C'est l'histoire d'une fille qui s'appelle Chanel Boissier et qui a une passion : les chevaux.
Mais un jour elle rencontre un jeune homme au quel elle tombe follement amoureuse.
Mais lui n'accepte pas sa passion et la menace de la quitté.
Va t'elle...
J'étais à moitié évanouie mais j'entendais un peu et je voyais, mais très peu. Je vu Aurelie courir et se précipiter vers moi, elle s'approcha, puis elle se mit àgenoux par terre. Je vus Anthony courir vers moi et me porter comme une princesse. Je l'entendais, il me parlait, il me dit : - Excuse moi, pardonne moi je t'emmène au urgence je viens avec toi, je vais t'accompagner au urgence je suis avec toi ne t'inquiète pas. Il était en pleurs et s'en voulait beaucoup, je voyais bien qu'il était paniqué, à l'idée de se dire que c'était de sa faute et que je ne voudraus surement plus le voir, il répétait les mêmes choses. Mais malgré qu'il me parlait pour pas que je m'endorme avec le choc que j'ai eu à la tête je m'évanouis.
Quelque jours plus tard, je me réveilla, je me retrouva dans une chambre, elle était plutôt belle, elle était comme ça.
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À côté de moi il y avait Aurelie qui pleurait. Dès qu'elle a vu que j'avais ouvert les yeux elle me dit : - Chanel, tu m'a manqué j'ai cru que tu ne te réveillerait jamais. - Où je suis, qu'est ce qui c'est passé, raconte moi tous. - Tu est au urgence. - Pourquoi. - Il y a un mois tu ne te sentais pas bien car Anthony t'ignorai et donc tu es rester chez toi pendant quinze jours, mais tu à du revenir au collège car ta mère allais rentrer chez elle. Une fois revenu au collége, tu as vu Anthony tu as cru qu'il allait venir te dire bonjours, mais il ta ignorer et il est parti voir Lorie, ils ont parlé ensemble, puis après leur discussion ils ce sont embrassés, à cet instant précis tu es tombé dans les pommes et ta tête à eu un choc sur le coup. Aujourd'hui ça fait quinze jours que tu es aux urgences, dans le coma. La première chose que je pensais c'était ou est ma mère, Aurelie me réponda : - Elle est chez elle, elle est venu hier te voir, mais tu dormait encore. - Est-ce que il y a eu des évaluation. -Non il y a rien eu, je t'es pris tous tes devoirs. - On est quel jours aujourd'hui ? - On est le sept novembre. Quelques minutes plus tard, alors que je discutais avec Aurelie une personne frappa à la porte, je reconnus tout de suite le visage de ma mère, malgré qu'elle avait le visage mouillé de pleurs et un peu de maquillage qui avais coulé. Puis Aurelie me regarda et me disa : - Je vais te laisser avec ta mère pour que vous puissiez vous retrouver. - Merci d'avoir été là pour moi à mon réveil, je t'aime. Ma mère s'approcha de moi, elle m'embrassa sur le front et me dit : - Bonjours ma fille, tu m'a manqué. - Toi aussi maman tu m'a manquè. - Mon coeur pourquoi tu m'a pas dit que tu ne mangeait plus et que tu était triste par rapport à un garçon ? - Car tu avais beaucoup de travail, et que je ne voulais pas te stresser en plus de ton travail. Je voyais que ma mère recommença à pleuré dans ses yeux je voyais qu'elle s'en voulait, mais ce n'est pas de sa faute c'est la mienne j'aurai du lui parler ça m'aurai peut-être remonter le moral. Puis ma mère me dit : - Écoute mon coeur si tu remange bien et que tu reprend des forces alors je te ferai une surprise. Dans la tête il y eu des milliers de questions qui se posa dans ma tête. Qu'est-ce que ça pouvais bien être cette surprise, ça ne pouvais pas être l'équitation car ma mère n'avait pas assez d'argent, ça ne peut pas être la danse car ma mère ne peut pas m'emmener, alors je ne sais pas qu'est-ce que ça peut bien être. Quelques heures plus tard après avoir bien discuter avec ma mère elle devait repartir au travaille. J'étais triste mais j'en profitai pour pouvoir me reposer et vous écrire. C'est ma mère qui m'avait apporté mon carnet, car elle c'est que pour moi c'est important de vous écrire car c'est comme ça que j'arrive à surmonter certaines épreuves de ma vie, c'est grâce à vous et à mes amis. Une fois m'être bien reposé je faisa mes devoirs pour bien réviser car je veux avoir mon brevet blanc, je ne veux pas le louper, c'est trop important pour moi de le faire et de le réussir car je veux que ma mére sois fier de moi et mon père aussi malgrè qu'il est parti au ciel à mes trois ans.
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