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Je me réveille en sursaut. A nouveau la sonnerie stridente retenti et les portes s'ouvrent. 
Je suis les autres et retrouve Amelle dans la cour. On commence à marcher en direction de la cafétéria surveiller par une dizaines de gardes. Pour une prison hyper sécurisé je trouve qu'on a pas mal de petites liberté. Des gardiens nous donnaient des plateaux déjà préparés. Un morceau de pain, un verre de lait et une orange.  On s'est assises a une table et on à commencer  à parler de la séance hier.

- tu te battait bien au début mais pourquoi d'un coup tu tes arrêter ?  Commence Amelle. Je soupire et décide de lui dire la vérité. C'est ma seule amie ici, et je pense que je peux lui faire confiance.
- j'ai vu ces yeux.
- quoi ? Et tu es tombée amoureuse au premier coup d'oeil ?
- non.
- alors quoi ? Crache le morceau ! Dit-elle avec exaspération tout en empêchant son orange.
- je l'ai reconnue.
- c,est ton ex ?
- non. Mon cousin.

Ça a eu l'effet d'une bombe, elle a ouvert grand les yeux et posée une main sur sa bouche surprise. Et elle m'a priée de tout lui raconter. Ce que j'ai fais. Mon cousin et moi, on étaient inséparables,  on s'étaient même donner des surnoms. Lui c'était
Benji pour Benjamin et moi Aly pour Alya. On étaient comme tic et tac. Amélie ma demander pourquoi je lui parlais de lui au passé et bien c'est simple. Mon cousin était tout un coup devenue très distant avec moi et un jour il a totalement disparue. Ces parents m'ont annoncé ça mort, cela ma dévasté. Ça fait un an et demie que je le  crois mort et je le retrouve dans une prison.

- je dois lui parler Amelle.  Dis en buvant mon lait.
- je sais.
- mais toi tu en pense quoi de tout cela.
- que tu ne devrais pas. Tu sais je suis arrivés ici il y a un deux ans et je les ai vu arriver ton cousin et le dénommer Faucon. Ils ont été tout de suite distant et froids avec tout le monde. Comme tous les prisonniers tu va me dire, mais non, heu c'est des terreurs. Ils ont marqués leurs territoires en même pas une journée et qui les cherche se retrouve sous a l'infirmerie ( elle me lance un clin d'oeil ) sois a la morgue. Alors ne va pas lui parler directement il risquerait de se braquer.
- tu as raison, mais je vais faire comment moi alors ? Et j'ai été battue hier ! Je dois refaire un combat pour ma réputation tu crois ?
- ta réputation ! ? Mais elle est déjà énorme ! Tu as défié le Faucon sans même l'avoir déjà vu ! Crie-t-elle. Je souris gênée mais contente de moi d'un certain côté. Et pour ton cousin, déjà observé le et montre lui que tu es  avec lui.
- mais tu viens de dire que personne n'était contre lui !
- oui mais je n'ai jamais dis que tout le monde était avec lui ! Et puis si tu l'observe bien tu va vite comprendre ses habitudes. Et dès  qu'il est tout seul, hop ! Tu le chose et tu veux des explications les yeux dans les yeux.
- on a les même yeux...
- peut être je n'est pas fais intention,  et en plus il porte toujours une capuche.
-  c'était une manie chez lui...
- oui bon assez de remuer le passé et passe la seconde !

Et c'est ce que j'ai fait. Durant les pauses de 16h je le regardait du coin de l'oeil aide de Amelle. Il se mettait dans un coin avec le dénommer Faucon, un brin au yeux verts qui sans vous mentir était beau a damner. Il avait une gueule d'ange mais on était dans l'enfer. Quand quelwu'un l'appelait pour combattre, ce qui était très rare il gagnait toujours. Mon cousin était 《installer》 dans la cellule numéro 10 et son amie a la 9. Pendant les poses repas ils s'asseyait à une table du fond dans un recoin. Bref tout cela pour dire qu'il n'est jamais seul. Et puis un jour. ...

- j'ai trouvée le moyen pour parler à ton cousin. Déclaré Amelle. Depuis quelques temps une vraie amitié c'était vu a jour entre nous deux. On ne se lâchait plus, ou juste pour aller au toilettes.
- à bon ? C'est quoi ? Tu sais, et tu la très bien remarquer, il n'est jamais seul ! Ils sont toujours accrochés ! On dirait des siamois ! Et puis...
- tu l'affronte en duel. Dit-elle en me coupant.
- hein, mais non ! Il ma déjà battue.
- il y a deux solutions.
- développe.
- sois tu appelle le Faucon pour combattre tu le bât et tu as ton  cousin pour le reste de la récré. Commence-t-elle. En fait la récré c'est la pause de 16h car c'est l'heure du goûter je crois. 
- ça ne me paraîtpas la meilleur solution... repondis-je car le Faucon, je l avais vu combattre et croyez moi ce n'est pas le plus tendre. Il a envoyé quelqu'un entre la vie et la mort a l'infirmerie et je voyais qu'il retenait ces coups. Donc non, cette possibilités était hors de questions !
- ou bien tu appelle ton cousin, vous vous battez, tu fais en sorte d'être amoché et lui aussi pour vous retrouvez tout les deux chez l'infirmière. 
- je pense que c'est la meilleur solution.

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La récré, 16h00

Alors pour la deuxième fois je suis monté sur le ring. Et pour la deuxième fois j'ai appelé le Faucon, mais je ne savais pas qui allait venir ni comment j'allais réagir si c'était le vrai faucon qui allait venir. Mais heureusement, je l'ai vu venir. Lui.

On a combattue jusqu'à l'épuisement. Personne ne se rendait. La foule de prisonniers était en folie, elle hurlait et pariaient. Un uppercut ici et une droite par la. On étaient salement amoché tout les deux. Et je crois que c'est avec les cris du public que les matons sont intervenus. Ont nous ont séparés de forces et nous ont emmenés à l'infirmerie. Au passage, j ai croisé Amelle qui ma lance un regard et à levé le pouce en souriant.

Maintenant c'est la partie la p,us dur qui va commencer.

Crazy In LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant