(robe de Rena sans les pailettes)
Le soleil brille intensément en ce jour de printemps. Un léger vent soufflait faisant danser les arbres dans un élégant ballet sur un fond de forêt luxiriante ainsi qu'un magnifique
Observant cette magnifique vu, les bruits alentour ne comptaient plus, c'est pour cette raison que Theresa put facilement me prendre par surprise.Je suis d'humeur morose ce matin et elle le voit bien c'est pour cela qu'elle décide de me chouchouter. Le programme de la matiné, un bain chaud, une séance coiffure. Quand je m'apprête à mettre la même robe que j'ai depuis des jours, elle me tends un paquet. Curieuse, le sourire aux lèvres, je l'ouvre, et ce que je vois me laisse bouche bée, une magnifique robe, un mélange de bleu et or subtile, simple. La coupe était très simple droite et un peu près du corps à vue de nez, Theresa m'aide à l'enfiler et me voilà enfin bien dans ma peau. Cette femme a des doigts en or, elle a sut exactement réaliser la coiffure que je lui avait demander, une couronnes de nattes avec des mèches qui tombe par ci, par la. Le seul hic, je suis un peu trop petite pour la robe mais cela devrait aller. Enfin je percutes et me demande d'où viens cette satané robe. Je me doutes bien de la réponse et Theresa me confirme que Maximilian l'avait choisi voyant que je n'étais pas bien.
M'en foutant royalement de la bienséance, je me précipite à la recherche de Max. Je finis par le trouver dans les jardins. De la je hurle son prénom et lui sautes dans les bras. Celui ci me rattrape et me tiens mon visage au dessus du sien, Nos têtes à peu près à la même hauteur, je lui donnes un chaste baiser pour le remercier. Nos yeux s'accrochent et une flamme de désir s'allume. Nos corps se rapprochent ainsi que nos bouches jusqu'au moment ou une voix douce mais forte et un peu nasillarde se fait entendre.
Mais bien sur, il faut que Tara, c'est Theresa qui me l'a appris, gâche notre moment tous les deux.si je la laisse faire, elle voudra séduire Max! Hors de question!
Tara n'est pas encore en vu, je cherches autour de moi une cachette en vain, voyant ma panique Max me tire par la main vers une porte cachée derrière un épais et haut buisson.
Une fois dans la petite pièce, je respire enfin correctement.
L'absence de lumière ne permets pas de voir quelque chose, Max semble lui très à l'aise et allume une bougie par je ne sais quel tour. La lumière enfin établi, on peut distinguer, un simple bureau oû trones un chandelier ainsi que des papier et un plumier. En face du bureau se trouve un petit lit très simple et un canapé du même style. Je me tourne vers mon bel anglais avec une interrogation dans le regard.
Manifestement il sut déchiffrer mon regard car il m'expliqua que cette pièce lui sert à fuir la pression social quelques jours pour pouvoir écrire quelques mots, un peu comme un journal intime. En sommes ses mémoires pour transmettre certain enseignement à sa descendance. Seule sa femmes pourra, elle aussi écrire sur ces feuilles.
Ne sachant que faire je me pose sur le canapé et regarde le sol. Mes pensées se tourne vers cette comtesse, s'aiment-ils? Sont-ils proches? Le sentiment de la jalousie prends possession de mon être, sans savoir pourquoi je commences à bouillir et à vouloir taper tous et tous le monde. Je voulais sortir pour que Max ne voit pas l'état dans lequel je vais me mettre. Je me lèves brusquement et marche vers la sortie d'un pas rageur. Enfin en théorie, à peine deux pas plus tard Max me tiens par les hanches et me tiens tout contre lui. Restant dos à lui, je boudes telle une gamine qui n'aurait pas eu sa glace.
Sa respiration se fait sentir le long de mon coup, me procurant ainsi des frissons incontrolable.- Pourquoi partir? Pourquoi t'éloigner sans cesse de moi? Tu viens puis tu pars...Joues-tu avec moi? Fais tu tes griffes sur moi, petit chaton?
Je restes silencieuse...la honte m'envahit, suis-je si cruelle pour qu'il croit cela? Je ne mériterais jamais cet homme. Tara, elle serait parfaite en tant que duchesse. Et puis nous appartenons à deux mondes totalement différent. Comment s'aimer sachant cela?
Je bride mes sentiments naissant à son égards et lui réponds, il ne mérite pas mon silence interminable.- Suis-je si cruelle envers toi? Je suis désolée...Je ne mérites pas ton intérêt, tu sais je commençais sérieusement à m'attacher a toi, mais cela est une erreur, nous ne sommes pas du même monde et puis tu as Tara à tes côtés...
dis je en restant de dos pour que les larmes qui perlent sur mes joues ne se voient pas.Malheuresement il en décida autrement et me tourna vers lui avec une brutalité nouvelle. Ses yeux brule de colère, j'essaie de soutenir ce regard, mais c'est trop dur.
Je n'en peux plus. Je me débats dans ses bras, je le griffes, le pince, le mord sans succès!
il est en pierre ou quoi?!
J'abandonne, pour s'assurer que je me suis calmée, il attend quelques secondes avant de fondre sur mes lèvres.
Son baiser est différent, sauvage, brutal, il s'agit d'avantage d'un punission. Je réponds à son baiser avec ardeur, faisant tous pour encore plus proche, mes bras s'enroulent autour de son coup, mon corps se colle au sien quant à lui ses mains tiennent fermement mes fesses et me colle contre son érection. La passion nous emportent, et bientôt je ne suis plus que en sous vêtements et lui torse nu. Dans notre bulle, on ne se soucie plus des conséquences, il me soulève et naturellement mes jambes s'accrochent à sa taille, tous en s'embrassant il m'allonge sur le lit.Et c'est la que les choses sérieuse commencent, ses lèvres quittes ma bouche et se pose partout sur mon corps, il me laisse des suçons à des endroits ou personnes ne les verras.
Le seul hic c'est quand ses mains remontent vers mon soutien-gorge, je l'ai garder en enfilant la robe, un oubli de ma part mais si amusant quand je vois Maximilian, ne pas réussir à la dégraffer. Je souris malicieusement, je ne comptes pas lui faciliter la tâche. S'énervant il s'assieds sur le lit et me fais m'assoir sur lui, profitant de cette position, je me frottes à lui sensuellement et dépose des baisers partout sur le haut son corps pour le déconcentrer.Et ça marche parfaitement, Max n'arrives pas à se concentrer et s'énerve. J'essaie de le faire à sa place mais quand j'ammorce le mouvement, il me bloque.
- Laisse moi faire j'y arriverais, sinon je peux toujours le déchirer.
Très bien! qu'il se débrouille! À peine pensé qu'il arrive enfin à l'ôter.
Il reprend la ou on en était et commence à téter mon sein comme une bébé tout en passant une main entre nos corps pour toucher mon point de plaisir.
Les préliminaires ne durent que quelques minutes, nous sommes bien trop presser, il enlève rapidement le reste de ses vêtements et s'allonge au dessus de moi se tenant sur les coudes. Il me regarde amoureusement avant de m'embrasser tendrement. Je le sens venir en moi, une sensation de brûlure vient se faire sentir, me crispant instentanement, il le sens et me cajole le temps que ca passe.Je commences à bouger les hanches de moi même, et la il sent que tous va bien, il bouge doucement, tendrement. Ma tête est vide, je ne ressens que lui et ses mouvements lascifs. C'est bon, tellement bon, je gémis tellement que s'en est gênant. La seule chose qui me rassure c'est que lui aussi pousse des grognements de plaisir et que je sens ses muscles trembler, se contracter sous mes doigts. Je suis au bord de craquer mais je me retiens pour jouir avec lui, au final il accélère, c'est cela qui me fais basculer, je jouis et lui aussi.
Des spasmes secouent nos corps à l'unisson. Il se couche et me colle contre lui mes yeux se ferment mais je me rapelle que nous ne pouvons pas. Finalement nous nous rhabillons mutuellement, un dernier baiser et nous partons chacun de notre côté malgré notre envie de rester l'un avec l'autre...Je me demande ce que l'avenir va nous réserver...
VOUS LISEZ
Âmes Soeurs?
Historische fictieQuand une femme moderne rencontre un homme aux anciennes coutumes à travers un voyage aussi étrange que plaisant. Découvrez une romance au coeur de l'ancienne Angleterre où les bals et les robes a froufrous sont encore de mise. Renata Auditore va d...