chapitre 9 Il faut Sauver Sean

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Depuis mon réveil, je n'avais qu'une obsession, retrouver Sean.
Mais comment ? J'avais fait en sorte que personne ne puisse le retrouver, pas même moi. J'étais désespérée.
Freya était dans son atelier, je l'y rejoignis.
Elle avait fait de la grande serre un atelier ou elle s'entraînait aux sorts les plus complexes, en s'aidant du vieux grimoire de ma grand-mère paternelle, la sorcière originelle.
La majeure partie était réservée aux plantes dont elle se servait pour ses potions, la seconde était occupé par un établit immense et des étagères pleines de bocaux et de bougies.
- Qu'est ce que tu fais ? Lui demandais- Je.
Elle me sourit.
- Ça y est ! Tu reviens parmi les vivants ? Me demanda t-elle
Je lui rendis son sourire.
- Il est parti, c'est comme ça ! Alors à quoi bon ?
- C'est mieux comme ça princesse, ton père n'aurait jamais accepté de vous voir ensemble, et tu n'aurais pas toujours été là pour le protéger. Sans compter le danger qu'il te faisait courir.
- Mmm. Si t'avais fait un sort que tu veux annuler, tu t'y prendrais comment ?
- Tout dépend du sort que tu as jeté.
Elle fronça les sourcils
- Qu'est-ce que tu as fait ?
- Rien. C'est juste une théorie.
- C'est impossible si je ne sais pas quel sort tu as utilisé.
Je me mordis la lèvre inférieure
- Un sort qui empêche la localisation ? Demandai Je d'une voix à peine audible
Elle me fixa, l'air désapprobateur.
- Hope ! On vient de dire qu'il valait mieux que tu reste loin de lui !
- Oui, je sais, mais il est en danger ! Je le sens !
- Comment ça ?
- J'ai rêvé qu'un vampire le tuait cette nuit.
- Quoi ? Mais tu rêves souvent de lui comme ça ?
- Non seulement quand il est en danger. Comme le soir de la pleine lune, la nuit d'avant, j'ai rêvé que papa le tuait.
Elle m'observa, pensive.
- Un lien pareil, c'est rare tu sais. C'est ce qu'on appelle les âmes soeurs.
Cela signifie que vous êtes liés par un lien très puissant. Si tu te serts de ce lien. Tu pourras entrer en contact avec lui. Mais attention, c'est une magie dangereuse. Alors vas- y doucement ok ? Et je ne t'ai rien dis !
Je promis et filais dans ma chambre avec un grimoire qu'elle m'avait donné.
Je bloquais la porte par un sort d'enfermement et lisais le livre d'une traite.
- Phesmatos amarus moranus corpus.
Je dû m'y prendre à trois fois, et soudain, je me retrouvais dans une grotte qui ressemblait un peu à la notre, la cascade en moins. Il était là, assis sur une pierre à côté d'un petit feu de camp, la tête dans les mains, il semblait mal en point, ses vêtements étaient déchirés, il avait maigri et il semblait si seul ! Mon coeur se serra !
Qu'est- ce que j'avais fait !
- SEAN ! Je l'appelais. Mais il ne m'entendait pas. Je n'étais pas vraiment là. Bon, pas de temps à perdre, je devais savoir où il était. Je cherchais dans les environs, s'il y avait un indice quelconque, je trouvais un tiquet de bus, une carte sur laquelle une ville était entourée de rouge. San Francisco.
Je sursautais, interrompant le lien.
- Flûte ! La ville des Reus et de la reine Attara. De toutes les villes américaines, il avait fallu qu'il choisisse celle qui était infestée de Vampires.
Bon, inutile de s'inquiéter pour ça, le plus compliquer était de se rendre sur place.
Je quittais ma chambre et me rendis au salon, j'y trouvais Rebeckah.
- Salut !
Elle me toisa avec surprise.
- Mais elle parle ? Incroyable !
Je lui adressais une grimace et elle sourit.
- Oh ça va ! Tu sais que la rentrée c'est la semaine prochaine !
