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Était-ce la fin pour Ares ? Allait-il mourrir à cet âge là ? Lui qui s'était juré de protéger les membres de sa famille qu'importe le prix, se retrouve face à leurs cadavres. Il repensait aux mots de son père au plus profond de lui,

« Le pouvoir rend l'homme mauvais et orgueilleux. Le CCM en est la preuve. »

Finalement il avait raison, pensait-il. Alors, il garda son calme, jetant son regard vide vers son père, lui qui a toujours était là pour endurcir le mental de son fils. Vers sa mère, elle qui a toujours était là pour lui remonter le moral, ou bien pour l'apaiser dans les moments les plus difficiles. Et vers sa petite sœur et son petit frère a qui il a tant donner d'amour, et son brillant exemple de grand frère. Il n'avait plus rien à perdre, alors autant mourir ici et avec eux.

-Nous en sommes arriver la Ares. Vos heures se sont écoulées, et il ne fallait pas les gâchés, dit-il.

D'un geste simple et sans effort, une longue aiguille vint s'enfoncer dans la nuque d'Ares. Lui injectant un produit mortel, les effet se faisait ressentir en quelques minutes.

Ainsi, l'homme répartit sans dire un mot, avec une mains à la poche en claquant la porte derrière lui. Le raisonnement puis le silence, Ares était agenouillé, ces fines mains posées sur ces cuisses, il observait encore et encore la scène de crime. Puis très progressivement, ces muscles se contractaient, la circulation sanguine s'arrêtait, sa vue était troubler. La scène éclairer qu'il y avait en face de lui était à présent floue. Quand il ferma les yeux, une douleur atroce et insoutenable lui rongeait l'ensemble du corps, jusqu'à ce qu'il s'effondre au sol à son tours.

En plein repas de famille, dans la joie et la bonne humeur, Vince l'ami d'enfance d'Ares, était plonger dans le doute et l'incertitude. Il n'avait toujours rien avaler, ses couverts tournaient en rond dans l'assiette.

-Maman, tu as des nouvelles d'Ares et sa famille ? Dit-il.

-Non, j'ai essayer de contacter sa mère durant la journée mais elle ne m'a pas répondu. Essaye de le rappeler peut-être qu'il va te répondre.

-Sa fait quand même une dizaine de fois que je lui est laisser le même message. J'espère qu'ils ne leurs est rien arrivées.

Tandis que César et Hector eux s'étaient rendus directement sur place. Ils avaient pour habitude de lancer des pierres aux fenêtres d'Ares, sauf qu'en temps normal, Ares était toujours là. Et ce soir la, il n'y avait personnes.

Plus tard dans la soirée, malgré que Vince dormait profondément enveloppé de sa paisible couette, des cris raisonnaient jusqu'à ses oreilles. Des appels au secours. Lentement, il se réveilla en passant sa main dans ses cheveux en se dirigeant vers la grande fenêtre à sa droite. D'ailleurs toutes là ruelles a été réveiller, plusieurs personnes arrivaient en marchant dans le sens où toutes les personnes se dirigeaient. En sortant pratiquement la moitié de son corps de la fenêtre, il remarqua au loin une maison ravagée par des grandes flammes. Un feu aussi puissant que les fondations s'écroulaient. Mais en y voyant très clair, Vince reconnut aussitôt la maison d'Ares.

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