Don't cry, you're my princesse

Chapitre 12

1er Juin:

•PV Jin•

J'ignore mon père depuis un moment. Je l'ai vraiment mal pris qu'il parle comme si Sybella était une personne de sous espèce.

Depuis le temps qui est passé, je n'ai pas fait de spectacle, d'interview ou autre. Je sais que les fans s'inquiètent, mais je veux aussi travailler sur ma vie priver. C'est un droit que j'ai rarement eu le droit de faire alors aujourd'hui je vais le faire quoi qu'il arrive.

Avec Sybella tout va bien et j'en suis heureux. Elle passe quand même la plupart de son temps dans ses cahiers ou dans ses livres.

La porte de ma chambre ouvris en claquant. Je regardai la personne du à se bruit. C'était Sybella. Elle avait les rouges rouge.

Je me rappelais se que j'ai fait les dernière journée pour savoir si j'avais fait quelque chose de mal.

Je n'ai manquer aucun anniversaire quelqu'on que...je n'ai pas draguer d'autre fille..

Elle sauta sur mon lit.

Sybella: Jin, Jin, Jin, Jin, Jin!!!
Jin: C'est moi
Sybella: J'ai réussi !
Jin: Quoi?
Sybella: J'ai été accepter !!!

Elle me montra un lettre de l'université où elle voulait aller. Je la regardais. Elle avait des brillants dans les yeux et un sourire qu'il valait des millions. Je la pris dans mes bras et la serra.

Jin: Bravo, princesse

Elle prit mon visage entre ses mains et elle m'embrassa. Je répondit à son baiser qui ne fessait que monte la température de la pièce.

Je finis par la coucher sur le dos et je me mis par-dessus elle.

J'embrassai son cou en laissant quelque marque.

Ses mains passèrent sous mon chandail et elles l'enlèverent. Je fis pareille pour son chandail.

Je continuai à marquer son corps. Je le relevai la tête quand mon téléphone sonna. C'était mon père. Je laissai sonné pour m'occuper du pantalon de ma copine.

Il finit au sol avec nos chandail. Je riai un peu en voyant que ses sous-vêtements allaient ensemble.

Sybella: Quoi?..
Jin: Ils sont toujours assorti ?
Sybella: ca depend..
Jin: oh..

Je l'embrassais un autre fois. J'essayais d'oublier mon téléphone qui n'arrêtais pas de sonner.

Sybella: Tu...tu ne devrais pas répondre ?

Je grognai comme réponse et je continuais à torturer son cou. La respiration de Sybella avait déjà commencer à augmenter.

Je passai ma main dans son dos et je détachai sa brassière. Je la jetai plus loins et je me mis à attaquer sa poitrine.

La porte ouvris avec un grand claquement qui me fit sursauter.

Mon père entra dans ma chambre avec le visage rouge de rage. Sybella prit une couverture et elle se cacha après d'avoir légèrement crier.