Âmes Soeurs?

Réveil en terre inconnue

Pdv de Rena

Dans mon rêve, il y avait un beau jeune homme. Celui-ci était flou mais je pouvais distinguer le feu de sa cheveulure, sa silhouette musclé et haute. Il avait tout l'air du prince charmant, tout se passait pour le mieux avant que je distingue de mieux en mieux celui ci, je vis alors celui qui m'a poursuivis dans un grand terrain, mais je n'avais pas peur. Dans mon rêve cet homme ne me veut aucun mal c'est tout le contraire, dans son regard à présent net, quelque chose me faisais peur. Le désir que je pouvais y lire, me bloquais, mes jambes ne répondaient plus à mes ordres incessant.
Aller bouge!!!! Nom de dieu! Cours maintenant!
Mais rien n'y fais, je ne peux plus bouger et il se rapproche inéxorablement, toujours plus près et pose ses lèvres sur les miennes avec tant d'amour que je fut boulversée.

Je me réveille d'un seul coup, en nage dans mon lit, du moins j'aurais du me réveiller dans mon lit. À la place je me trouves dans un camïeu de rouge, de la soie ornait ce gigantesque lit à baldaquin. Mon énorme couette eut rapidement raison de moi. Il fait beaucoup trop chaud la dessous pour moi!
J'étais vraiment paumée, cette chambre m'étais tout simplement inconnue...Une vive odeur de chocolat fut transporter par la brise jusqu'à mon petit nez. Je ferme les yeux et savoure l'odeur pendant que mon estomac exprima sa faim par des petits pour le moins pas charmant, prenant mon courage à deux mains, j'explore un peu la maison, rapidement ce que je pensais être une simple maison se révèle être un véritable château! Certes j'exagère mais si vous êtiez à ma place, je vous garantie que vous penseriez la même chose. Mes pas me porte vers une étroite double porte et je ne sais pas pourquoi mais mon coeur fit des petits bonds de gazelle. Inspirant un bon coup, je passe le pas de la porte et me trouve dans un bureau, fort sympathique. Un grand bureau en bois lisse tronait au milieu de la pièce ainsin qu'un fauteil qui m'avait l'air plus que confortable, derrière, sur la gauche du bureau, se trouve une bibliothèque remplis à ras-bord de livres et biblos en tout genre, assurément un original celui la!
À droite se trouvais une porte, qui devait donner sur encore bien des pièces. En regardant cette porte j'eu un pressentiment...Je ne devais pas y entrer. Un peu comme dans le conte de Barbe bleu...ce fichu conte me tétanisais à chaque fois. Que voulez-vous? Chacun ses peurs!

J'étais tellement absorbée dans mes pensées que je n'entendais plus rien autour de moi, c'est sa voix qui me sortie la tête des nuages. En face de moi se trouve une magnifique rousse au regard aussi gris que le ciel un jour d'orage. Ses longs cheveux bouclé ainsi que ses tâches de rousseur la rendent juste éblouissante. Au début on se contenta de se regarder droit dans les yeux. Puis je prends mon courage à deux mains et lui demande, ce qui me tracasse.

- Humm...où suis-je? Je ne reconnais absolument pas les environs je me suis perdue je crois...pourriez-vous m'aider? demandais-je incertaine

- Tout d'abord je me présente lady Shaka Mcgregor, petite soeur du Duc, pour répondre à vos questionnement, nous sommes au manoir d'Argyll, celui qui se trouves en Écosse, mais nous allons bientôt allez sur nos terres à Londre pour le début de la Saison. Avez-vous d'autres question ?demanda-t-elle gentillement

Je la regarde éffarée, je me dit qu'elle est folle. Et que je dois vite quitter cette maison de fou. En un regard en coin j'essaie de voir si une porte étant ouverte et si j'arrive à courir assez vite avec le peu de forces que j'ai. En reculant un peu, je suis lui pose une autre question pour détourner l'attention.

- En quelle année sommes-nous?

Elle me regarde ahurie et répond que nous sommes en dix-huit cent cinquante. Je me stoppe net dans mon mouvement, une intuition me dit qu'elle ne ment pas, qu'il faut que je restes ici. Ses yeux gris orage me semble sincère et sans aucune animosité. Je ne sais pas si je peux lui faire confiance, mais une envie irrépréssible de me confier montes en moi. Je me retiens, pour l'instant je sens aussi que je ne dois rien dire mais comment leur demander de m'aider sans leur expliquer mon malheur?
Je réfléchis à toute vitesse, puis je décide de lui montrer la montre à gousset peut être, qu'elle, par je ne sais quel miracle, connaissait son origine. En approchant d'elle, je sors la montre de ma poche et lui montre.
Shaka me fait les yeux rond et me somma de la suivre. Elle cour presque à travers le dédale des couloirs de ce beau manoir. Je peine à la suivre et manque à plusieurs reprise de faire un bisous au sol. Je suis tellement absorber par le fait de ne pas voir les tapis de plus près que je ne remarque pas qu'elle s'est arrêter et lui fonde dedans.

Aiiiiiiiiiiiiiiie mon nez!!! Merde, crotte, zut, nom d'un dromadaire en californie!!!

Je masses le bout de mon nez en espérant atténuer la douleur mais bon ça ne sert pas à grand chose. Voyant que j'ai toute son attention Shaka toqqua à la porte à plusieurs reprise. On restes silencieuse mais rien. Aucun bruit. C'est alors que la rousse dévoila une partie de son tempérament de feu tout comme sa chevelure.

- Maaaaaaax!!! Je te jure que si tu n'ouvres pas cette porte dans la seconde qui suit, je demande à Pralin de réduire tes bijoux de famille en lambeaux! Tu sais que j'en suis capable!!! C'est important sale ours des Highland!

Elle reprend son souffle, me sourit et comme par magie moins d'une minute plus tard la porte se déverouille et s'ouvre. Je me retrouve face à cet homme qui me trouble tant.