chapitre 1 la rencontre

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Apres avoir écrit the Vampires Diaries l'aventure continue,  je n'ai pas pu lâcher les personnages, aussi, j'ai écris une suite qui concerne Hope Mickelson la fille de Klaus et Haylay. J'espère qu'elle vous plaira. J'attends vos commentaires et vos votes. Merci
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Moi, c'est Hope, Hope Mickelson, ce nom ne vous dis rien ? Tant mieux, il est déjà bien trop connu dans certains milieux.
J'ai quinze ans et je vis à Mystic Falls, une petite ville du Sud des États Unis, une petite ville tranquille, comme il en existe des centaines. Comme les autres ? Hum. C'est peut être vite dit !

Quoi qu'il en soit. Ce jour là, je déambulai dans les rues, heureuse d'être libre, loin du carcan familial.
Même si je savais que ça ne durerait pas longtemps, ils me retrouveraient très vite, ils le font toujours.
Quinze heures venaient de sonner au clocher, les enfants allaient sortir de l'école, je me cachai derrière un gros chêne, et guettai Ethan Salvatore, j'adorais ce gamin, avec son épaisse tignasse brune, ses beaux yeux bleus, c'était le portrait craché de son père Damon. De plus, il était doté d'un sale caractère et passait son temps à s'attirer toutes sorte de problèmes.
Je le vis sortir, en retard, comme d'habitude, l'air furieux.
- Allons bon. Pensai- Je. Qu'est-ce qu'il a encore fait ?
J'attendis qu'il s'éloigne un peu, inutile de me faire remarquer.
J'allais le rejoindre, lorsque quatre garçons d'une quinzaine d'années, surgirent et l'entourerent.
- C'est toi Salvatore ? Lui demanda l'un d'eux.
Ethan serra les point, et adressa un regard mauvais à son interlocuteur.
- Pourquoi, qu'est ce que tu me veux ?
- C'est toi qui a frappé mon frère ?
Ethan sourit, de ce sourire en coin, qui n'annoncait rien de bon.
- Ça dépend, c'est qui ton frère ? Le gros porc qui pleurniche tout le temps où la poule mouillé qui se cache derrière son grand frère pour se défendre ?
- Eh, morveux, fait gaffe à ce que tu dis .
Le garçon empoigna Ethan par les épaules et tenta de le soulever, le gamin lui envoya un coup de pieds dans les testicules, il le lâcha et tomba à genoux, plié en deux sous la douleur.
Tout en riant et se moquant de leur ami, les autres se ruerent sur l'enfant qui se débattait comme un beau diable, mordant, greffant et assenant des coups de pieds et de poings.
Ça tournait au vinaigre, il fallait que j'intervienne.
Je grimacais , maman n'allait pas aimer ça.
Je sortis de ma cachette.
- Lâchez le ! Criai-je.
Ils le lâcherent et me toiserent d'un air mauvais.
- De quoi tu t'meles toi ? Dégages !
Ethan, qu'ils avaient reposé au sol eut eut un rictus moqueur.
- Alors là les gars, je vous préviens, ça va faire mal.
Je tendis les bras vers eux, et psalmodiai
- Phesmatos corpus levitaum.
Les jeunes n'eurent pas le temps de comprendre ce qui leur arrivait, ils décollerent de quelques mètres au- dessus du sol, comme en apesanteur, sans aucun contrôle sur leur mouvements.
Ethan sourit,
- Je vous avais prévenus.
Concentrée sur mon sort, je m'amusais comme une folle !
Les garçons allaient et venaient, se heurtaient avec des cris de douleur, sous les éclats de rire d'Ethan.
Je les lâchai subitement, et ils tombèrent lourdement au sol.
Je plantai mes yeux dans les leurs, les uns après les autres.
- Il ne s'est rien passé, tu ne m'as pas vu, tu n'es pas allé à l'école et tu ne t'en prendras jamais à Ethan Salvatore.
Leurs regards devinrent flous, l'hypnose avait fonctionné.
Prenant Ethan, hilare, par la main, je l'entraînai dans le parc.
Nous nous asseyames sur un banc, et je sortis de mon sac, deux sandwichs et deux sodas.
- T'es la meilleure Hope !
- Hum, et si tu me disais ce qui c'est passé ?
Il haussa les épaules.
- C'est à cause de Jonathan Fell, il a dit que mon père est un monstre.
Je fronçai les sourcils,
- Et donc. Tu l'as frappé ?
Il sourit,
- Je lui ai donné un coup de poing dans le nez. Paf en plein dans son gros pif. Mais la vieille Mackey m'a puni, elle a mis un mot dans mon cahier. Elle veut voir les parents. Ça va chauffer cette fois.
Je lui passai un bras autour des épaules.
- T'inquiètes, ils vont pas te tuer. Ce sera un mauvais moment à passer, mais ça durera pas. Ils t'adorent.
Il me sourit.
Je jetai les déchets à la poubelle, et nous nous apprêtions à partir, lorsque des éclats de voix nous parvinrent.
Un peu plus loin, près des balançoires, un adolescent,d'une quinzaine d'années était au prises avec un chien, le rotweiller l'avait acculé sur le tourniquet, et babines retroussées, se ramassait pour bondir, les oreilles en arrière, le poil hérissé ne laissaient aucun doute sur ses intentions.
Le garçon se tenait au milieu du portique, il cherchait une échappatoire et tenait le molosse en respect à l'aide de son blouson dont il avait entouré son bras.
- Allons bon, grognai je, ils se sont passés le mot aujourd'hui !
Je demandai à Ethan de ne pas bouger, et m'apprêtais à intervenir lorsqu'un énorme loup gris, venu du sous bois se rua sur le rotweiller.
Il hurla de douleur et s'enfuit en boitant. Le loup s'approcha à son tour du garçon terrorisé.
- Flûte ! M'écriai- Je, il manquait plus que ça, ils m'avaient déjà retrouvée.
Je sortis des buisson et me précipitai devant le loup.
- Stop ! Hurlai-je. Laisse le. Vas-t'en ! Puis, tout bas. S'il te plaît maman.
Je déglutis, ça allait sûrement bardé à la maison.
Le loup planta ses yeux noisettes dans les miens, puis il grogna et repartit d'où il venait, mais je savais qu'il n'était pas loin.
Le garçon me lança un regard admiratif.
- Merci. Tu m'as sauvé la vie.
Je reçu l'impact de ses yeux bleux, et j'en perdis le souffle. Il était beau à tomber, un visage aux traits fins et réguliers, un nez droit, de larges épaules, une silhouette mince et élancée, des cheveux bruns, coupés courts.
- Je lui souris bêtement.
- De rien.
- T'as un sacré courage, t'as vu, on aurait dit un loup, je savais pas qu'il y en avait par ici.
Un hurlement de loup, un peu trop proche à mon goût, retentit.
- Bein, j'ai pas fait grand chose, commençai -Je.
- T'es sérieuse ? T'as été géniale ! Au fait, je m'appelle Sean, Sean Vermount
- Moi, c'est Hope Mickelson. T'es nouveau ? J't'ai jamais-vu !
- Oui, ma mère a hérité d'un maison dans le coin. Mes parents viennent de divorcer.
- Désolée, lui répondis-je. Embarrassée.
Un second hurlement retentit, je jurais !
- Bon, il faut que j'y aille ! A un de ces quatre.
Je rejoignit Ethan qui s'impatientait
- Qu'est ce que tu fabriquais ? Me reprocha-t'il. J'ai cru que ta mère allait le bouffer tout cru.
Je soupirai.
- Et toi, c'est ta mère qui va te bouffer tout cru si tu ne rentres pas.
Je récupérai mon sac, et rejoignit le loup avec Ethan.
La louve s'était métamorphosée, et avait fait place à ma mère.
Elle nous regardait d'un air sévère.
- Salut tante Hayley. Salua Ethan.
Elle lui sourit
- Ton père te cherche partout, tu vas te faire disputer, Ethan.
Il haussa les épaules.