- Oui et alors ?
- Bein il faudrait peut-être que je m'achète de fringues ! J'ai rien de correct à me mettre !
Tu veux que je t'emmène faire les boutiques ?
Je lui souris
- J'adorerais ! Je m'assombris aussitôt mais je suis toujours puni.
- C'est pour la rentrée ! Et puis tu es avec moi, il ne peut rien t'arriver.je préviens ta mère.
- Je vais me changer
J'enfilais un jean et un tee shirt, mon blouson en cuir noir, mon sac à main avec mes papiers d'identité et un peu d'argent et la rejoignis.
Freya leva le sort qui m'empêchait de sortir de la maison, je montais dans le coupé sport de Rebeckah.
Le voyage jusqu'au centre commercial fut bref mais agréable.
Je discutais et plaisantais avec ma tante comme si de rien n'était.
Une fois sur place. Nous entrames dans une boutiques, je choisis de 'ombreux vêtements, tout en vérifiant que la queue devant la caisse était très longue. Nous nous dirigeants ver la caisse
- Il faut que j'aille aux toilettes lui dis-je
- Quoi ? Maintenant ? Ça peut pas attendre ?
- Non, sauf si tu veux que je me fasse dessus !
Son regard passa de la pilla de vêtements à moi.
- Bon ok. Je t'accompagne !
- Inutile ! Je peux me débrouiller seule. Tu n'as qu'à payer et tu me rejoins après.
- Non. Hope, tu ne vas nulle part sans moi !
- Ok, mais je peux pas me retenir. Alors depeche-toi.
Elle bousculade tout le monde pour arriver à la caisse. Je l'attendais sagement. Elle attrapa la caissière qui ratait et voulu l'hypnotiser, malheureusement pour elle, toute la file d'attente lui tomba dessus.
Je levais les bras au ciel et lui criais.
- Désolée, je peux pas attendre. Je file. Je te rejoins après
- Non ! Hope, attends.
Oh vous ça suffit. Dégage !
L'entendis-je juste avant de disparaître à la vitesse d'un vampire.
Je quittais le centre commercial et montais dans un taxi. Je dû hypnotiser le chauffeur pour qu'il me conduise à l'aéroport.
Je ne sais plus combien de fois j'en recours à ce subterfuge, quoiqu'il en soit, je volais bientôt en direction de San Francisco.
Une heure plus tard, j'atterrissai à l'aéroport. Je trouvais un coin tranquille, en l'occurrence les toilettes, et entrais dans l'esprit de Sean. A force de chercher, je trouvais l'endroit où il se cachait. Brodericks road.
Je hélas un taxi et me rendis dans cette petite ville. Dans un bar, je me procurait une carte et cherchait la grotte. Ayant enfin trouvé, j'hypnotisais un jeune homme qui avait la chance d'avoir une voiture, et me fit conduire à la grotte.
Je trouvais l'entrée de la caverne, il était là, Sean ! Comme dans mon rêve.
Mon premier réflexe avait été dème jeter dans ses bras,mais je me rappelais à temps s'il ignorait qui j'étais.
J'entrais lentement.
Il se leva, sur le qui vive.
- T'es qui ? Qu'est ce que tu veux ?
- Oh, du calme, je cherche juste un endroit où m'abriter !
- Oui, Bein, c'est déjà occuper, cherches en un autre !
- Ça va, y a d'la place pour deux !
- Non ! Rugit-il d'un ton que je ne lui connaissais pas. Sûrement dû à la pleine lune. Vas t'en !
- Je reste, que ça te plaise ou non !
Il se rua sur moi et m'attrappa par le col de mon blouson,
- Je t'ai dis de dégager !
Je le repoussais violemment. Et il tomba sur le sol.
- Et moi, j'ai dis je reste !
Il se releva et se jeta sur moi, nous roulames sur le sol. Il était fort ! Et je compris assez vite que je n'y arriverais pas comme ça. Utilisant l'ultra son, je l'immobilisais. Il se tenait la tête à deux mains et j'en eu mal pour lui.
