"en tout cas, je ne sais pas quel papillon a battue des ailes, mais il a foutu un sacré bordel dans ma vie"
Sarah, 17ans, se lance à la recherche de cette personne qui lui a été soudainement enlevée. Entre mystère, humour, amitié, mais surtout amou...
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Je vois l'allée vers la maison. Il ne me reste que quelque mètres à tenir. Je peux le faire ! La transpiration dégouline de tous mes membres et je ne sens plus mes jambes, ni mon dos, ni mes bras, ni aucune partie de mon corps outre ma gorge qui est en feu. J'ai soif et les cris de Luke de donne envie de le frapper. Je pousse une dernière fois sur mes pieds, et entame le sprint final jusqu'à la porte de la villa. Arrivée à la porte, je me laisse m'écrouler devant. J'halète, tente de reprendre ma respiration.
- Aller Sarah debout, me gronde Luke.
Je grogne mais il n'a pas l'air de cet avis. Il saisit mon coude et me relève brutalement. Mes jambes peine à supporter mon poids.
Il ouvre la porte, et je me précipite en direction de la cuisine.
- Ep ep ep jeune fille, que pensais- tu faire comme ça ?
J'ai comme l'impression d'avoir été démasquée.
- Je vais chercher à manger. J'ai tellement faim !!
- Nous n'avons pas encore finit, ricane-t-il.
Pas encore ?
- Tu sais, j'ai lu quelque part que faire du sport à geint peut être dangereux.
- Pas mon problème. Dépêche toi d'aller dans la salle de sport du sous-sol, je t'y retrouve dans 2 minutes.
Je souffle encore, mais trop épuisé pour riposter. Dès que je commence à descendre les première marches, mes genoux tremblent et menacent de lâcher. Dire que je descend enfin au sous sol. On me l'a toujours interdit. Ne sachant pas quel est la bonne salle, j'ouvre toute les portes.
- Waw, m'exclame-je
La première salle est un sorte de garde manger mais remplis d'armes en tout genre. Il doit y en avoir une centaine au moins, toute de type et de taille différentes. Que font-il d'autant d'armes ?
La deuxième porte que j'ouvre est une salle de tire. C'est certainement ici que je vais aller tout à l'heure. Il y a des cibles humaine partout, mais je ne m'y attarde pas.
Lorsque j'ouvre la troisième porte, mon sang se glace. C'est une pièce sombre, sans aucune fenêtres ni lumière, si ce n'est une ampoule accrochée au plafond au centre de la pièce. En dessous de celle-ci, une chaise. Je referme la porte avant de pouvoir regarder plus longtemps. Je ne veux meme pas savoir ce qu'ils font ici, même si j'ai ma petite idée.