- Un peu plus ou un peu moins !
- Bon, reprit ma mère, je te ramène chez toi, quand à toi, on va avoir une petite explication sur le respect des règles en vigueur ! Et sur l'école buissonnière !
Je ralai, et ma mère me lança un regard acéré.
Le trajet qui menait au manoir Salvatore s'effectua dans le plus grand silence.
Sur le pas de la porte. Elena et Damon Salvatore attendaient leurs fils, et leur regards ne disaient rien de bon.
- Merci Hayley, dit Elena en attrapant son fils par les épaules.
- De rien, j'ai l'habitude de retrouver les petits fugueurs. Elle me jeta un regard entendu.
Ethan me lança un regard de martyr auquel je répondis par un sourire contrit.
Pas un mot non plus sur le trajet de la maison, c'était mauvais signe.
Une fois à l'intérieur, je m'apprêtais à me rendre dans ma chambre lorsque la voix de mon père m'arrêta net. Aie, c'était pire que ce que je pensais.
- Hope ! Dans mon bureau, tout de suite !
Je m'executai en soupirant.
Mon père, de son nom Klaus Mickelson, de loin le mec le plus craint parmi les créatures surnaturelles, un Hybride mi loup - mi vampire, de la famille Originelle, était l'homme le plus intimidant que je connaisse. Mais c'était aussi un père génial, je l'adorais, mais lorsqu'il était en colère, waouh valait mieux pas être sur son chemin.
- Alors. Ma douce, il m'appelait toujours comme ça. L'école était ennuyeuse à ce point que tu as préféré faire une balade sans prévenir personne ?
Il était calme, trop calme, assis derrière son bureau, un sourire carnassier aux lèvres.
La tête baissée, je restais silencieuse.
- Je vois, poursuivit-il. Tu n'as rien à dire pour ta défense, jeune demoiselle ?
Je haussai les épaules.
Le regard de mon père se durcit.
- On en a déjà discuté Hope ! Tu ne vas nulle part sans nous prévenir et sans en avoir reçu l'autorisation. C'est pour ta
- Sécurité, oui, je sais, le coupai- Je.
Il se leva d'un bond et malgré moi, je reculai il frappa du poing sur la table.
- Bon sang Hope ! Combien de fois faudra- t- Il le répéter ? Notre famille à des ennemis, de nombreux ennemis qui seraient trop heureux de se servir de toi pour nous atteindre, ou pire, qui pourraient seulement prendre plaisir à te blesser ou même te tuer ! On veut seulement te protéger ! Et j'apprécierais que tu nous facilites les choses !
J'explosai soudain
- Mais je peux me défendre toute seule ! C'est vrai, à quoi ça sert d'être la sorcière hybride la plus puissante du monde si je ne peux même pas sortir de chez moi !
- Du calme ma douce, il se redoucit. Ta mère pense que ce serait bien pour toi de vivre normalement. Elle m'a convaincu, il secoua la tête et leva les yeux au ciel, cette décision semblait beaucoup lui coûter, de t'inscrire dans un lycée normal l'année prochaine.
J'equarquillai les yeux.
- Quoi ?
- Il est temps que tu vives une vie normale d'adolescente. Que tu connaisses les bals de promo, et autres frivolités, mais attention, plus de fugues, d'école buissonnière ou autres. Et pas de magie, ni de transformation ! Compris ?
Je lui sautais au cou.
- Merci, lui murmurai je à l'oreille. Je t'aime, t'es le meilleur papa du monde.
Il rit et me flanquaune légère tape sur les fesses.
- allez, petite chipie, pas de basses flatteries.
Je lui souris et m'apprêtais à sortir quand il me rappela :
- Hope ? Tu es privée de portable, d'ordinateur et de sortie pendant une semaine.
Je soupirai mais n'insistai pas. Au final, je m'en tirais à bon compte.

Bien plus tard, allongée sur mon lit, je repensai au garçon du parc, je me demandais pourquoi il m'avait autant troublée. Je souris en songeant que je le reverrai bientôt au collège.
J'avais hâte d'y être !






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