[✔]《 HANNYA 》 | an assasination classroom fanfiction | ©

四 | 4 | HOME SWEET HOME

«Ah ? Mais qui voilà ? N'était-ce pas le monstre me servant de sœur ?» ricana une voix que Ririchiyo ne connaissait que trop bien alors qu'elle allait entrer dans sa chambre

C'était Chiyori. Que faisait-elle ici ? Sa chambre se situait dans l'aile Est de la maison et celle Ririchiyo dans l'aile Ouest. Si elle venait jusqu'ici c'est qu'il y avait un truc qui clochait, et donc que l'élève de classe E risquait quelque chose.

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Chiyori Sherakiin. Sœur cadette de Ririchiyo. Jalouse et possessive.
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«Qu'est-ce que tu prévois Chiyori ? demanda-t-elle méfiante
— Pourquoi tu t'inquiètes grande-sœur ? N'es-tu donc pas la plus forte ?»

Sans répondre, Ririchiyo s'enferma dans sa chambre, laissant la cadette de la famille afficher un sourire mesquin sur le seuil de la porte. Elle ne voulait pas créer d'histoires aujourd'hui. Ses responsables légaux accueillaient des invités importants et les déranger la ferai baisser dans leur estime déjà minuscule.

Fatiguée, le jeune fille s'affala sur son lit respirant un bon coup. Après quelques minutes à regarder son plafond, elle décida de se lever, s'avança vers son bureau et commença à écrire ses premières notes récoltées sur Koro-sensei.

Pendant ce temps là, Chiyori se baladait dans les couloirs de la grande demeure des Sherakiin fredonnant une chanson qui relâchait sa haine contre sa sœur. Chiyori voulait qu'elle meure, parce que Chiyori voulait tout. Absolument tout. Tout ce que Ririchiyo avait elle le voulait. Sauf qu'en ce moment Chiyori n'était pas satisfaite, elle avait remarqué quelque chose. La pitié. Ses parents avait encore de la pitié à l'égard de Ririchiyo, et ça l'avait mis hors d'elle. C'était ses parents pas ceux de ce monstre ! Alors Sherakiin junior réfléchit, et trouva.

Notre protagoniste de petite taille s'était endormie sur son bureau. Elle était tellement exténuée par cette journée.
Elle repensa à bonne action qu'elle avait faite aujourd'hui ce qui lui arracha un léger sourire. Elle avait été elle-même sans que l'esprit d'Hannya vienne l'influencer.
À ce moment là, Sébastien rentra dans la chambre avec trois légers coups sur le bois ciré de la porte.

«Ririchiyo-sama ?»

"Ririchiyo-sama" c'était comme cela que Soushi l'appelait, mais il fallait arrêter de se voiler stupidement la face pensa Ririchiyo. Soushi était mort. La seule personne qu'elle avait jamais aimé était morte.

«Qu'est-ce qu'il y a encore humain stupide? reprit-elle ses esprits et son mauvais caractère
— Vos parents vous appellent dans la salle commune.»

La jeune fille releva la tête inquiète mais se pinça discernement le bras pour se punir de ses propos qui ne pouvaient être repris. On pouvait dire que l'homme en avait l'habitude.
Mais pourquoi ses géniteurs voulaient-ils la voir ? D'habitude ils faisaient tout pour ne pas croiser son regard qu'ils jugeaient de vaniteux, jusqu'à même le faire dormir dans l'endroit le plus éloigné. Alors pourquoi ?
Se mordant la lèvre inférieure, Ririchiyo rejoint le lieu indiqué par Sébastien qui l'a suivie comme tout bon majordome.

Le salle commune était la première salle qu'on accédait en entrant dans la grande maison. C'était comme un grand salon où les domestiques n'avaient pas le droit d'entrer.

Ririchiyo pénétra dans la salle par la double porte, laissant Sébastien à l'extérieur. Sauf que dès qu'elle eu posé le pieds sur la moquette luxueuse de la pièce, elle reçut une claque d'une force si grande la faisant tomber à terre.

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Oreki et Chintanda Sherakiin. Parents de Chiyori et Ririchiyo Sherakiin. Couturier et styliste de renom.
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«Putain! Qu'est-ce que vous me voulez !? cria la collégienne se tenant la joue, larmes au yeux
— Change ton langage jeune fille ! s'esclaffa sa mère Après t'avoir blanchi, nourri, logé. Tu oses nous parler sur ce ton !»

L'élève de la classe End jura intérieurement, savant pertinent qu'elle allait regretter ses mots.

«Je pense que nous avons déjà fait assez pour toi, dis la voix grave de son père. Mais ce que tu as fait est impardonnable !
— Quoi ? Qu'est-ce que j'ai fait ? interrogea Ririchiyo ne comprenant pas
— En plus, elle joue l'innocente après avoir modifié la recette du repas prévu pour les invités ! Quel culot !»

À cet instant, Ririchiyo comprit, elle s'était encore fait avoir. Elle voyait sa petite sœur rire sur le canapé du fond, comme toujours.

«Ririchiyo, prennonca d'un ton ferme le maître de maison. Aujourd'hui tu ne dormira pas dans cette maison, je ne veux plus te voir. Gardes !»

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