Je pris sa tête entre mes mains, et lançais
- Souviens- toi ! Souviens- toi de moi,
J'effacais l'hypnose.
Son visage s'éclaira lorsqu'il me reconnut
- Hope ! Il m'embrassa, effaçant par ce baiser pleins de douceur et de passion toute la douleur de son absence.
- Je t'aime ! Me dit- Il
- Moi aussi ! Nous nous embrassames de nouveau, et restèrent enlacés, comme si nous avions peur d'être séparés si on s'écartait.
Soudain, il me repoussa.
- C'est la pleine lune ce soir !
- Je sais !
- Tu peux pas rester là ! C'est trop dangereux !
Je ris.
- Sean ! Je suis un loup, moi aussi ! Tu ne peux pas me faire de mal.
- Oui mais...
- Ne t'inquiète pas ! Le rassurais-je. Je ne risque rien. En revanche, on peut pas rester là.
- Quoi ? Mais si, dans quelques heures je vais me transformer en monstre sanguinaire et tuer tout le monde sur mo' passage, c'est le seul endroit suffisamment isolé que j'ai trouvé ! Je reste là !
- Sean, cet endroit est infesté de Vampires.
- De Vampires ? Me demanda t-il d'une voix peu assurée.
Je hochais la tête.
- Oui, de terribles Vampires qui haïssent les loups, s'ils te trouvent, ils te tueront !
- C'est pour ça que tu es là ?
Je hochais la tête.
- Oui, je t'ai vu dans un rêve.
- Toi aussi ?
Je fronçais les sourcils.
- Comment ça ?
- J'ai rêvé de toi, mais je savais pas qui tu étais.
- Ah bon ? Et il se passait quoi dans ton rêve ?
Il déglutit.
- Tu te faisais tuer ! Admit-il dans un souffle.
Je déglutis à mon tour
- Bon, Bein y a plus qu'à éviter ça !
Allez, suis moi !
- Tu es sûre ? Et si on courait droit à l'endroit où tu es...tu sais...
Je luis souris d'un air triste.
- de toute façon, on a pas le choix, si on reste ici, c'est toi qui meurt !
Nous sortimes de la grotte et courumes le plus vite et le plus loin possible. La lune apparaissait lentement dans un ciel sans nuage.
Nous pavimes à un terrain dégagé, et Sean s'arreta net. Non hurla t-il. Soudain.
Je m'arrêtais et me tournais vers lui
- Quoi ? Qu'est ce qu'il ya ?
- C'est là ! C'est là qu'il t'a tué.
Je fixais la prairie déserte. Il n'y avait personne.
- Tu es sûre ?
- Oui, j'étais en train de me transformer, il est arrivé de nulle part, et il t'a... Il t'a arraché le coeur.
- Je vois. Bon, quoi qu'il arrive, reste derrière moi.et met ça dans tes oreilles.
Je lui tendis des bouchons d'oreilles.
Il les prit, les enfonca dans ses oreilles mais ne répondit pas, un gémissement sortit de ses lèvres serrées.
La lune ronde était haute dans le ciel.
Il était en train de muter. Je fixais l'endroit d'où le vampire devait sortir, et en effet, il arriva. Il devait faire un mètre quatre vingt dix, à son allure, il me faisait penser à un vieux vampire, sûrement un membre de la cour de la reine Attara
Je sortis mes crocs.
- Stop ! N'approchez pas !
- Qui es tu ?
Il avait un fort accent étranger. Mon père avait dit que des Vampires étaient venus d'Europe pour combattre Attara. Aie, ça se présentait mal.
- On ne veut pas de problème !
- Tu appartiens à cette chienne d' Attara ?
- Je n'appartiens à personne !
- Mais tu traînes avec un loup ! Tu déshonore ta race. Écarte toi que j'elimine cette vermine !
- Je vous laisserai pas faire ! J'étais morte de peur. Mais pour rien au monde je le lui aurais montré.
- Alors tu mourras avant lui.
