19. war

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Vic - Donc tout les profs se liguent contre toi ?

Emahia - J'ai des mauvaises notes alors que je donne tout... en plus ils sont désagréables et ils me prennent de haut. Maya les a tous monter contre moi Vic. C'est évident.

Vic - Putain, je vais la monter en l'air si ça continue.

Emahia - ...

J'ai souffler.

Il s'était levé de son lit. Il a toujours un bras dans le plâtre. Je suis souvent avec lui pour l'aider un peu... meme si en ce moment je suis presque au bord du gouffre. Mes études tombent a l'eau et le regard des autres commence à devenir insoutenable.

Vic - ... Ça me casse les couilles. Cette chienne se croit tout permis.

Emahia - ...

Vic se retourna vers moi alors que j'étais toujours silencieuse.

Vic - Faut pas que tu baisses les bras Emahia...

Emahia - Ça commence a faire trop... en plus l'avocat ne donne pas de nouvelles. Je suis sûre qu'ils font rien du tout... C'est trop Vic. Sur mes yeux.

Vic - Je sais...

Il s'est assit a côté de moi pendant que je le regardais désormais.

Vic: - Je t'ai déjà dis qu'on abandonnerait pas.

Emahia - ...

Mon téléphone s'est mit a donner, c'était le numéro ma mère qui s'affichait, j'y ai répondu.

Marie - Allô ?

Emahia - Oui maman.

Marie - Ou t'es ?

Emahia - Avec Vic. Pourquoi ?

Marie - On a reçu un appel de l'avocat.

J'ai immédiatement mit le haut parleur.

Emahia - Alors ? Qu'est ce qu'il t'a dit ?

Marie - Ils ont rien trouvé... l'enquête n'a mené à rien. Il n'ont pas de témoignages. Pas de preuves. Rien.

Je me suis laissée tomber sur le lit. Qu'est ce que je viens de dire ? C'est vraiment une journée de merde.

Vic - Je savais putain. Je savais.

Marie - On va pas laisser cette affaire comme ça. Vous pouvez venir a la maison ?

Vic - On arrive.

Marie - Emahia ?

Emahia - Ouais.

Marie - Te laisse pas abattre. On va trouver une solution.

Emahia - ...

Maman - Allez... on vous attends.

Vic - Ouais.

J'ai raccrocher pendant que Vic se levait pour enfiler sa veste.

Vic - Vas y lève toi, on y va.

Je me suis relevée nonchalamment, baisser les bras ? C'est presque fait.

On est descendu, depuis la dernière fois je n'ai pas eu a faire a son père et tant mieux.

J'ai conduis jusqu'à chez moi. La voiture de mon père était garée devant donc on est entré aussi.

Il se trouvait sur le canapé, le visage serrer comme jamais. Ma mere elle était debout et nous a regarder entrer.

Quand on est arrivé, mon père s'est immédiatement levé à son tour.

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