Chapitre 6: Cet homme est le fantôme de mon frère.
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Depuis un certain temps, je ne faiser qu'admirer la lumière pénétrer la pièce, et les petits points dorés et blanc danser baignant dans les rayons du soleil.Tous cela semblait si réelles. Toute cette harmonie.
Mais la nature jouer bien son jeux. Et je savais très bien qui est-elle vraiment.Et même perturbée par le léger bruit des voitures venant de l'extérieur, j'entendis des pas.
Et il ouvrit la porte.
Le regard dans le vide, je tréssaillis.
J'avais perdue le reste de mon humanité ici. Je ne préoccupait plus du sort que l'on me réservait.
Il s'approcha de moi, et sans aucune délicatesse, s'empara de mon bras. Par pur réflexes, je tint ma manche afin de cacher mon avant bras. L'homme me tira, et je me retrouvais debout.
-Comment savais-vous mon nom?
Cela m'intiguais, qu'il sache mon nom. J'avais l'impression qui savait tous de moi. Qu'il savait des choses que moi-même j'aurais peur de connaître.
Il se stoppa, et avec un fin sourire, que j'aurai pus qualifier de sadique, cracha:- Tu ne peux pas parler sans je ne te l'autorise.
Pardon ? M'avait-il prit pour son chien?
Il commença à marcher jusqu'à la porte, qu'il ouvrit.-Vous allez me... Libérer?
Non pas d'éspoir, pas d'étincelles, rien. J'étais fade, vidée, lugubre.
Pour simple réponse il grogna, tel qu'un animal enragé.
- Je t'avais dit de fermer ta putain de gueule !
Il se stoppa et se tourna face à moi, ses yeux se plantèrent dans les miens. Il semblait sévère et inhumains. Presque un monstre qui me dominait.
J'étais pétrifiée devant lui. Il était tellement imposant. Si fort, si grand, si musclé. Alors que moi, j'étais la proie en cage. Si faible, si frêle, si mince. Nous étions tellement incompatible. Et c'est ce qui m'apeurais.Il continua sa marche, dans le couloir au mur blanc, et aux papier peint efrité. Ça puait la mort.Ça puait la douleur. Ça puait cette odeur si familiaire. Je déglutit, face à cet interminable couloir maccabre.
Il ouvrit une porte, caché derrière des draps.Il y avait une salle dérière. Elle ressemblait à une salle à manger.
Il m'agrippa le bras et me propulsa à l'intérieur de la chambre. Mon sang ne fit qu'un tour. Tout était miteux, le comptoir jaune laissait appercevoir des marques de sang séché, les chaises cassées s'étalaient partout sur le vieux carrelage, et des débris de verres cassé gisaient sur le comptoir. Mes yeux parcourèrent la salle, examinant chaque meuble. Je n'étais pas habitué aux chic, mais là...
Le bruit d'une porte qui se ferme me fait sursauter, l'homme s'avanca dans la pièce, sans m'attendre, esquivant les morceaux de verres et de bois.
-C-C'est une salle de... Quoi?
Je balbutiais, intimidée. Il se retourna, et planta ces yeux glacés dans les miens.
- Ta gueule! Mais merde!
Je bredouilla des excuses. Je restais plantée là, n'osant pas bouger.
-Tu vas dormir là.
Il pointa le coin de la pièce, ou se trouvait un vieux canapé, bleu ciel, déchiré et sal.
Et à vrai dire, il me convenait parfaitement.
Je m'avança timidement, quand je fut coupée par la voie glaciale.
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HOPELESS
RomansaElle était dans un tourbillon de douleur, les une plus sombres que les autres. Elle était condamné à mourir, elle le savait, elle n'aimait pas vivre. Elle n'avait jamais eu de vie parfaite, ni d'étincelles dans les yeux. Elle s'appellait Ayanah. Qu...