Carnet De Rêves

Nuit du 7 Juin 2017

(Attention, celui-ci est gratiné, c'est mon cadeau du mois, les Wattys ont du me travailler 🤔😉)

Je suis dans un appartement aux murs rouges. Les pièces sont petites et sombres et l'ambiance gothique, les murs sont recouverts d'un tissu rouge sang. Ce sont les locaux de la radio NRJ.

Nous sommes plusieurs personnes à avoir remporté un concours pour rencontrer Dylan O'Brien (oui, je fais des rêves d'ado. C'est catastrophique).
Le directeur de la radio est en costume sombre, il est très amical mais il me fait penser au croque-mort dans Lucky Lucke.

Je ressors de cet immeuble qui me fait penser à celui de "Rosemary's Babie". Je suis en plein New York.
En hésitant entre aller à gauche ou à droite je me retrouve sur une grande plaine sur laquelle va avoir lieu un combat de la Guerre de Sécession, j'ai du mal à savoir si c'est une vraie guerre ou si c'est le décor de son nouveau film. Ça semble alors terriblement réel et je me dis que je n'ai jamais pensé à New-York sous cet angle.

La terre tremble comme si elle annonçait le passage d'un train ou la charge de cavaliers. Des corps sont déjà éparpillés sur l'herbe, la plupart assez amochés. Je fonce m'abriter derrière une butte, des balles sifflent à mes oreilles et les cris et les gémissements des​ soldats retentissent au loin. Les tremblements ne cessent pas. 

Adossé contre la terre, qui renfle comme une vague, Dylan en tenue de soldat yankee est essoufflé et blessé. Il a des blessures sur le visage et un de ses bras. Je suis captivée par sa besace, je n'arrive pas à détacher mes yeux de ce sac. Qu'y a t il dedans ? Je me précipite pour lui apporter de l'aide sans savoir s'il est réellement blessé ou si c'est du maquillage.

Nous sommes de retour dans l'immeuble de Rosemary's babie. Il s'appuie sur mon épaule, visiblement pas en forme. On ne se parle pas verbalement mais c'est comme si un dialogue se faisait tôt de même mentalement : nous sommes heureux de nous rencontrer, on trouve que ce concours était une bonne occasion. C'est un sentiment très apaisant. Nous nous entendons bien et je le présente aux jeunes filles qui ont elles aussi gagné le concours, je repars dans des escaliers pour rejoindre la porte d'entrée.

Dehors la rue de New-York est une prairie immense.

RÉVEIL.