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Chapitre 1

- Alya Adams, est condamnée à la prison a perpétuité avec sursis pour le meurtre de Monsieur Pinon, son beau père, Madame Pinon, sa mère et Juliette Adams, sa petite sœur. Déclare le juge d'une voix claire. Il ma fixé du regard tout du long de son discours. J'ai été accusée aussi de la mort de ma mère alors qu'ils n'ont aucune preuve.

Deux gardes me menottent et m'entraînent vers la sortie. Je me laisse guidée, cela ne sers a rien de protester, ça ne changerait rien. Des larmes coulent en abondance. J'ai tout perdue en une nuit. Mon reste de famille et ma liberté.ils me font montés directement dans un camion, ou une autre personne dans la même situation de moi attendait. Le véhicule se mit en route, à côté e moi un garde surveille nos moindre fais et gestes.

- Alors poupée, on s'est fait attrapée par les poulets ? me demande l'autre prisonnier. Il a une quarantaine d'année, il est assez grand et il lui manque une dent. Je ne réponds rien c'est préférable.

- Tu as perdue ta langue ? insiste – t- il. Je secoue la tête négativement. Alors réponds-moi !

- Non. T'as question est débile. Je réplique. Il rigole. Ok Alya calme- toi, c'est juste un gros psychopathe.

- Bon et alors pourquoi est tu dans ce camion en route pour la prison la prison la plus sécurisée de l'Etat ?tu as frappé un flic avec tes petits points ?

- Si tu veux vraiment savoir dis moi toi, comment tu es arriver ici.

- C'est une longue histoire...

- Je crois qu'ont a tout notre temps la. Non ? il rigole.

- Tu as raison, je suis un patron de la mafia et je me suis fais pincer car il y avait une taupe dans notre réseau.

- Ce n'est pas très futé pour un patron de mafia de se faire prendre comme cela.

Il fronce les sourcils et serres les points. Ces phalanges deviennent blanches. Je réprime un sourire mais au fond je suis nerveuse, je viens de le contrarier.

- Pou meurtre de ma mère, de mon beau-père et de ma petite sœur de 9 ans. Ça te va comme réponse ? lui dis-je. Il ne me répond pas mais c'est à lui de retenir un sourire. Je lui en ai bouchée un coin. Je pousse un soupire.

On arrive enfin, on passe une porte blindée, on attend qu'elle e referme pour qu'une deuxième s'ouvre. On nous fait descendre dans la cour. Les gardes m'emmènent le long d'un couloir puis dans une pièce meublée du stricte nécessaire, d'une table et deux chaises. Je m'assoie sur une de force.

- Attends ici, le colonel ne va pas tarder à arriver. Tu peux manger ce sandwich si tu veux. Dis un garde en me le tendant.

Je le prends de mauvaise grâce. Je n'ai pas faim. Je commence a attendre ce fameux colonel. La porte s'ouvre plus d'une heure plus tard. Un petit bonhomme bedonnant et tout souriant s'avance un beignet à la main. Un cliché parfait.

- Bonjour mademoiselle Adams, je suis ici pour vous posez un petit questionnaire. Celui –ci va nous servir à prendre plus ou moins de sécurité envers vous. Vous êtes prête ?

Je lui souris ironiquement mais ne lui réponds pas. Il prends se petit questionnaire comme un jeu télévisé ou quoi ?

- Bon, (il se frotte les mains) je vais prendre cela pour un oui. Savez-vous vous battre ?

- Oui.

- Avec qui ?

- Mon père.

- Manier des armes ?

- Oui.

- Des complices ou des connaissances dans cette prison susceptibles de pouvoir vous aider ?

- Aucune.

- Merci tout est complet. Vous serez incarcérée dans le bâtiment E cellule 19. M'annonce le colonel en mâchant la fi de son beignet.

Mes deux gardes me reprennent et on rebrousse chemin pour arriver dans la cour. Ils me passent la tenue réglementaire : un tee-shirt blanc avec notre numéro de cellule derrière et un pantalon noir. C'est mieux que les combis orange qu'on voit dans les films. Le bloc E est en fait un long couloir menant aux cellules. E remarques rapidement que les parois des cellules sont transparentes. Le mafieux avait raison, on est bien dans une des prisons les plus sécurisées.

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Une heure plus tard, 16h00

Une sirène hurlante me réveille en sursaut et les portes s'ouvrent toutes seules. Je m'étais assoupie rapidement avec tous les évènements. Je risque un œil dehors, j'hésite à sortir. Les autres prisonniers sont tous sortie et se dirige calmement vers une même direction. Je les suis et j'arrive dans une cour plus grande que la précédente. Des gardes nous surveillent en haut de passerelles. Les prisonniers se dispersent pour aller à diverses occupations, un match de basket commence et une salle de sport est ouverte. Je distingues presque que des hommes qu'une dizaine de femmes sont incarcérées ici.

- Tu es nouvelle ? je me retourne rapidement surprise. Une fille, un peu plus vieille que moi se tient avec nonchalance. Elle attache ses cheveux blonds en attendant ma réponse.

- Tu es.

- Amelle enchanté ! elle me tend la main. Et toi ?

- Alya et oui je suis nouvelle.

- Je l'avais remarqué. Dit-elle en riant. Je lève un sourcil interrogateur. Et bien déjà je suis à la cellule 18 et tout le monde me connaît ici donc quand tu me demandes : « tu es ? »

- Ah oui d'accord. Je souris.

- Bon, ba voilà on est ami. tu a de la chance de tomber sur quelqu'un de bien.

- Pourquoi ?

- Et bien du moment qu'on s'entend bien on va pouvoir se protéger. Ici tout le monde à des amis s'il ne veut pas finir mal. Tu sais il y a des bagarres a l'armes blanches presque toutes les semaines.

- Ah oui d'accord.

- Quesque tu croyais ? on n'est pas dans le monde des bisounours ici !

Je lui renvoie un mince sourire comme réponse. Une petite peu au ventre commence a se frayer un chemin entre mes tripes ?

- Bon pour commencer il faut que tu t'imposes.

- Ok ça pas de problème, mais pourquoi ?

- Sinon les ennuis vont vite te tomber dessus. Imagine-les comme des vautours recherchant les faibles d'esprit. On a le choix entre la salle de sport ou il ya souvent des combats de boxe ou le terrain de basket ou tu pourras faire connaissance. Je te conseille la deuxième option.

- Je vais faire les combats.

- T'es sure ?

- Certaine

- C'est la réponse que je voulais entendre.


Crazy In LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant