I was born to suffer

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Chapitre1:Je suis née pour souffrir.
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Je ferma fébrilement la porte de l'appartement.

Comme je hais cette maison

Je tremblais de tout mon corps de peur qu'il ne vienne.

Alors que je marchais sur le parquet poussièreux, des pas le firent grincer. Je coupa ma respirations tandis que mon cœur cognait ma poitrine irrégulièrement. Je vis sa silhouette se dessiner au dessus des marches de l'escalier. Putain de merde !

La sueur me chauffait, et les murs de la pièce se rapprochèrent dangereusement de moi.

Avec affolement j'endis très clairement sa voix m'ordonner:

-Monte dans la chambre,
toute suite, salope.

Je tremblais violement et resta figée.
Il s'approcha de moi, voyant que je ne bougeais pas.

Il attrapa mes cheveux, ce qui m'arracha une grimace et les tira jusqu'au sol. Je tomba à terre faiblement. Les larmes s'évadèrent de mes yeux clos: je ne voulais pas le voir.

Il commença alors à me prendre pour son objet.

Scène censurée. L'auteur n'a donc pas écrit sur ce fait. Au lecteur de penser.

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J'étais là recrocveiller sur moi-même me vidans de toute larmes. Je sentais encore ses main s'aventurer sur ma peau, ses lèvres me frauler...

C'était juste... Éceurant.

Il était devenue un monstre un bâtard...
Ce n'était plus mon frère. Plus pour moi. Je le hais.

Pourquoi moi? Il me violait déjà depuis un ans, me battait depuis deux ans... Qu' allait-il se passer plus tard? Je voulais en finir. En finir de ce cauchemard.

Mes yeux partir instinctivement vers l'armoir. Il y avait dedans ma meilleure amie, la seule qui pourrait me sauver.

Je boitta vers elle, difficilement, à cause de la douleur dans mon entre-jambes. Je l'ouvris pour y découvrir la lame qui allait me sauver.

Je la prit, décidée à ne plus souffrir.

Je ne fermais même plus les yeux, abituée à voir mon propre sang couler. La lame que j'éguisais soigneusement après son utilisation pénétra dans ma chair. Je rentrai mes ongles dans ma paume, étouffant ainsi mes gémissement. L'odeur tant attendu vint frôler mes narines. L'odeur du sang. Le liquide froid et sombre dégoulina sur ma main jusqu'à tomber sur le sol de ma chambre.

Une nouvelle cicatrice parmis tans d'autre.

J'allais partir. Enfin.

La porte claqua.

Mon frère était là.

Il m'attrapa les cheuveux violement me trainant ainsi à l'étage au dessous.
Je lui suppliais d'arrêter. Je pleurais. Putain mais pourquoi?

Il ouvris la porte d'entrée.
Non, non,non,non,non...

Il me jetta dehors après m'avoir craché:

-Dégage sale pute, tu salit le sol avec ton sang de merde. Tu me fais chier de pleurer tout le temps, créve.

Il ferma la porte. Je toqua, lui criant d'ouvrir. Hurlant de toute mes forces de me pardonner mais rien.

Ils m'avait rendue victime de tant de souffrance pour à la fin me jetter comme une merde?!

Mon corps était devenu son souffre-douleurs, témoin de tant d'horreurs pour m'abandonné ainsi?

Je m'assie sur le sol, sanglotant. Mon sang salissait tout. J'allais peut-être pourrir maintenant?

Je reniflait, me persuadant de pleurer ne server à rien.

Ce que je voulais c'était de partir d'ici. Je me leva tremblante et c'est avec difficulté que je mit un pied devant l'autre.

Quel connard!

Mes larmes dévalèrent mes joue cette fois ci, silencieusement.

Nous vivions dans un quartier mal sécurisé et mal fréquenté de Brooklyn, donc tout mes sens en éveil je marchais dans les rues étroites et sombres.

Le froid me faisait frisonnée, alors que l'angoisse elle partait.

Je regarder ma main, pour savoir si ma mort serais proche.

Oui. Toute ma main était rouge.

Je m'assis sur le mur d'une maison inconnue. Attendant la fin.

Ma dernière vision serai alors voir les chats chercher dans les poubelles ?

J'en avais marre de pleurer, marre de souffrir, marre de fuir, marre de me souvenir, marre de tout. J'en avais marre de moi. Marre de ma vie.

Si seulement il y avait un bouton "stop" pour la vie. Pour arrêter le temps, réfléchir et se reprendre.

Si seulement il y avait un bouton "Replay" pour rentrer dans les couloirs du temps, voir ses souvenirs...Si seulement...

Mais pour moi c'est déjà la fin. Je n'ai plus à penser à la vie. La mort me tent les bras.

Aurevoir vie pourrie.

Ma tête me fit un mal atroce tel comme si l'on vous y enfonçait des cloues, ma vue se brouilla en faire mal aux yeux, tout mon corps fut prit de tremblement et plus aucun son ne se fesait entendre. Si... On entendait ma respirations saccadée et les battements de mon coeur.

On entendait les seul files qui me reliait à la vie.

Je gémit, et malgré la vif douleur, savoura le portail qui menait à la liberté.

Au loin j'entendis des son. Comme des voix. Je voulait ouvrir les yeux, mais mes membres ne m'écoutais plus.

La sueur coula. Je me sentais dans un sac à quarante degrès.

J'eu du mal à respirer. Avant d'entendre un cri, et des bras me soulever.

On va me sauver.

Moi qui allait en finir, je vais vivre.

Enfait je crois que je suis née pour souffrir

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Hello la populasse j'éspère que vous avait aimer!!
Désoler si le chapitre était ccoouurrttt😭







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