Au bout du tunnel [GXG]

7

Une colline verdoyante et des petites maison au toit rouge au loin. Elle paraissent microscopique vu comme ça, on pourrait même croire que c'est des fourmis qui vivent là.
Hélène est devant moi et d'un coup, le vent se lève et nous frappe de plein fouet.
Elle est bien mystérieuse Hélène et cela m'intrigue au plus haut des points.

Que ce passe-t-il?
Pourquoi sommes nous revenus ou nous nous sommes connu?

-"Hélène!" J'hurle en essayant de me faire écouter.

D'un bond elle se retourne. Comme si ma voix l'avait sorti de ces pensées.

-"Ah. Ana. J'avais presque oublié que t'étais là." Me sourit-elle en s'assaillant par terre.

Je décide alors de faire comme elle et je me met à ces côtés.

L'herbe est un peu mouillée et la brise du vent toujours aussi forte, lorsqu'elle m'attrape les cheveux pour les balancer dans le vide.

Qu'est-ce que c'est bon! Rester ici alors que sa fait depuis quelques mois que je ne suis plus revenu me poser là, par terre, en savourant les douces mélodies des animaux dans la petite forêt juste à côté et en regardant les nuages qui forment des tas de belle forme que je redessine grâce à mon petit bout d'imagination.

Je pousse un soupir de satisfaction et du coin de l'œil aperçoit qu'Hélène me glissé un retard.

Me tournant vers elle, je pose ma main sur la sienne. Cette main aussi chaude que j'avais plus touchée il y a de cela des mois..

Hélène se couche parterre en mettant ses bras croisées sous sa tête.
En regardant ce bout de femme, je me dis que c'est vraiment une des personnes les plus belle que je connaisse. Elle est aussi jolie de l'intérieur que de l'extérieur.

Je suis tombé amoureuse de l'intérieur d'Helene.

Un sourire apparaît sur mon visage. Heureuse de partager ce moment avec elle, de revivre la couleur de ma vie.

La seule chose qu'on entend maintenant est le sifflement du vent contre toutes les parois des maisons er tout les troncs des arbres. On entend même plus les petits animaux poussant et encore moins les gens.

Des goûtes de pluie viennent nous taper sur le corps me fessant dire une bêtise.

Je lâche le fameux:

-"Qu'est-ce que t'es belle mademoiselle"

Hélène me fixe d'un regard rempli d'espoir. Comme si cette phrase lui avait ouvert les yeux. C'était ces mots.

-"Fou moi la paix." Rétorque-elle.

Je croise les jambes et me met juste près de son doux visage mouillé par la pluie.

Cette phrase qui vient de me transpercer, me rappel notre première conversation, les deux petits rassemblements de mots qui nous avait permit de vivre tout ce que nous avons vécu ensemble.

Déposant une caresse sur tout le long de sa joue, je me met à rigoler et elle me suit.

-"Tout à commencer ici" interromps-elle  en se rasseyant face à moi.

-"Tout à toujours un début." Dis-je en prenant sa main dans la mienne.

Elle prend une seconde de silence en baissant la tête comme pour réfléchir...

-"Et malheureusement, tout à toujours une fin.."

Je viens de la rendre triste.. J'aurais jamais du dire sa.. J'aurais jamais du. Elle perdu maintenant.