Kaely: Histoire de gang

Jusqu'au jugement

Je regardais une dernière le monde extérieur... C'est bon je pense que je suis enfin prête pour le hebs je pense...

Ayhan : - Salle pute tout ca c'est de ta faute putain

- Smeh wAllah

Lui : - je m'en blc de tes excuses ma mère pleure à cause de ton idée de merde la

- croit pas que toi aussi ta rien fait d'mal hein t'es dans l'haram et...

Lui : - D'OÙ TU M'PARLE COMME SA HEIN SAL KEHBA ?? C'EST À CAUSE DE TA GUEULE TOUT SA PUTIN

- NAN MAIS ARRÊTE DE...

Un keuf : - TAISEZ VOUS TOUT LES DEUX

Ayhan : D'où tu m'dit de fermé ma gueule hein ?? ta cru j'était ton pd ??

- Ayhan c'est bon la on a compris

Lui : - toi ta gueule espèce de salope va

- bon faut pas m'insulté nan plus hein

Lui : - putain pk je t'ai pas buté quand j'avais l'occasion ??

- mektoub mdrr

Lui : - Mais vasy casse toi wAllah

- allez je sais que tu m'aimes

Il ma lancé un regard de travers moi je lui ai fait mon plus beau sourire.
Bon je vous passe le trajet parce qu'on a fait que s'embrouiller.
Arrivés au commico ils nous ont mis dans des cellules séparés pck sinon jpense qu'à cette heure ci je serais plus de ce monde. Le jour du jugement sera dans 4 jours je n'ai ni avocat ni wallou tfaçon jsais déjà que je vais prendre entre 5 à 8 mois. Je vous passe aussi ces 4 jours parce qu'il y a eu rien d'intéressant.
Donc le jour du jugement les keufs m'ont pris, durant la route je repense à toute ma vie, toutes les galères que j'ai connu, toutes les fois ou Maya me rabaissé alors qu'elle est qu'une pute parmi tant d'autres, toutes les fois ou Wassim me tapait, je me demande comment j'ai fait pour résister durant tout ce temps.
C'est bon, je suis devant le juge, dans la salle il y a personne c'est tout vide.
Bref, Le juge fait son blabla et à la fin il me dit que j'ai pris 6mois j'étais contente même si je ne savais pas qui m'attendais là bas bah j'étais contente quand même mdrr une vrai folle.
Bref je suis dans un fourgon à présent , ils vont me transféré dans une prison de ma ville parce que j'ai demander à être le plus proche possible de là où je vivais.