[✔]《 HANNYA 》 | an assasination classroom fanfiction | ©

十 | 10 | «YOU'RE THE PERSON I LOVE THE MOST»

[Vous saviez que j'avais un RB ?
Et désolé c'est un peu de la merde ce chap. J'ai l'impression d'avoir fait caca genre.]

     Ririchiyo se réveilla courbaturée et les poignets souffrants. Par réflexe, elle les agita pour voir l'origine de sa gêne et elle se rendit compte sans surprise qu'elle était attachée.
La jeune fille voyait encore flou mais sa vision s'habitua peu à peu à la luminosité environnante. À partir du moment où elle pouvait distinguer les objets elle analysa frénétiquement la pièce. Son regard se porta d'abord vers le plafond qui était relativement élevé, elle en déduit qu'elle se trouvait dans un entrepôt. Puis elle baissa les yeux pour observer en face d'elle : une foule de lycéen.

       Ririchiyo soupira exaspérée. "Ils n'ont que ça à foutre ?", pensait-elle. Ce n'était pas la première fois que la jeune fille était kidnappée, à onze ans et à six ans, c'était la même histoire et pour la même raison : l'argent. Des kidnappings où Hannya l'avait aidé pour s'enfuir.
Au moins kidnapper quelqu'un pour de l'argent pourrait s'avérer logique mais eux c'était juste pour... leurs pulsions sexuelles ? L'adolescente roula des yeux, c'était la raison la plus ridicule depuis sa naissance. "Même le kidnapping pour l'assassinat était plus censé" ironisa ses pensées.

      Elle était ennuyée par cette scène si banale pour sa personne. Un lycéen s'approcha de son côté droit une photo à la main. Curieuse du pourquoi il ne s'adressait pas à elle, Ririchiyo observa ce qui l'intéressait tant. Kanzaki. Elle écarquilla les yeux le réalisant enfin ; elle n'était pas seule, elle n'était plus seule.

       Elle n'était pas la seule dans la putain de merde qu'elle avait créée. Elle n'était pas la seule à souffrir de ce putain d'effet papillon. Alors Ririchiyo paniqua intérieurement, tout était de sa faute. "Que faire ?"
Utiliser le pouvoir d'Hannya était déconseillé donc la jeune fille analysa encore une fois mais avec plus de frénésie la salle. Elle devait trouver un moyen de sauver ses camarades, pas forcément elle, mais ses camarades.

      Sherakiin était abstraite des discussions se déroulant à côté d'elle jusqu'au moment où elle entendit son nom. Elle interrompit ses réflexions et reporta son intention vers le groupe de garçon. Mais elle soupira une nouvelle fois en distinguant le mot "rançon". Les lycéens se demandaient combien pourrait-il obtenir d'une famille de riches couturiers. Ils ne savaient pas que jamais ses géniteurs lâcheraient un centime pour son existence au contraire, sa disparition ferait le plus grand bonheur de Chiyori.

      Les kidnappeurs sortirent finalement de la pièce, la raison importait peu Ririchiyo ainsi que la conversation que menait Kanzaki et Kayano à côté d'elle. Elle ne faisait que réfléchir pour s'échapper, elle allait réfléchir jusqu'à s'en gaspiller les neurones s'il le fallait.

       Les assaillants étaient revenus, bien sur les laisser seules était bien trop utopique. Mais à ce moment-là Ririchiyo tiqua, elle avait un couteau suisse dans la poche de sa veste. Même si elle ne se souvenait pas comment elle avait mis ça là, l'aînée des Sherakiin se tortilla malgré ses mains liés pour saisir l'objet. "Opération réussie" exhala-t-elle intérieurement. De sa main droite, elle frotta vivement la lame contre la corde plutôt épaisse. Cette manière allait prendre du temps mais c'était la seule possible pour le moment.

      Tout d'un coup, un gémissement douloureux retenti dans l'entrepôt et qui fit arrêter les mouvements de Ririchiyo. Elle regardait Kayano se faire empoigner la chemise par l'un des hommes et en avalant difficilement la salive, elle se mit à parler :

«Hey, gagnant du concours du con de l'année, aurais-tu oublié que le premier prix était un coup dans la couilles par ton crush ?» sourit sarcastiquement la passionnée de sciences

       Le principal visé lâcha le col de la camarade de Ririchiyo qui retomba sur le sol d'un léger cri amer. Il s'avançait rancunier vers la provocatrice se posant devant son personnage au sol. D'un geste brusque, il tira la cravate de Ririchiyo la forçant à se mettre debout. À cause de cette action soudaine, la lame présente dans ses mains tomba par terre sous un murmure disant le mot "merde" de la jeune fille.

    ‘‘Le con de l'année’’ la regardait dans les yeux férocement, à ce moment l'expression “dent contre dent et œil contre œil„ prenait tout son sens bizarrement.

«Sherakiin... Même si ton visage magnifique comme tu peux être vaniteuse ! Ferme moi un peu ses jolies lèvres tu veux ? À moins que tu ne veuilles de l'aide, sans doute ? »

       Il approcha son visage de l'adolescente sous les rires de ces coéquipiers. Il allait l'embrasser jusqu'au moment où la porte de l'entrepôt s'ouvrit d'un grand bruit.

      L'homme fut poussé au sol sous les exclamation surprises de plusieurs personnes ne s'attendant pas à ça. En fait qui s'y attendait ?

      Karma était là, ruant des coups au garçon en dessous de lui. Il l'harcelait de ses poings habité par une rage soudaine. Pourquoi était-il si en colère ?

«Cela suffit Karma-kun, dit Koro-sensei qui venait d'arriver.
— Je vais me le faire putain ! »

      Karma était incontrôlable à en faire peur. Ses bras ne pouvaient pas s'arrêter de frapper et même si l'homme saignait, rien ne pourrait le ménager.

     Ririchiyo tira le garçon par le col de sa veste une fois qu'elle fut libérée par Koro-sensei et l'enlaça immédiatement dès que les deux corps masculins furent séparés. Elle imitait la façon dont Karma l'avait calmée lors du rassemblement des élèves et le fit sortir du bâtiment en frottant son dos de ses paumes abîmés par les cordes.

«Je vais me le faire. Je vais me le faire. répéta Karma continuellement
— Calme-toi s'il te plait... 
— Il a osé te toucher ! Toi !
— Et alors ? Ils ont aussi touché les autres, essayait-elle de comprendre.

— Je ne veux pas qu'on touche à la personne à qui je tiens le plus ! admet-il d'une traite»

Ririchiyo écarquilla les yeux à sa déclaration les joues colorés d'un infime rose ; ces mots lui avaient donner chaud, chaud au cœur.

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JE POSTE DEUX CHAP LA MÊME SEMAINE MÊME SI LUI EST MERDIQUE

CAR JE SUIS RATED 791 EN FANFICTION ET JSUIS TROP CONTENTEEEEEEEE GDRJGDFG
MERCHII

PS: pour les connectés, je pense que vous avez vu que j'ai posté le chap ce matin sans faire exprès héhé