Chapitre 7:Il lira sur ma peau, les plus grandes souffrances.
Je ne ressentais plus rien. Juste une rage indescriptible. Tout mes membres étaient endoloris. Et ma peau était bleue, violette et ansanglée. J'étais étalée sur le parquet froid, immobile et souffrante. Je ne sais combien de temps suis-je rester là, mais j'avais mal.
Ils m'avaient tappé, giflé, poussé. Ils m'avait battu. La vie n'a pas voulu pour moi un bon futur, et je ne peux rien y faire. Je dois juste mourir.
C'était le matin, et j'étais toujours là, incapable de bouger. J'aurais aimer qu'à la place d'ouvrir les yeux, je puisse voir ma misérable vie défiler. J'aurais juste aimer être perdu dans mon sommeil. Lacher un dernier souffle. Entendre un dernier battement. Et sentir la dernière douleur. Parceque mourir est une libération.
J'étais allongée sur le dos, tel qu'une morte, quand la porte d'entrée claqua. J'étais fatiguée, je ne voulais rien voir, je ferma les yeux. Je n'entendais plus rien. Mais j'avais peur. Énormément peur. Je ne voudrais pas que ça soit la police, elle me ramènerais vers mon frère. Je ne veux pas que ce soit Issac ou l'autre, il me feront souffrir. Dans les deux cas, il y auras des pleurs, des coup, des insultes et du sang. Alors je ne trouverais jamais ma place. Sauf dans les bras de la mort.
Je sentais une présence derrière mon dos. Il était apparament accroupi derrière moi. Il avait une odeur très différente des autres garçons. Enfait, je ne sais pas vraiment si c'est un garçon. Mais son odeur était douce et masculine. Avec un élan de courage, j'ouvris les yeux.
Je voyais sa tête à l'envers, mais ce n'étais ni les salauts, ni mon frère, ni la police. C'était juste un inconnu. Sa main effleura mon épaule. Je sursauta et baissa ma manche. Il ne devais pas me toucher.
-Ca va?
Pas du tout. Et puis... Pourquoi il me posait cette question ?
-Tu arrive à te lever?
Non.
- Essai de le faire.
Ca sonnait dans ma tête comme ordre.
Et, toute ma vie, on m'a obliger et appris à obeir.Je contracta mon abdomen, et avec une douleur énorme, je m'assis.
C'était un homme blond, avec des yeux bleue claire. Il semblait un ange. Mais il ne l'étais pas. Personne ne l'était.
Il me sourit. D'un sourir franc et gentil. C'était un sourir nouveau pour moi. Il semblait sincère. J'en étais entièrement figé.
Il était comme un extraterrestre. Il était beau. Non pas que je n'ai jamais vu de bel homme. Mais, lui, il était beau, gai et gentil. Ses yeux comme le ciel, son sourir éclatant et sa tendresse et l'inquiétude qui se voyait sur son visage...
Je secoua ma tête comme pour enlever cette idée de bontée à son rapport. C'était un inconnu. Et cet réaction, était sûrement un masque.
-Tu vas bien?
Je cligna des yeux, sidérée. Ne me meprenez pas, mais c'est l'une des premieres fois que l'on me le demande.
Il soupira.
- C'est Issac et Oliver qui t'ont fait ça ?
Je hocha la tête lentement. Oliver devait sûrement être l'autre homme.
-Sinon... Tu es muette ou c'est juste que t'es timide? Oh mais enfait je suis con! Parceque si t'es muette, tu me répondra pas! Non mais logique, quoi! Une muette est... Bah, est muette! Tu vas me répondre avec tous ses signes là chelou ! C'est pas que je t'insulte, non! Loin de là ! T'as compris, quoi! Fin... C'est normal d'être chelou ! Tous le monde est chelou! Par exemple, un jour, j'ai vu un chien brun avec deux museau. Mais, non ! Car devine quoi!? C'était juste une banane pourri et marron accroché à côté de son museau! Et, un jour, une moeuf soûl, m'a raconter que son chat dansait la samba, al..
-Je crois qu'on a compris, Cold..
Je me tourna pour faire façe à "Oliver". Une frisson très distinct de celui du froid, me carressa le dos.