Je lançais aussitôt mes ultra sons, le vampire se tint les oreilles, en proie à une douleur indescriptible. Je mutais et entraînait Sean avec moi.
Le vampire s'était déjà ressaisit et nous poursuivait.
Il nous rattrapa et bondit sur Sean.
Je me retournais et lui sautais sur le dos. Je plantais mes crocs acérés dans son épaule. Le sang jaillit de la blessure, il hurla de douleur.et m'envoyant valser quelques mètres plus loin.
Il se redressa et s'avança vers moi. J'étais groggy. Je secouais la tête et me relevait tant bien que mal.
Sean se jeta sur lui comme il m'attendait. Il planta ses crocs dans sa nuque. Le vampire se débattit, mais le loup tint bon. Ils roulerent sur le sol. Sean glapit. Je bondis à mon tour et arrachait la gorge du monstre. Sean clopina jusqu à moi, nous nous léchames le museau, heureux d'être en vie. Soudain je me hérissais, et me retournais vers l'orée de la forêt, babines retroussées.
Sean mimita sans comprendre
Un couple déboucha de la frondaison. Ils s'arrêterent en nous voyant et sortirent les crocs. Des Vampires !
Ils s'élancerent sur nous. Sean bondit sur l'homme et le saisit à la gorge, il apprenait vite ! Il planta ses crocs dans la carotide, le vampire s'écroula sans émettre un son.
Je laissais approcher la femelle, nous nous tournames autour, dans une ronde mortelle. Avec un cri sauvage, elle se jetait sur moi, je l'évitais de justesse. Elle se retourna et me saisit par les épaules. Elle allait me briser les côtes. Je glapis de douleur. Sean bondit sur elle, elle me lâcha et tenta de se retourner, trop tard, le loup gris lui tomba dessus de tout son poids. Ils tombèrent dans l'herbe humide et Sean chercha la gorge. Elle le frappa au museau, il glapit de douleur, la mâchoire fracturée. Je me jetais sur elle et lui arrachait la gorge. Épuisés, nous tombames l'un sur l'autre.
Les combats avaient durés toute la nuit. La lune disparut, avalée par le soleil levant. Sean redevint humain. Un adolescent nu, et superbe. Le problème, c'est que moi aussi, j'étais nue. Je cherchais mon sac et finis par le dénicher, je finissais de m'habiller lorsque Sean se réveilla.
- Salut !
Je lui souris.
- Salut.
- Tu parles d'une nuit !
- ouais, plutôt mouvementée.
Je lui jetais son sac, et me retournais pendant qu'il s'habillait. Soudain, j'entendis des voix provenant de la forêt. Ah non, ça n'allait pas recommencer ! Je m'avancais et me tenais devant Sean. La veille il m'avait sauvé la vie, mais à présent, c'était à moi de le faire. Ils surgirent du bois et nous fixerent. Ils aperçurent les corps des Vampires et sortirent leurs crocs. Une demi douzaine de buveurs de sang aux canines acérées, et à la force colossale.
- C'est vous qui avez fait ça ? Me demanda une femme, l'air furax
- Pourquoi ? C'était ton mec ?
Elle gronda.
- Mon frère ! Sale garce !
- Hope ? Me demanda Sean inquiet.
Elle bondit et je lançais un signal sonore qui l'arreta.
Je pris Sean par le bras, et nous nous éloignames, à reculons. Mes forces durement éprouvées faiblissaient, je ne pourrais pas tenir longtemps. Je lâchais, et entraînais Sean derrière moi. Nous courumes comme si notre vie en dépendait, euh en fait, c'était le cas. Ils s'étaient lancés à notre poursuite.
Ils rattraperent Sean. La femelle lui bondit dessus. J'enclanchais le signal, elle le lâcha, mais je trébuchais, trop faible pour continuer. Sean me soutint, nous étions encerclés.
Sean se plaça devant moi.
- Laissez la tranquille ! Hurla t-il.
- T'es quoi toi ? Son dîner ? Demanda l'un d'eux.
- Je suis son mec ! Cracha t-il.
