(T/P), jeune fille solitaire de 17 ans dont les parents sont autoritaires, surtout le père. Elle ne peut plus les supporter. Alors, à chaque fois qu'elle est seule dans sa chambre, pensant qu'elle ne vivra jamais en paix, se mutile avec un couteau...
Je suis dans ma chambre, seule, dépressive, solitaire. J'ai toujours été solitaire à cause de mes parents, surtout mon père. Il est autoritaire, il refuse que j'aie des amis. Tout ce qu'il veut de moi, c'est que je m'occupe que de moi et de personne d'autre. Son éducation date du Moyen-Âge ou de la 2nde Guerre Mondiale à la période d'Hitler. Je déteste mon père, je me déteste, je déteste la vie que je vis, je déteste ce que j'ai vécu. Mon père insiste pour qu'un jour, je détruise les monstres, alors qu'il ne me demande jamais mon avis. J'en ai assez, je veux juste mourir en paix, sans que j'aie mes parents sur le dos. Et à chaque fois que je dis quelque chose de "mal-placé", mon père m'envoie dans ma chambre ou me claque au visage, et à chaque fois que ça arrive, je suis dans ma chambre en train de pleurer. Et depuis que j'étais petite, vers l'âge de 9 ans, j'avais réussi à prendre un couteau avec lequel je me fais des coupures sur les bras sans que personne le sache. Depuis toujours, on m'appelait "La Non-Voulue", "La Messagère de La Mort". ou encore "L'Enfant de Satan". Mais, ceux que j'aidais m'appelaient "La Protégée des Dieux", "La Messagère de L'Espoir" ou même "L'Ange Des Hespérides". Un jour, c'est la rentrée, je vais passer au lycée, mais mes parents insistent pour que j'ai un précepteur dont je n'ai même pas besoin. Alors, je pars pour le lycée sans prévenir mes "parents". J'avais pris mes affaires et je suis sortie par la fenêtre de la chambre. Je marchais vers le lycée quand je vois enfin le portail du lycée. Quand j'entre dans le lycée, il y a déjà des regards rivés sur moi, je me sens vraiment mal à l'aise, mais tellement mal à l'aise que je vais m'évanouir ou même faire un arrêt cardiaque. Mais, un squelette s'approche de moi et me regarde avec un air assez froid.
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(J'avais la flemme de le décrire, donc, je pense que vous savez qui c'est ^^)
??? : Ne t'inquiète pas, tout ira bien si tu ne fais rien de mal-placé.
(t/p) : Tu pourrais éviter de dire ça, on dirait mon père.
Cross : Alors, j'ai rien dit. Au fait, je m'appelle Cross. Et toi ?
(t/p) : Je m'appelle (t/p)
Cross : Enchanté de te rencontrer
Le dénommé Cross me regarde avec un petit sourire.
(t/p) : Enchantée aussi, Cross
Je le regarde avec un petit sourire, on se regarde pendant quelques instants jusqu'à qu'un souvenir douloureux me revient en tête, mais la scène que je voyais était terrifiante. Je me voyais dans une sorte de salle de torture avec mon père. Je le voyais me fouetter le dos, j'avais à peine 8 ans quand c'était arrivé. Je sens un mal de tête pas possible, je sens des larmes couler le long de mes joues, cela me fait tellement mal que j'ai l'impression d'entendre des voix. J'entends la voix de Cross me dire quelque chose.
Cross : Est-ce que ça va ?
Je commence à vaciller et je tombe, mais je ne touche pas le sol, c'est plutôt étrange. Je me sens porter. Après quelques minutes, je sens enfin quelque chose sous mon dos, c'est moelleux, c'est doux, c'est sans doute un lit sur lequel je suis sur le dos.
PDV de Cross
Je regarde (t/p) avec un petit sourire, elle est si belle avec ses jolis cheveux (c/c) et ses petits yeux (c/y) qui brillent comme des étoiles. Mais, je remarque qu'elle se tenait la tête avec ses mains, comme si quelque chose n'allait pas dans sa tête.
Moi : Est-ce que ça va ?
Elle vacille et je la vois tomber, alors je la rattrape avant qu'elle atteigne le sol. Je la porte dans mes bras en mode princesse et je l'emmène dans notre chambre, oui, car, le directeur m'avait dit que je partagerai ma chambre avec une certaine (t/p). Et la première fois que je l'ai vu, c'était elle. Une fois arrivée devant la porte de ma chambre, je l'ouvre, malgré que je portais (t/p) dans mes bras. Une fois dans la chambre, je la pose sur le lit, je lui mets la couverture sur elle pour éviter qu'elle attrape froid. Je reste dans la chambre jusqu'à ce qu'elle se réveille. Alors, pour m'occuper, je regarde la cour de derrière le lycée par la fenêtre.