Sans un regard, il continua a marcher vers le comptoir de la cuisine.
Issac arriva ensuite, descendant les escaliers quatre à quatres. Il me regarda de travers.
-T'ocupe pas d'elle Cold, c'est qu'une pute. Aller vient, poto! Tu veux d'la bouffe?
Cold se sépara de moi, et avec un sourire désolé, partit les rejoindre.
-Alors, mec! Tu l'a eu dans ton lit, ta blondasse, là? Comment elle s'appelle déjà ? Ah ouais, Megaëlla! Demanda Oliver, tout heureux à Cold.
-Pfff, n'importe quoi! C'est une amie! Sérieux Oli!
Je ne préocupai plus trop de leurs discussion peu interressante. Je serra les dents, et me leva. Ma tête tournait encore dans tous les sens. Je me tint aux mûr. Inspire, expire...
-Ca va?
Cold était devant moi, m'aggripant le bras pour ne pas que je tombe.
-Oui.
Non. Je ne vais pas du tout bien.
-Vient à la toilette, que je te soigne tous ça.
-N-non,non, ça va. Je... Je peux le faire... Seule.
Il secoua la tête, et m'entrenna , dans un couloir. Je déglutis, tirant un peu sur sa main pour qu'il comprenne le message. Je ne veux pas rester seule avec lui, je ne veux pas qu'il me touche, je ne veux pas qu'il me soigne.
Il arriva, devant une porte, et l'ouvris. Je tenais toujours aussi fermement ma manche.
Il m'invita à m'assois sur le bord de la douche cassée, tandis qu'il fouillait dans une armoire.
Pouvus qu'il ne remarque rien, pourvus qu'il ne remarque rien, pourvus qu'il...
-Enleve ton pull, maintenant.
Mon cœur ratta un battement. Comment ?
-Je ne verrais rien, et puis c'est pour te soigner. Tu ne porte pas de flannelle ni de sous-vêtements ?
Je ne peux pas enlever mon haut. Je ne peux tout simplement pas le laisser voir. Car sinon il saura tout. Toute ces cicatrices. Toutes ces blessures. Mon corps est l'album photo de ma vie. De ma vie qui n'a était qu'une horreur, qu'une douleur. Il lira sur ma peau , les plus grandes souffrances, mes plus grands secrets, et mes plus grands malheurs et ça , je ne peux pas me le permettre.
Je secoua négativement la tête.
Il soupira.-Pourquoi tu ne veux pas que je te soigne?
Ca ne le regardait pas. C'est ma vie. Mon problème. Non pas le sien. Il ne peux pas venir comme ça, me demander d'enlever mon haut, et me demander de lui répondre une chose si intime, si secrète. C'est simple, il n'a qu'à se faire voir. J'était vraiment en colère. Et je n'elèverais riens.
-Tu peux te soigner seule aux moin?
Je hocha la tête, soulagée.
Il déposa les ustensiles près du lavabo, me sourit, et partit.
Je vérifia, qu'il était bien partis, et examina la pièce. Aucun échapatoir.
Je soupira, enlevant lentement mon pull. Le miroir reflétant, un martyr . Une victime d'horreur, presque plate, et abîmé. Il reflétait quelque chose que je fuyait. Il me montrait le monstre que j'étais. Il me montrait, un femme brisé, blessé et surtout, une pauvre femme, violée.
:-\:O:-!:'(:-P:'(:'(:-!:-*:-!:-$:O:-\:-\:O:-
Saluuuuttt😂😂😘😘😝😝
J'ai enfin finit le chhhapiitree.
Qui aimer Cold ??
Il est pas trop froid parcontre!😂😂😂 Qui a compris ma blague(pourri), lève la main!!
Bref, vous avait aimer???
Allez bisou, mes compatriotes😘
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HOPELESS
RomansaElle était dans un tourbillon de douleur, les une plus sombres que les autres. Elle était condamné à mourir, elle le savait, elle n'aimait pas vivre. Elle n'avait jamais eu de vie parfaite, ni d'étincelles dans les yeux. Elle s'appellait Ayanah. Qu...