Chapitre 23 : END

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Ce jour là ... Un soleil magnifique se propageait dans le ciel au fur et à mesure que les heures passaient . Les gens paraissaient s'éterniser dans les rues pour profiter des rayons du midi avant que la chaleur ne s'intensifie . Quant à nous , nous étions dans l'empressement ... Nos tenues nous permettaient de nous dissimuler à travers les hommes "normaux" : nous rendant alors indétectable aux yeux des Templiers . Alikir c'était caché dans un groupe de moine tandis qu'Edward c'était joins à un groupe de pirate bruyant , et moi bien évidemment à une compagnie de fille de joie qui se promenait dans les rues de manière élégante avec leurs robes époustouflante et leurs ombrelles de luxe dont elles me firent don. Nous nous jetions des regards de temps à autre pour détecter un moindre signe . Mais aucune indication semblait parvenir . Cathérina avait disparu dans les rues de Firenze sans que personne ne le sache ... Nous restâmes dans l'ombre jusqu'aux environ de 14 heures... Nous nous servions de l'animal symbolique des Assassins , les Faucons Pélerins, pour nous informer de la situation : les mâles ont le ventre et le bas de la poitrine blanc rosé, barré de fines stries horizontales grises. La partie supérieure de la poitrine, la gorge, le menton et les joues sont de couleur blanche immaculée . Ils nous informaient qu'il n'y avait rien à signaler , par contre si c'était une femelle qui était reconnaissable grâce à ses signes distinctif : son ventre et sa poitrine beige teintés de roussâtre et barrés de longues stries horizontales de couleur brun sombre. Sa gorge, beige, est ponctuée de petites taches brunes. Seuls son menton et ses joues sont immaculés, mais toujours d'une teinte beige qui diffère bien de la blancheur du mâle. La femelle nous indiquer qu'il y avait un problème ... C'était alors aux environ de 14 heures que le Faucon féminin d'Edward Kenway s'envola vers le ciel bleu ... Je sortis du groupe de prostituée avec discrétion avec mon ombrelle sur l'épaule dont les filles m'avaient fais part et je me dirigea de manière très lente vers le port . Effectivement Edward avait vu juste : une femme essoufflée était assise près des bateaux . Edward était à quelques mètres d'elle . Il s'approchait comme moi de façon à ce que nous puissions l'avoir ensemble . J'imita le son du faucon , en me retournant pour que personne ne s'imagine que c'est moi ,  pour avertir à l'animal son départ imminent . Ce qu'elle exécuta dans un sifflement pour confirmer son départ . Pour ma part je continuais d'approcher , des goûtes de sueur apparaissaient sur mon visage . Quand je fus à proximité d'elle je fis mine de rien , je marcha tel une passante allant voir les bateaux d'un regard émerveillait . J'accosta Edward " oh Monsieur que vos bateaux sont magnifiques ! pourrais je monter un jour dans l'un des vôtres ? " dis je en pointant du doigt celui à côté de Cathérina . Il fit un signe de tête pour dire qu'il l'avait vu " je serai ravie de vous accueillir dans mon bateau Madame ! Si vous me permettez ?" demanda t-il en me montrant son bras pour que je le prenne . Je suivis exactement ses mouvements. Le bébé me donnait des coups violent par instant puis il s'arrêtait . Edward m'accompagna sur le bateau en face d'elle . Nous entrâmes dans la cabine du capitaine où il m'aida à me déshabiller " ça va Edward ne me regarde pas comme ça , tu n'as jamais vu une femme enceinte ou quoi ?!" Edward me regardait avec des gros yeux , il ne s'attendait pas à ce que je me mette en sous-vêtements devant lui " écoute si ça peux te rassurer , je suis mariée " dis je avec un large sourire . Le bébé recommençait à me donner des coups cette fois-ci je dû m'asseoir pour y résister ... Edward prononça des mots qui me touchèrent profondément " tu seras une mère exceptionnelle ... Je le sais et ton mari le sait lui aussi ! D'ailleurs où est passé ce foutu con ?!" cria t-il avec un léger sourire sur le visage . Nous sortîmes alors de la cabine , la cible était toujours là . Des nuages venaient à peine de couvrir le soleil éblouissant . L'ennemi était en face de nous . Nous nous approchions à pas de loup . Ce fut Edward qui l'attrapa en premiers et le mieux c'était qu'il l'attrapa par les cheveux . Elle hurla " hargh" , la foule se retourna pour nous regarder puis leurs marches lente de promenade se transforma en une marche rapide : visiblement ils n'avaient pas envie d'être ici pour contempler le spectacle ! "Tiens tiens ... Comme on se retrouve Cathérina ... Ha ! je ne pensais pas que tu oserais revenir après les menaces que je t'ai faites !" prononçais je 

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