L'eau chaude se déversait le long de mes muscles douloureux les détendants petit à petit.
Comment pouvait-on imaginer ne serait-ce qu'un instant que se genre d'exercices existent. Chaque partie de mon corps me faisait atrocement mal, jusqu'à mes phalanges. Les courbatures allaient être sévère demain.
Je pris une serviette et l'enroula autour de ma poitrine tout en essayant de faire tenir celle sur ma tête. Je me dirigeais vers mon casier mais plus aucune de mes affaires s'y trouvaient, à la place une sorte d'uniforme blanc s'y était inséré. Je le mis avec des sous vêtements blanc en coton qui étaient pile à ma taille. Le chemisier blanc était d'une simplicité quelconque mis à part une sorte de Logo en forme d'aile avec une épée au milieu entouré d'une rose blanche. Le pantalon qui était un tailleur était d'un noir profond.
Quand je me tourna face aux autres je vis que nous avions toutes une tenue à peu près similaire avec un haut blanc avec toujours le même logo dessus et un bas noir. Charlotte avait un petit haut dénudant ses épaules rentré dans une jupe évasé qui lui arrivait au dessus du genou. Mélanie, elle, avait tout de miss monde. Une robe dos nu blanche et noir tout comme nous mais séparé d'une ceinture lui donnant une taille de guêpes et descendant en dessous du genou mais fendu sur le côté.
Clark entra dans le vestiaire et nous indiqua de retourner dans nos chambres, ce que nous fîmes mais très lentement, les escaliers étaient un enfer. Les muscles de mes cuisses me tiraillaient et le lit était mon oasis. Mais malheureusement je vis un énorme classeur sur mon bureau et ma conscience me mit un petit rapel à l'ordre.
Il y avait un énormes tas de feuille avec marqué sur la première Règlement intérieur et extérieur. Il devait y avoir au moins 300 pages et vu mon état de fatigue je me dis que les dix premières pages du règlement intérieur me suffiront à ne pas faire trop de bêtises jusqu'à demain.
1. Les différentes règles écrites dans ce règlement sont obligatoires et à ne transgresser en aucune façon. Des sanctions seront immédiates en cas de transgression.
2. Chaque élève se devra de respecter ses professeurs et supérieurs hiérarchique.
4.Un ordre venant d'un supérieur hiérarchique se devra d'être exécuté sans discussion.
3.Aucun retard ne sera toléré.
5.Cherché à nuire à l'une des personnes de cet établissement est formellement interdit.
6.L'accès au deuxième sous-sol et au dernier étage de l'établissement n'est pas autorisé.
C'est une blague ? On est pas à l'armée ici !
Je refermais le classeur plus qu'énervée et fatiguée et enlevais les vêtements qui m'empêchaient de me jeter sous la couette. La fatigue pris le dessus et je glissais dans un sommeil bien mérité entouré dans un cocon de soie.
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-Alors c'est comme ça que tu es à l'heure toi ?
Cette voix si désagréable je la reconnu distinctement.
-Hunter !
Il était assis sur la chaise de mon bureau et me souriait comme à son habitude.
-Alors comme ça tu fais la grasse matinée ? Pas étonnant venant de toi.
-Ce n'est pas de ma faute si un taré se prend pour un militaire dans un camps d'entraînement et nous fais des exercices pas possible.
Il rigolais à plein poumons tandis que j'abandonnais l'idée de le comprendre.
- Je crois que tu ne comprend pas que ce n'était que l'échauffement hier.
Je le regardais maintenant bouche-bée comme un poisson rouge et commençant déjà à redouter le prochain "entraînement"...
Je me levais brusquement de mon lit pour me diriger vers mon armoire, mais mes muscles en décidèrent autrement, car à peine debout ils me laissèrent retomber sur mon lit, qui émis un craquement significatif. Les yeux de Hunter s'ouvrirent en grand et ses lèvres se pincèrent. Une toute petite larme coula de son œil gauche, et je su que mon sort était jeté. J'éclatais de rire en même temps que lui, cette joie parcouru tout mon corps jusqu'à a en avoir la chair de poule. Cela faisait si longtemps, c'était comme si je réapprenais de nouveau à rire. Nous nous tenions tous les deux le ventre, plié par ma maladroitesse. Une fois que notre fou-rire se soit terminé il m'indiqua que mon uniforme était dans l'armoire et qu'il m'attendrais dehors pour me mener dans le hall pour la réunion. J'ouvris la porte de droite de l'armoire, il y avait déjà toute une garde robe formé uniquement de hauts blancs et de bas noir je décidais donc de prendre un jean basique et un tee-shirt qui était orné du même logo que ma chemise de la veille et qui semblait être sur tous les autres hauts. La seule tenue qui étais différente était bleu foncé et semblait être une tenue de sport. Je me pressa d'enfiler des sous vêtements et qui était maintenant sans étonnement à ma taille ainsi que la tenue que j'avais choisi et ma veste en cuir qui était le seul vêtements que l'on m'avait laissé de mon arrivé dans cet endroit. Une fois ma queue de cheval haute faite j'ouvris la porte et rejoignis Hunter hors de la chambre. Il était appuyé dos au mur et lorsqu'il tourna la tête vers moi son regard s'illumina et un grand sourire naquis sur ses lèvres, qui pouvait correspondre à de l'admiration ou de la légère moquerie.-Tu es sur que tu tiens à ta vie ? me demanda-t-il.
-Pourquoi ? Qu'est ce que j'ai encore fait ?
-Rien...Viens tu es déjà suffisamment en retard !
Je le suivit le long du couloir jusqu'à l'escalier principale que je commençais à bien connaître maintenant et descendis l'étage qui me séparait de l'escalier du hall avec Hunter au talons. L'escalier du hall était digne de celui d'un château bien large et parcouru d'un tapis rouge. Et lorsque je tourna pour en arriver à son sommet j'atterris devant une foule qui remplissait entièrement le hall qui leva brusquement le regard vers moi et en hauteur sur les dix premières marches je reconnu parfaitement le costume qui m'avait tiré une balle la veille et le dessin des épaules de mon nouveau tyran. Bien entendu son regard se porta sur ce qui attirait l'attention de l'assemblée, c'est à dire moi ! Encore une fois ! Et je sentis son regard me transpercé.
Le retard était décidément une très mauvaise habitude !
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Bonjour à tous, mon histoire à été mise en pause durant un temps beaucoup trop long. J'espère que serez toujours nombreux à la suivre car ce temps est désormais révolu !
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Lys
Roman d'amourTous les tueurs en série on une chose en commun, une marque, tout comme moi. Mais eux, ils font des erreurs, pas moi. Tuer les excite ou leurs fait ressentir une émotion forte qui les poussent à refaire un meurtre. Moi je ne ressens strictement rien...