Don't cry, I'll protect you

Chapitre 8

*Flashback*

Ona était assis devant sa fenêtre. Hier, pour sa fête de 5 ans, elle a pu sortir , mais là elle doit rester sur le terrain.

Ses parents avaient sécuriser tout la maison pour leur enfant. Ils avaient tellement peur qu'elle se fasse mal. Eux qu'ils avaient essayer plusieurs fois pour avoir un enfant et ca avait enfin fonctionner. Ils avait été tellement contents. Ils allaient enfin avoir un enfant après tant d'année à avoir essayer. Ils avaient été voir de nombreux médecins, de sage femme, de voyante et même des sorcière avec l'espoir de recevoir plus d'aide.

Malheureusement, leur enfant est née avec une maladie qui lui coupa plusieurs chose dans sa vie. 

Ona voyait souvent des enfants jouer dans le rue et elle en était jalouse. Elle voulait aussi pouvoir jouer dehors et ne pas s'en faire à propos de sa maladie, mais c'était une chose qu'elle ne pouvait faire.

Un petit coup et elle pouvait finir à l'hôpital pour une semaine ou pour un mois. Elle voudrait se débarrasser de cette maladie comme on se débarrasse d'un insect qu'on ne veux pas dans la maison.

Elle vis le petit garcons qu'elle connaissait depuis longtemps venir cogner à sa porte.

Elle descendit le plus vite possible. Ses parents avaient déjà ouvert la porte au jeune garçons.

Ona lui sauta dans les bras pour l'apporter dans sa chambre. Elle adorait jouer avec. S'était son meilleur ami, Woozi ou comme elle aimait l'appeler Wowo.

Ils pouvaient jouer des heures ensembles sans sortir de leur monde. Même si Woozi était plus vieux de quelque année, Ils arrivaient à s'amuser très bien ensemble. Les jeux étaient à la fois pour des jeune filles et pour des garçons un peu plus vieux.

Leurs parents adoraient voir les deux jeunes ensemble. Ils se demandaient même s'ils allaient finir par être plus que des simple amis.

Leur relation continua de se développer au fils des années. Leur mentalité changea un peu, mais leur relation resta toujours la même.

Ona était rendu à 14 ans et Woozi 17 quand quelque chose s'est passer entre les deux. Les deux étaient dans la chambre de Woozi.

Aucun parents étaient dans la maison. Ils étaient seul assis sur le lit. Woozi s'étaient rapprocher d'Ona. Il avait passer son bras dernière Ona et celle-ci regardait fixement Woozi.

Il s'était pencher pour attraper les lèvres de son amie délicatement. Celle-ci se laissa faire et s'impliqua dans le baiser quelque seconde après.

Sans vraiment s'en rendre contre Ona n'avait plus son chandail et Woozi passait ses doigts sur sa peau pâle. Elle avait quelque bleu sur le ventre dû à son saut dans son propre lit qu'elle avait fait la veille. Woozi enleva aussi son chandail pour être à égalité avec Ona.

Les deux profiteraient du moment en se fessant des simples caresses.  Woozi fit coucher Ona sur le dos délicatement. Il se mit par-dessus elle. Il allait l'embrasser sur tout son ventre sans oublier sa poitrine.

Les jeunes découvraient le corps de son partenaire. Leur mains se promènent un peu partout sur le corps de l'autre. La température montait de plus en plus comme leur respiration.

Leurs joues commencèrent à perdre leur couleur de gêne pour se remplacer par la couleur de la chaleur. Leurs yeux se remplir de désire.

Ona était déjà rendu sans pantalon et Woozi aussi. Les deux n'avèrent plus que leur sous-vêtements sur le dos.

Ona commençait à voir se qu'il allait se passer et elle se crispa. Elle avait peur d'avoir mal. Les caresses de Woozi n'arrivaient à la faire oublier. Woozi le remarqua assez vite.

Woozi: ca va ?

Ona secoua la tête et laissa ses larmes couler de ses yeux.

Woozi: Ona..ca va
Ona: J-J'ai peur...

Woozi se coucha à côté d'elle et la pris dans ses bras. Ona pleura dans ses bras quelques temps.

Elle se sentait mal d'avoir briser le moment entre deux qui avait l'air presque parfait. Woozi ne lui en voulait certainement pas.

Leur relation révèrent comme quand ils étaient jeunes, à l'amitié.

Ona voyait Woozi plus comme un grand frère qu'autre chose et Woozi voyait Ona comme sa petite sœur.

Ils avaient passer cette scène sous silence. Plus personne en parlait, elle avait passer inaperçus au près des parents et les jeunes n'en firent plus mentionnant.

*Flashback*