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Après avoir vu cela, Vince n'avait pas fermer l'œil. En début d'après midi, il était assis confortablement sur son canapé en fixant son reflet dans la télévision. Il ne manquait plus que ça, voir la maison de son ami prendre feu. Seulement, il ne savait pas si il y avait quelqu'un ou pas à ce moment là. Ce qui le plongea dans la confusion totale.

Au cœur du vingtième arrondissement, dans l'une des plus grandes tours du CCM, le repère centrale. Au tout derniers étages, se trouvait le bureau principal. En contemplant l'étendu de la ville, un homme puissant se tenait sur sa grande chaise en cuir pivotante. Quelque chose le perturbait, il cogitait pendant des heures, jusqu'à ce que quelqu'un entra dans son immense et splendide bureau.

-Monsieur Yamori, puis-je vous dérangez quelques minutes ?

-Te gêne pas Hector.

-Je vous ramène une rescapée du laboratoire du 10ème arrondissement. Elle a tout vue.

Alors, par la plus grande curiosité qui soit, l'homme appelé Yamori, cet homme portant un costume noir, une coupe de cheveux brun et courte, était autre que l'un des plus grands directeurs du CCM, pivota vers ces deux jeunes gens. En s'accoudant sur son bureau, il s'apprêta a entendre ce qui le tracassait. Il eut enfin droit à sa réponse, que s'était-il passer dans ce laboratoire ?

-Durant l'abattage d'une famille dans les salles d'exécution, il y a eu un problème je pense, dit-elle.

-Quel genre de problème ?

-Et bien, monsieur Isano, qui lui était supposer exécuter la famille entière avait fait son travaille jusqu'à la. Mais il y a eu...

-Mais quoi ? Si il a fait son travaille comme il fallait qu'est-ce qui aurait pu se passer de plus grave ? Vous étiez là, le laboratoire a été réduit en cendres, les pilotes d'hélico ont aperçu un feu énorme, qui était donc le responsable ?

-Il restait un dernier enfant dans cette famille. Isano l'a piquer à la seringue, mais le venin qui était censé le tuer n'a pas aboutit. Dès que je suis sortit des décombres pour voir ce qu'il se passait, j'ai vu ce jeune garçon, il tenait un sabre ensanglanté à la main. C'est comme si le venin l'avait rendu plus puissant.

D'un air anxieux, le directeur jeta son regard vers celui d'Hector. Quant à Hector lui, semblait rapidement comprendre la situation, même s'il était encore un peut douteux, il n'y avait qu'une seule solution possible.

-De quel couleur étaient ses yeux ?

-Ils étaient cacher par ses cheveux, je n'ai pas pu les voir et en plus sur le coup de la panique.

-Isano a dû se tromper sur les produit, lança Hector.

-Comment ça ?

-Il à du confondre le venin mortel avec... la matière noir ? Il est à présent, un méta-humains c'est ça ?

Il n'avait rien à rajouter. Le directeur baissa la tête, il comprit très vite qu'un nouveau problème était à venir, parce que la matière noir que contenait ce laboratoire, était très spéciale des autre. Mais ça, la matière noir, c'est encore trop tôt pour en parler.

Quelques jours passèrent. Vince, et le reste des amis d'Ares, avait pour certitude qu'il était bien mort. Lui et sa famille. Sa maison était détruite, les bien qu'ils leurs restaient étaient réduits en cendres, laissant derrières eux leurs bien aimés et leurs amis plonger dans une tristesse et un chagrin profond. Au final, le destin de cette famille s'était éteint aussitôt. Eux qui voulaient construire quelque chose de nouveau pour vivre une vie meilleure, mourut les uns les autres ensembles.

Dans un endroit inconnu, sombre et vaste, le jeune garçon se réveilla. Un mal de crâne l'envahissait, ses jambes étaient comme paralyser, ses veines étaient dilatées et prit une couleur noirâtre.

-Ah ! Tu es réveiller !

En sursautant, il aperçu un jeune garçon un peut plus grand que lui, qui portait une longue chevelure blonde et des traits fin. Il lui sourit, à un point que son sourire atteignait presque ses oreilles, Ares quant à lui ne se souvenait de rien.

-Ont est ou ici ? Dit-il.

-A l'abris l'ami. Laisse moi deviner, tu ne te souviens de rien ?

-Euh... dit-il en se grattant la tête.

-Ouais, j'en étais sûr. Bon je t'explique, tu étais dans le coma pendant cinq jours. Et puisque ton pouvoir était trop lourd à supporter, tu t'es écrouler.

-Mon pouvoir ? Je me souviens de, de m'être fait piquer par quelque chose et puis...

-Oui, la piqure ta changer. En ce qu'on appel, un méta-humain. Maintenant, tu es des nôtres, dit-il en souriant.

Roi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant