And my eyes close

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Chapitre 2: et mes yeux se fermèrent

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Le soleil, la lumière et l'odeur du moisie...

Tout ce que je voulais éviter.

J'ouvris mes yeux, et avec horreur je cria.

Les mur rouge sale, les vitres cassés le parquet poussièreux, la pièce désordonnée...

Ce n'était pas chez moi.

Je me leva aussi vite que l'éclaire, tremblant de tous mes membres.

J'essaye de me souvenir si je connaissais cette pièce.

Mais rien, le néant total.

Je voulais hurler, mais soudain un mal de tête me prit. Tout commença à se dissiper, comme si un brouillard les estompait, mes yeux me brulaient comme si je n'avais pas dormis de la nuit.

Que se passe t-il?

Comment je m'applais? Faith?Ayanah?
Ou... Non.
Je ne sais plus.

L'affolement et la fatigue m'enprisonnèrent. Des milliers de sensation me prirent. Je ne pouvais plus, plus résister. Ma tête s'effondra brusquement sur le matelas dur, jauni par le temps.
Et mes yeux se fermèrent...

Ce que j'éspère c'est de ne plus me réveiller.

* * * * *(Changement de PDV)

Les rues aussi sales qu'insécurisée s'offraient à moi. Ces rues n'étaient que l'amballage de mon cadeau. Le chemin vers le plaisir.

Ques-que j'aimais ces routes. On pouvait briser, tuer ou violer sans conséquences.

Je m'avancais, doucement, sur le béton.

Dans le silence oppréssant de la nuit, j'entendis une personne chantonner une chanson.

Une fille.

La proie ne tarda pas à apparaître, me regardant de haut en bat.
Brune aux yeux vert, jeans, pull ...
Parfait.

Je lui attrapa la main alors qu'elle s'approchait de moi.

Elle me regarda surprise, alors qu'elle se débattait.

Je la plaqua sur les mur sales des appartements, lui caressant les cheveux. Je voulais violer. Je voulais tuer.
Et c'est ce que allais faire...

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Elle sanglotait, sachant que je venait de la violer.
Elle était faible.
J'allais la tuer.

Mais main, entourèrent violement son coup, écrasant sa gorge. Elle se débattait en hurlant difficilement. Puis, elle s'arrêta. Plus de mouvements. Je liberai mes mains. Elle tomba alors comme une petite feuille au sol. Que c'est bien de tuer...

J'essui lentement son coup, afin qu'il n'y ai aucune trace de moi.

Mais dans le silence de la nuit, j'entendis très clairement un gémissement. Quelqu'un était là.

Je me retourna, cherchant des yeux ma nouvelle proie. Et sur le trottoir, je vis une fille mince et faible, étendue. Il y avait aussi l'agréable odeur du sang.

Sûrement une partie de jambes en l'air qui a mal tourné...Mais...

Elle mourait.
Et je ne voulais pas.

Je voulais la tuer par mes propres mains.

* * * * *

Mes yeux se rouvrent, m'exposant à la réalité. C'était sûrement la maison de mon sauveur. Je ne voulais pas rester, ni ici, ni en vie.

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