The Last Chance //Janoskians

I Erika

Assise dans un café près d'une terrasse, je parlait avec ses amies. J'enroula une mèche de ma chevelure blonde autour d'un de mes doigt avant de regarder le ciel bleu d'été. Je voulu prendre une gorge de café, mais me rendit compte que ma tasse était vide. Je partis donc en recommander une nouvelle, laissant mes amies sans moi quelques instants.

Dans le café, la file fessait plusieurs mètres tellement elle était longue. Par chance, je savait patienté, du moins quelques instants, alors je pris tranquillement place dans la file avant d'attendre.

Finalement, alors que ma patience atteignais ses limites mon tour arriva. Je commanda et retourna m'assoir avec mes amies.

Mon iPhone vibra et l'écran d'afficheur montra que ma mère essayais de m'appeler. Je répondis immédiatement, car si je ne répondais pas à ma mère assez vite à son goût et bien... Sa va chauffer!

- Allo maman!

- Bonjour ma chérie! Rentre à la maison veux-tu, j'ai une IMMENSE nouvelle à t'annoncer!

- Hum... Ok d'ac à tantôt mama!

Sur ce, je raccrocha, empoigna mon sac et dis à mes amies que je devais y aller. Évidemment, elles étaient dessus, mais commençais à s'y habituer. J'étais la reine des lâcheuses! Je tourna les talons, empoigna mon longboard et commença la route de 10 minutes environ vers chez moi.

Quand j'arrivais, ma mère m'attendais sur le palier de ma maison. Elle était accompagné de Richard son petit-copain. Depuis que mon père nous avais quitté dans un bête accident de la route, ma mère était en dépression. Quand elle a rencontre Richard tous c'est mis à mieux aller. Pourtant je suis toujours incapable de voir Richard sans pété un câble. C'est simple, je le déteste! J'ai l'impression que ma mère trahis mon père en sortant avec se mec. Alors vous pouvez être sur, que quand je vis Richard dans les parages, je compris que quelque chose se tramais et que sa n'aillait pas être jolie jolie.

- Maman, dis-je d'une voix qui se voulait sans émotions.

- Ma chérie!

- Bonjour Erika.

Je n'en revenais pas, en plus de se pointer chez moi, Richard osait m'adresser la parole! Trop c'est trop!

- Ma chérie, l'IMMENSE nouvelle est que... Richard et moi allons se marier!

- QUOI!?!?!?!, hurlais-je hors de moi, EN PLUS DE FAIRE COMME SI PAPA N'AVAIT JAMAIS EXISTÉ, TU COMPTE TE MARIER AVEC CET... AVEC CET ESCROT.

- ERIKA MARIE BORDELEAU!!! TON PÈRE ET MOI T'AVONS ÉLEVÉ MIEUX QUE CELA!!! EXCUSE TOI IMMÉDIATEMENT!

- JAMAIS! TOI EXCUSE TOI D'AVOIR TRAHIS PAPA!!! TU ME DÉGOUTE, JE TE DÉTESTE.

Et sur se, je partis dans ma chambre en prenant soin de claquer chaque porte derrière moi. Je me coucha sur mon lit et regarda le plafond. Je n'arrivais toujours pas a croire que ma mère est pu faire ça. Elle savait que je détestais Richard, alors à quel réaction s'attendait-elle? Que je saute de joie, que je les félicite et que je leur propose d'être leur demoiselle d'honneur? Et puis quoi encore! Si ma mère m'aimais vraiment, elle passerait plus de temps avec moi qu'avec Richard pour leur ébat. Je regarda mon poignet gauche et les six balafres rouges cicatrisé de puis un moment déjà. Ses six marques me rappellerons pour toujours l'été dernier que j'avais cru fatidique.

L'été dernier, j'étais encore au Québec, la seule province francophone du Canada au lieu d'être à Paris! J'avais trois amies, dont une meilleur et je vivais une vie... plutôt bizarre je dois l'avouer. Mon père était mort l'année d'avant et ma mère était entrer dans une immense dépression. Elle avait lâché son job et passais son temps soûle et drogué. Pour nous nourrir, j'avais été obligé de me trouver une job dans le resto du coin. J'avais juste assez pour nous nourrir toute les deux deux fois par jour. Mais sa me suffisais. Un soir, ma mère a pris de mon argent et a acheter deux billets d'avion pour aller à Paris. Elle venais de ruiner les minces économies que j'avais faite,

Le soir, quand je suis rentrer elle m'a dis qu'on partais à Paris pour avoir une vie meilleur. J'étais dévaster, Le soir venu, j'ai regarder le frigo vide, l'argent que je n'avais plus, ma mère étendu par terre soûle et drogué, les deux billets d'avion sur la table, mon père qui étais mort et qui ne reviendrais pas et je me suis dit que le mieux serais d'en finir une fois pour toute. Et j'ai lâché, j'ai abandonner. J'ai pris un couteau et j'ai voulu en finir.