thomas.

Encore surprise de ses quelques mots je répondis, ridiculement.

- Je …. Je te propose qu’on aille diner ?

Il paraissait totalement dépiter parce que je venais de dire, ce qui étais normal, mais pour le moment je ne pouvais pas lui dire des mots en les qu’elles je ne croyais pas. Il me répondit tout de même, en tentant d’afficher un sourire pour cacher ses désarrois :

- Très bonne idée.

Je ne voulais pas lui faire de mal, Mathis étais génial, il avait tout du grand prince charment de nos enfances malheureusement je ne vivais pas dans un conte de fées.


Fin du flash back

Tandis que je me rendais à mes occupations habituel au travaille je fus stopper dans élan par Thomas qui me fit signe d'aller à son bureau. Je m’exécutai sans protester. 

Arriver dans celui-ci, je fermai la porte derrière mon passage et lui pris le temps de  replacer soigneusement sa coiffure qu'offrais ses cheveux brun puis il s'exclama:

- J'ai besoin de ton aide.

- Ah oui et depuis quand ?

- Il faut que tu m'accompagne à une conférence.

- Mais oui bien sûr ! Répondis-je sous une certaine ironie.  Autre chose peut-être ? Continuais-je sous le même ton que j'avais employé pour le début de ma phrase. 


- Je suis très sérieux,  bien sûr tu auras une grosse prime à la fin du mois si tu viens.

Là je pensais, que cela pourrait vraiment m'aider pour payer mes études d'avocat.  Il y avait un prix bien sûr,  être avec lui mais cela ne concernait que quelques jours après tout. Et mes parents avaient déjà temps de mal à m'aider à payer mes études. Et puis, je pourrais peut être lui parler de tout  ce qui c’étais passer, du bébé … J ferais du deux en un comme on dit. Même si je ne comprenais pas l'objectif de me le demander à mou je fis abstraction et lui demanda son un ton de voix très brutal:

- Combien de temps ?

- Pour trois jours. 

Trois jours c'est rien pensais-je. Rester auprès de lui trois jours au point au j'en étais qu'est ce que cela pouvait bien faire ? Sous une totale insouciance je pense je lui répondis légèrement septique :

- Très bien,  j'accepte. 

- On part demain. Rajouta-t-il sans aucune gêne.  Viens à mon bureau à cinq heures demain d'accord. 

- D'accord.  Aquisais-je.

Sur ses mots je sortis de son bureau. A peine étais-je sorti que je regrettais d'avoir accepté cette proposition.  Mais j'en avais besoin vraiment besoin. L'argent menait malheureusement le monde et l'argent m'avait conduite à accepter cet accord.  Je devais faire avec.

Une fois hors  du bureau de Thomas que Maïlys viens vers moi la bouche en cœur et me dit:

- Qu'est ce qui te voulait l'autre ? 

- Me parler. 

- Nan ? Tu crois.  Criait-elle dans un esprit total d'ironie.  Non sérieusement. Continuait-elle.

- Il m’a demandé si je pouvais venir à une conférence avec lui.

- Et tu as réagis comment ?

- Étrangement assez bien, et oui j'ai accepté sa proposition. 

- T'as accepté mais c'est génial !

- Génial ? Répétais-je sous l'incompréhension de cet enthousiasme qu'elle mettait dans cette phrase.

- Tu vas pouvoir tout lui dire, et avoir peut-être plus d'explications sur son départ. S’expliquait-elle

-   Je ne sais pas je …

- Promet moi que tu le feras.

- Mais ...

- Tu es une des personnes que je connais le mieux et je suis persuadé d'une chose tu sais. Tu as besoin de ses explications pour continuer tu ne pourras jamais être bien avec Mathis si tu ne les as pas et tu le sais. S’exclamait-elle sous une conviction qui me dépassait.

- Tu me connais mieux que moi-même. Finis-je par cédez.

  
- C'est promis alors ?

- Promis. 

Maïlys croyais plus en ses mots que moi mais elle n'avait pas tort j'en avais besoin j'allais simplement devoir trouver le courage d'obtenir ses informations. Si seulement j'avais ce courage.

My loveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant