Chapitre 2

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*Flashback*

L'auto roulait lentement dans la neige. Dans l'auto, les parents et la jeune fille chantaient à tue tête la chanson.

Les rires couvraient de temps à autre la musique et ils ne prièrent pas pour faire quelque mouvement qui fessait augmenter les rires.

Sybella: Maman!!
Mère: Oui?

La jeune mère baissa le son pour entendre sa fille parler.

Sybella: J'ai faim~~!!
Mère: on arrive bientôt au restaurant
Sybella: Oui!!!
Mère: Tu sais c'est pour quoi le restaurant ?
Sybella: hm...Je ne sais pas
Mère: Tu le sais, Sysy, cherche
Sybella: hmm...Ma fête ??
Mère: Oui!!!

La mère tapa des mains et la petite tapa aussi des mains. Le père ria un peu.

Père: Tu es bonne
Mere: vraiment bonne
Sybella: merci !

La mère se retourna vers sa jolie fille. Elle lui caressa les cheveux doucement et lui donna un bec sur le front. Puis elle se tourna vers l'avant.

La musique augmenta un peu. La jeune fille bailla un peu avant de se mettre un boule dans le coin de l'auto.

Elle resta comme ça avant de se mettre entre des deux sièges de ses parents point leur parler de nouveau.

Une lumière les aveugla. Le pauvre conducteur fonça dans le camion de devant avant de faire quelque tours et finir dans la neige.

Les parents étaient sonné, la jeune était sans connaissance. Des morceaux de vitre remplissaient l'auto et la neige.

Le jeune homme dans le camion qui avait bu sorti de son auto avec une démarche qui n'était pas très droite. Il eu quand même le bon sense d'appeler les ambulances.


La jeune fille se réveilla dans un lit d'hôpital. Ses parents avaient déjà été guéris de leur blessures depuis quelque semaine déjà.

Elle vit ses parents se rapprocher d'elle avec des larmes aux yeux. Elle voyaient leur bouche bouger, mais elle ne comprenait pas se qu'ils disaient. En fait, elle n'entendait rien.

Elle ne comprit pas au début, mais plus qu'elle voyait les gens arrivent et que le bruit, lui, n'arrivait pas, plus qu'elle comprenait. Elle avait perdu l'ouïe. À la vie ? Pour un moment ? Elle ne le sait pas.

Elle se mit à pleurer. Ses parents ne comprenaient pas. Pourquoi leur fille pleurait-elle ?? Elle avait mal ? Elle était heureuse ??

Ils comprennent qu'il avait un problème quand Sybella secoue la tête de plus en plus.

Sybella: J'-J'entend rien !!

Elle se mit encore plus à pleurer. Elle n'entendait même pas sa propre voix.

Elle se mit à sortir de moins en moins de la maison. Elle avait rendu qu'elle avait peur, peur de ne pas entendre se qu'il se passe et de blesser des gens à cause de ça.

Elle passa alors son temps dans sa chambre à lire et à dessiner. Les dessins tournaient souvent autour de ses penser.

Ses dessins représentaient tous ses sentiments. Les plus noirs comme les plus heureux.

Elle avait finit par apprendre de plus en plus à comment vivre avec son problème. Elle s'éloigne aussi par la même occasion des gens autour d'elles. Seule ses parents restèrent proche d'elle, même s'ils éloignèrent quand même un peu.

Sybella s'était renfermer sur elle même comme un escargot qui se referme sur lui-même pour se cacher des danger. 

Elle cachait son problème aux élèves, seul les profs savaient son terrible secret qui rongeait de plus en plus Sybella.

Un jour, le secret fut exploser au grand jour. Les élèves n'attendirent pas plus pour rire d'elle ouvertement.

Les professeurs aveugles comme Ils sont ne vire pas les moqueries qui détruisait de plus en plus la jeune fille.

Sa confiance avait été écraser des millions de fois par des gens de son âge. Elle n'arrivait même plus à se regarder dans une miroir sans se trouver hideuse et idiote.

Les élèves ne se contentait pas seulement de lui lancer des moqueries, trop simple et elle n'entendrait pas.

Ils allèrent gribouiller sur son bureau, mettre des lettres dans son casier. Ses vêtement en éducation pouvait subtilement disparaître et réapparaître dans une poubelle ou tremper.

Ils ne la lâchèrent pas au début, mais après quelque année, ils arrêtèrent. Voyant qu'elle ne réagissait plus, Ils perdirent l'amusement a le faire. Ils trouvèrent un autre victime à faire souffrir.

Don't cry, you're my princesseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant