Ayanah, why did you not escape without stopping?

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Chapitre 6: Ayanah, pourquoi n'as tu pas fuit sans t'arrêter ?

Je la cherchais depuis des heures, dans toutes les pièces où elle pouvait être. Mais il n'y avait personne. Et ce silence. Presque sinistre, qui c'était abattu sur notre maison m'avais inquiété.

-Heu... Maman?

Je longeais le couloir sale, scrutant chaque recoin. Le bruit d'un verre cassée brisa ce silence. Je sursauta, et accouru vers le toit. Un toit dont il m'étais formellement interdit de m'y aventurer. J'avais peur, certe,mais surtout intriguée. Et, éclairée par la lumière de la lune, une femme s'y trouvait là,entourée de bouteilles d'alcool, prête à sauter. Une corde aux coup.

Non,pas une corde, mon bracelet de perle sérrée comme si elle se pendait.  Mon accessoire accroché aux coup, d'une femme que je ne connaissait que trop bien.

Et il y avait une lettre. Qui avec mon nom écrit dessus en grand, m'étais déstinée. Une lettre de mensonge.
Que personne n'aurait du lire...

La voix froide de l'homme me fit sortir d'un rêve sombre.

- Tient à manger.

Je m'assis péniblement, et rampa vers la petite boîte. Je luttais pour ne pas fermer mes yeux fatigués. Affamée, mes doigts cherchèrent désespérément l'ouverture. Il s'approcha de moi, soupira, et l'ouvris.
Il me regarda de travers, impatient que je finisse de manger.

-Un pote m'a appelé, la police et en chemin. Tu vas bouger ton cul, parceque j'ai pas que ça à faire.

Ses mots, rien que ça, m'étonnèrent. Il m'avais dit que la police arrive. La police... Ne me dites pas que... Mon frère les aurait appelé? Mon frère, un homme toujours entièrement bouré, ne revenant que le soir pour partir tôt le matin se resoualer. Quelqu'un qui me hais, se serais inquiéter pour moi?

-Qu-i les ont a-appelé?

-Bof, j'en sais rien, moi. Grouille toi, sale conne! Et puis je ne t'ai pas autoriser de parler!

Il leva les yeux aux ciel. Je me dépécha, ne voulant pas qu'il lève la main sur moi. Une sirène retentit.

- N'essaie pas de t'enfuir! Parceque sinon ton sort seras beaucoup plus pire que de mourir.

Me brûler ? Il ouvrit précipitamment la porte. Et courus. J'essayais de toute mes maigres forces de le rattraper, mais j'étais vidé,exténuée, fatiguée et surtout, j'étais bléssée. La simple tartine qu'il m'avait apporter ne m'aidait pas, et les blessures de le veille m'empêcher presque tout mouvement. J'arpentais difficilement à sa poursuite, des couloirs sales, des pièces délablées et des escaliers sans fin, pour arriver jusqu'à la porte d'entrée. Il se tenait là  insérant des millions de clefs dans la cerrure rouillé. Il poussa  la porte qui s'ouvrit. Il m'agrippa violament la main et courus, dans la routes déserte.

Il faisait nuit, et dans l'ébène, une sirène de police retentit, avec toutes les lumières bleutées qu'elle dégageait. La police venait d'arriver devant l'appartement. Il courus encore, jusqu'à arriver dans une rue, sombre et sale, hornée de fils éléctrique qui pandouillaient des larges poteau. Cet rue ressemblait beaucoup à la mienne, sauf qu'elle était bruyante. Des cris, des pleures et des gémissement se faisaient entendre. Je frissonna, pourquoi sommes nous ici? Il s'approcha d'une vielle maison jaunie, et toqua, cinq coup réguliers et lents. La porte grinça et s'ouvrit, devant un homme robuste. Je ne pouvait pas le voir, la nuit le masquais. Je voulais m'enfuir. Je devais m'enfuir. Je ne suporterais pas de vivre avec deux hommes. Deux inconnus. Que pourrais t-ils faire. Si un homme de même sang que moi, me battait, que ferais t-ils,  eux? Je me liberai de lui, et courus. Il fallait le faire.

"N'essaie pas de t'enfuir ! Sinon ton sort seras beaucoup plus pire que de mourir."

Je me stoppa net. Je m'étais enfui. Il me tenait. J'allais souffrir. 

Sa main droite enroulais ma taille tandis que l'autre, enprosonnait mon cou.

-Je t'avais dit de ne pas t'enfuir, sale garce. Je t'avais promis de te torturer sinon.  Et je tient mes promesse. Tu vas bientôt me supplier de te tuer.

Il me les avait chuchoté contre mon oreille, si proche que son souffle carressait lentement ma joue. Sa tempe frôlait la mienne, et je devinais la douceur de sa peau halée et son irrisistible parfum.  Et mon dos collé à son torse, je pouvais ressentir chaque muscles, chaque battement. Tandis que sa voix, profonde, grave mais étrangement agréable, avait retentit en milles échos dans mes oreilles et dans ma tête. Parcontre malgré cet sensualité, il était restais violant et méchant. Il me dégoutais.Il m'apeurais. Il me dominait.

Il me retourna et me ramena chez l'homme. Ce dernier était installé sur son divan, et la lumière de la télé l'éclairait. Sa peau était noir, et ses cheuveux était en tresse africaine, je ne pouvais pas en voir plus. Il se retourna vers moi, affichant un air dégouté. J'avais éspéré qu'il soit... Plus chaleureux. Mais non. Il haussa le volume de la télé, tandis que mon kidnappeur s'assit à côté de lui.

"Nous revenons sur cet affaire qui nous a tous sidéré. Issac Allen, ayant pu s'échapper de prison depuis environs six jours. Il aurais tuer et violer Clarissa Rodrigez. Depuis aujourd'hui, toute traces ont disparu au propos de lui lors de sa fuite à l'arrivé de la police à son domicile .L'ADN trouvée serais celui du criminel et d'une certaine fille du nom de Ayanah Wallace, nous ne savons pas encore si ce dernier l'aurais kidnapper ou si elle était venu de son plein grés. Son frère qui était jusqu'à maintenant introuvable, à été aperçu dans un bar. Mais il refuse de témoigner, et de nous aider dans l'affaire. Voi..."

Je n'écoutais plus rien. Tous s'était arrêter.

Mon frère... Ce mot me fit tréssaillir. Il ne l'ait pas. Il ne le seras jamais. Ce con, ce diable, cet enfoiré ne seras jamais pour moi mon frère.
Je le hais.

Et j'avais enfin su qui il était. Il s'appellais Issac. Issac Allen. Le célèbre tueur dont j'avais entendu parler aux lycée. Je frissonna. C'était lui.

Son amis, se leva et lui amena plusieurs bouteilles de vodka.

"J'allais me saouler pour oublier. La douleur, la peur et le deuil. J'allais boire, moi, mineur, parce que je souffre. J'allais le faires pour me détendre. Et je l'ai fait. Mais la vodka à brûler ma vie, tel qu'elle a brûlée ma gorge. La vodka m'a détruite."

J'haletais. Ce souvenirs m'avait mise dans tout les états. Je hais l'alcool. Je ne sais combien de temps je me suis souvenue, mais ils étaient là, bourré et drogué.
Ils me regardaient, affamés.

Ayanah, pourquoi n'as tu as fuit sans t'arrêter ?

=-O:-)O:-):
Saluttt!

Lecteur, pourquoi n'a tu pas lu sans voter?

J'éspère que vous avez aimer!!!

Issac ?

Le nouveau pote?

La fin?

Fin bref, bisous 😘😍

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