Le journal d'une Weasley (Gryffondor) [CORRIGÉE]

Chapitre 12 : Le mur rouge ✅

Le lendemain matin, je le réveillais mais Hermione me fît sursauter car elle était si près de moi. Je m'excusais et elle me dit :

-Ginny ?

-Oui ?

-Je peux te poser une question ?

-Je sais que c'est une question sur le journal Hermione, je ne suis pas débile comme un gnome !

-Oh...Euh et bien. Bredouilla Hermione.

-Vas-y je t'écoute. Dis-je.

-Depuis combien de temps as-tu ce journal ?

-Depuis les vacances de Noël.

-Ah et où l'as tu trouvé ?

-Dans mon grenier.

-Dan ton grenier !

-Bah oui pourquoi ?

-On peut trouver pleins de choses bizarres dans les greniers Ginny.

-Tu insinues que mon grenier est bizarre, ou je me trompe ?

-Non Ginny ! Je n'ai pas dit ça ! Et puis ta maison est magnifique Ginny !!!

-Oui je préfère ça.

-Je t'assure !

-Oui d'accord. Bon qu'est ce que j'ai comme cours. Dis-je en allant chercher mon emploi du temps.

-Tu rigoles j'espère ! Ginny c'est le week-end voyons !

-Oh... Dis-je en rougissant de honte.

-C'est pas grave. Aller vie son va manger !

-Je te suis.

Je m'habillais, je me lavais et nous descendions prendre notre petit-déjeuner. Je m'installais à la table des Gryffondor et je me mis à côté de Harry. Nous discutions quand Ron nous interpella et me dit :

-Ginny je peux te parler ?

-Hum si c'est pour me dire que mon comportement est bizarre c'est même pas la peine d'y penser ! M'exclamais je.

-Non...Je...Je voudrais m'excuser. Dit-il en baissant la tête.

-Tu te souviens de ce que je t'avais dit la dernière fois, j'ai dit que j'allais te tuer ! C'est ce que je vais faire ! Criais je.

Je m'approchais dangereusement de Ron, j'aurai voulu le tuer sauf que quelqu'un me retenais. Je le retournais et je vis que c'était Harry. Il me chuchota :

-Ne fais pas ça Ginny.

-Je dois le faire.

-Pourquoi ?

-Je crois que tu sais déjà la réponse Harry. Maintenant lâche moi !

-Écoutes moi et ensuite je te relâcherai. Si tu le tues ce que tu ne feras pas tu vas le regretter, tu vas t'en vouloir car ce n'était qu'une colère passagère. Imagines la réaction de tes parents en apprenant que leur fils est blessé à cause de leur propre fille.

Il me relâcha et je mangeais silencieusement, je ne parlais pas. Je n'étais pas d'humeur à rigoler et voilà encore une journée de gâchée. Après avoir fini de prendre mon petit-déjeuner, je ne pris même par la peine d'attendre mes amis et mon frère. Pour l'instant je n'ai aucune envie de parler à mon frère. J'allais me réfugier à la bibliothèque mais je croisais Malefoy et il me dit :

-Alors Weasley t'es pas en compagnie de tes amis ?

-Non comme tu le vois Malefoy je suis seule. Ça te vas ?