Peut importe ce que les gens diront je t'aime au delà de tout.

Chapitre 10 : Ne me sous estimez pas Mademoiselle Swan.

Emma Swan roulait direction Boston. Elle avait accomplie sa mission. Raccompagner Henry chez lui. Pourtant la jeune femme était troublée... Par Regina Mills la femme froide au corps de déesse et à la  beauté à couper le souffle.  C'était ça l'objet de ses tourments. Elle ne croyait pas aux coups de foudre. Pourtant... Elle jurait en avoir eu  un pour Regina Mills. Instinctivement elle jeta un coup d'œil au siège d'a côté comme pour se demander si elle n'avait pas rêver et elle vit le livre d'Henry posé sur le siège.

- Le petit malin, souria-t-elle.

Elle releva la tête et vit un loup qui lui barrait la route. Elle donna un coup de volant afin de ne pas percuter l'animal mais tapa dans le panneau 'Leaving Storybrooke.' Sa tête percuta violemment le volant et Emma sombra peu à peu dans le néant tandis que le loup hurlait à la mort.
Le lendemain elle ouvrit un œil. Puis deux. Elle reconnue qu'elle était dans une cellule. Emma poussa un grognement et se releva. Face à elle un homme barbu de petite taille la dévisageait.

- Qu'est ce que tu regardes ma petite ? grogna l'homme.

- Eh Leroy ! s'exclama un homme plus âgé. Les bonnes manières ! N'oublie pas que c'est une invité ! Alors comme ça vous êtes la mère d'Henry ? demanda-t-il à Emma. C'est bien pour lui que vous vous en occupiez un peu.

- En réalité je n'ai fais que le raccompagné chez lui, répondit Emma.

- Ah moi je te comprends, fit son voisin de cellule. Les sales morveux qui en voudraient ?

- J'aurais tout donné pour avoir un enfant, repris le vieil homme. Ma femme et moi avons essayé pendant des années mais ça devait être écrit qu'on en aurait pas.

- Arrête tu vas me faire pleurer, ironisa Leroy.

Le shérif arriva et libéra Leroy. Emma se releva et passa ses bras et sa tête entre les barreaux.

- Qu'est ce que je fais la ?

- Les cocktails de Regina sont un peu fort, déclara le sherif en souriant.

- Je n'étais pas saoule.

- Ils disent tous ça,marmonna-t-il.

- Graham ! lança une voix.

Des bruits de talons  précipités claquèrent sur le sol du bureau du sherif et Regina Mills les traits marqués par l'inquiètude entra. Elle se figea instantanément quand elle vit Emma dans une cellule. Regina se doutait au fond d'elle qu'Emma n'était pas partie. Son destin était en train de se dérouler après tout. A force de fixer la blonde, l'image de Clochette s'imposa de force dans son esprit et elle revit encore et encore Clochette lui dire ce qu'elle savait depuis longtemps et ce dont elle avait passée la nuit à rêver la tirant à plusieurs reprise des bras de Morphée... Au fond d'elle même, même si Regina voulait  détester Emma Swan, elle savait. C'était elle et personne d'autre. Comme Clochette lui avait si bien prédit.

- Qu'est ce qu'elle fait encore ici ?

- Regina qu'est ce qu'il se passe ? esquiva Graham.

- Henry a encore disparu.

Regina s'approcha de la cellule d'Emma Swan. Emma qui sentait ses sens se mettre en alerte, son estomac se nouer, son cœur qui battait à la chamade rien qu'à la vue de cette femme.

- Vous savez où il est ?

Emma était médusée. Jamais elle n'avait vue de femme aussi belle. Regina dégageait une aura puissante et envoutante. C'est ça... Emma était envoutée par la femme.

- Mademoiselle Swan ? Vous êtes avec nous ? ironisa Regina.

- Chère madame si je le savais je ne serai pas ici. En revanche je peux vous proposer de le retrouver en échange de ma liberté.

Rien que ça ? Regina était amusée. Cela lui rappelait quelqu'un... Mais la reine n'avait pas besoin d'elle. Allez Regina, dis lui que non tu peux t'en sortir tu es sa vrai mère, tu n'as pas besoin d'elle, dis lui des mots qui font mal. Mais à la place la Méchante Reine céda et fit ouvrir la cellule d'Emma. Celle ci allait sortir mais Regina lui barra la route.

- Après ça je veux que vous quittiez la ville.

- Pourquoi ?

- Ne posez pas de question et surtout ne me sous estimez pas Mademoiselle Swan.