Ce chapitre est dédié à angel-180 qui m'a beaucoup encouragé.
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Au début il y avait les couleurs, le soleil et la lumière. Au début, il y avait l'éspoir.
Et puis j'ai vite compris que la vie n'a jamais été une option.
Dés que nous sommes nés, nous avons été condamné. Condamné à vivre, à souffrir, à respirer et à espérer. Espérer la fin. La fin de cette torture.
Personne n'a jamais réellement choisie.
Personne n'a peut-être jamais réellement aimer.
Personne n'a jamais aimer la chose que l'on appele "vivre"
Il y avait tant de choses.
Mais pour moi, rien de tout ça n'a exister. Je suis coupée de ce monde.
Pour moi, le monde est noir est blanc.
Pour moi, le ciel est gris et nuageux.
Mon monde tel que ma vision des choses est différente.
Rien est beau. Rien ne serrais assez beau pour me faire sourrir. Parce que j'ais assez souffert pour croire que la vie est belle.
Remerciez-moi de vous dire la vérité, plutôt que de chialer sur votre sort.
L'amour ? Désolé, ceci n'est pas pour moi.
Je sais ce que c'est l'amour. Le vrai. Mais croyait moi, aimer m'a tellement nuit, torturé et attirer.
C'est un mensonge, funeste et mortelle tel qu'un manège d'euphorie artificielle.
C'est dangereux et innocent.
C'est tellement vénémeux , tellement magique.
Et cela, tout ce flux d'émotion que l'on appelle amour, m'a tué intérieurement. Il a brisé mon coeur tel qu'un vulgaire vase.
Le coeur qui me reste ne peux plus aimer.
J'ai buté dans le noir, en une minute, en une seconde, assez pour que je puisse vivre des choses affreuses.
Et malgré toute la noirceur que j'ai vécu, il me reste quelqu'un.
Quelqu'un qui a transformé cette noirceur en enfer.
Mon frère.
Un vrai con, qui m'a arraché ma virginité, qui me bat.
Je voudrais qu'il meurt qu'il parte.
Mais je suis trop faible pour ça.
C'est pour cela que c'est moi. Moi qui doit mourir.
Comme vous l'aurez compris mon monde à basculer.
Aprésent il n'y a plus de couleur, plus de soleil et plus de lumière. Il n'y a plus d'éspoir.
Aprésent il ne reste que les épines des roses qui fannent.
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HOPELESS
عاطفيةElle était dans un tourbillon de douleur, les une plus sombres que les autres. Elle était condamné à mourir, elle le savait, elle n'aimait pas vivre. Elle n'avait jamais eu de vie parfaite, ni d'étincelles dans les yeux. Elle s'appellait Ayanah. Qu...
