On n'écrit jamais sur la joie, l'amitié, le bonheur.
On se concentre sur les moments les plus sombres. Ce sont les plus inspirants, ceux que l'ont remarquent le plus, qui nous restent en mémoire.
On recherche tous le bonheur pourtant on n'en parle jamais. On se plaint de nos malheurs mais jamais on ne glorifient nos joies.
On se concentre trop sur la peine et la tristesse, en pensant qu'on atteindra jamais le bonheur. On croit récolter tous les malheurs du monde alors qu'on vit en permanence la joie et la bonne humeur.
On ne sait simplement pas reconnaître les bons moments car on ne nous apprend jamais à le faire. On vit dans une société glorificatrice de la tristesse, qui va trop vite et ne profite pas. Une société qui ne se rend compte de sa chance que quand elle l'a perdu. Société qui nous oblige malgré nous à être pareil.
On a peur de pleurer, d'avoir le cœur qui se serre et les entrailles qui se contractent. On vit dans une quête pertuelle du bonheur.
Pourtant la joie ne vient pas sans la tristesse. On ne remarque l'une que grâce à la naissance ou la fin de l'autre.
Car pour les êtres humains le bonheur est une fin en soit. Alors que ce n'est qu'un état d'esprit qui vient et repart à sa guise. Et si l'on résonnait de cette façon on vivrait peut-être tous plus heureux ?
En tout cas ce qui est sûr c'est que le bonheur n'est qu'une question de perspective.
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Petit texte écrit à la va vite hier, j'espère qu'il vous aura plus 😉
Bisouilles :*
