[✔]《 HANNYA 》 | an assasination classroom fanfiction | ©

六 | 6 | LOSER

[J'ai corrigé les fautes extrêmement voyantes seulement]

La nuit passa rapidement sous les bruits relaxant des grillons environnants. Les deux adolescents ayant oublié de tiré les rideaux de la chambres furent réveillés en même temps.

Il ne restait que trente minutes avant la première sonnerie mais ne restait aucun habit pour Ririchiyo. Aucun de ces vêtements de la veille étaient au moins potables. Tous étaient sales et malodorants. Alors elle regarda l'homme qui était resté au lit ne voulant pas se lever puis réfléchit. Porter une deuxième fois les vêtements de Karma serai trop gênant surtout que les élèves de leur classe pourrait pensé à une autre situation sur le pourquoi du comment. Mais elle n'avait pas le choix pour le moment.
Une idée germa dans sa tête. Elle devait juste pour ça arriver en retard.

«Akabane.
- Quoi ? bailla-t-il
- Prête moi tes vêtements de sport, je te les rendrai demain, on va faire une escale.»

• • •

Maintenant ils étaient là, devant la maison des Ririchiyo. Il était déjà huit heure et les cours avaient, sans doute, déjà commencé.

«Juste Riri-chan... Tu te rends compte que tu vas rentrer par effraction dans ta propre maison ?
- On ne peux pas faire une délit d'effraction dans sa propre habitation. Juste, passe moi ton téléphone.
- Mademoiselle est-elle devenue autoritaire ? »

Voyant le regard noir de Ririchiyo qui lui ordonnait de se taire, il s'exécuta.
Karma avait l'habitude du retard, ce n'était pas grave en soit.
Il regarda la jeune fille composer un numéro inconnu sur son téléphone se demandant qui pourrai-t-elle appeler. Peut-être qu'elle y rentrait son numéro à elle, parce que il lui plaisait. Mais l'adolescent effaça rapidement cette idée de sa tête. Comme si c'était possible.

Il vit ensuite son cellulaire se poser à l'oreille de sa voisine de table. Karma pût percevoir vaguement une voix masculine à travers celui-ci. Sans savoir pourquoi, il était jaloux mais ne dit rien, il n'avait pas son mot à dire.
Après environ cinq minutes, une bip sonore retenti, annonçant l'ouverture portail de la demeure.

Alors Karma suivit Ririchiyo. Elle qui marchait sans rien n'exprimer. Il la suivit gentiment vers la façade de la maison où attendait un grand homme. Le dernier s'inclina à quatre-vingt-dix degrés devant la demoiselle qui ne disait ou ne faisait rien. Elle voulait dire merci, mais ça ne voulait pas sortir de sa bouche.

Elle entra juste chez elle avec un air hautain placardé sur son visage toujours précédée par l'adolescent qui visitait des yeux le riche logis typiquement japonais.

«Où est-ce que tu m'emmène Riri-chan ?
- Qu'est-ce que ça peut te faire ? »

D'un petit rire jeune, Karma evita la question, gêné. Mais après quelques secondes il se demanda depuis quand était-il aussi docile avec une moue contrariée placardée au visage. Il voulait se rebeller pensant que cela était injuste. Mais il la suivit sans rien tenter.