Ils éclaterent de rire.
L'un d'eux lui jeta de l'herbe au visage, il cria de douleur.
- C'est un loup !
- Une vampire et un loup ? Quel drôle de couple.
- Toi ! La fille se tourna vers moi. T'es quoi au juste ?
Je lui montrais les crocs.
- À ton avis ? Grognais- Je.
- Si t'es un vampire, alors comment t'as fait pour lancer ce truc ?
- Quoi ? Lancais- Je. Ça ? Je lançais un signal et m'éffondrais. Sean me soutint de nouveau.
Le moment de douleur passé, ils resserrerent les rangs. Ils parlèrent entre eux, dans leur langue que je ne comprenais pas, mais je savais qu'ils s'interrogeaient sur ce que j'étais.
- Comment tu fais ça toi ?
- Qu'est-ce que ça peut te faire ? Gronda Sean.
- Toi, le loup, tu seras le premier à mourir.
- Essaie un peu pour voir ! Cracha t-il.
La fille avança et Sean fit une chose insensé, il lui sauta dessus.
Ils lutterent un moment, et il lui brisa la nuque.
Crânement, il fit face aux autres Vampires. J'avais beau savoir qu'on s'en sortirait pas, j'étais super fière de lui.
Les Vampires sifflerent.
- Bravo ! Mais c'est qu'il mordrait s'il avait des crocs !
- Ça suffit ! Criai-je. Je me redressais.
Je suis Hope Mickelson, fille de Klaus Mickelson l'hybride originel et Haylay, la reine des loups du croissant, vous voulez vous battre ? Venez, je vous attends !
Ils se concerterent, je savais que mon petit discours avait fait son effet, mais je savais que ça ne durerait pas. Dans quelques minutes, nous serions morts, je songeais à mes parents, retenant mes larmes à grand peine.
L'un des hommes bondit sur moi, Sean s'interposa. Il le balaya d'un geste, je lui sautais dessus et enfoncais ma main dans sa cage thoracique. Je lui arrachais le coeur. Il s'écroula.
Soudain, un signal sonore retentit. Les Vampires s'éffondrerent...Et Sean aussi. Le signal cessa et un groupe entra dans la prairie. Je sentis l'odeur des loups, une odeur caractéristique, mes parents.
Les Vampires se releverent, et se fut un massacre ! Mon père tua les deux premiers d'un seul coup, il leur arracha le coeur, Elijah en tua deux autres, il leur arracha la tête. Rebeckah planta un pieu dans le coeur de la femelle, et kaulh saisit un vampire à la gorge il l'étrangla lentement, lui enfonçant les doigts dans la carotide avant delà lui arrachée.
Voir ma famille en pleine action était un spectacle terrifiant et magnifique à la fois, l'économie, la précision et la grâce de leurs gestes, comme dans un ballet tragique. J'étais fascinée.
- Mais qui êtes vous à la fin ? Lança le dernier vampire.
- Sa famille ! Répondit kaulh.
Mon père enfonca sa main dans la poitrine du tueur.
- Et moi je suis Klaus Mickelson ! Son père ! Et il lui arracha.
Il ne restait que des corps momifiés autour de nous.
Ma mère se précipita vers moi, mais un vampire que l'on avait cru mort m'attrappa à la gorge.
- Laissez moi partir ou je la tue. Il tenait un pieu qu'il brandissait contre ma poitrine.
- Touches à un seul de ses cheveux et tu seras mort dans la seconde ! Affirma Elijah.
- Et alors ? Vous allez me tuer de toute façon.
Il se crispa soudain, le pieu tomba au sol, il s'effondra, un pieu avait traversé sa poitrine, partant du dos.
Sean venait de me sauver la vie ! Une fois encore.















































































The Vampires Diaries,  Une Ado Pas Comme Les AutresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant