Chapitre IV

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PDV de (t/p)

(t/p) : Comment ?


J'avais à peine fini ma phrase que Cross m'a déjà embrassé. Je sentais mes pommettes rougir légèrement, je me laisse aller, je me sens vraiment bien avec Cross, j'ai juste envie de rester avec lui pour l'éternité. On met fin au baiser et on se regarde dans le silence absolu. Et je brise le silence qui faisait pesant.


(t/p) : P-Pourquoi, Cross ?

Cross : Parce que je t'aime

(t/p) : Je t'aime aussi, Cross


Je me blottis dans les bras de Cross, qui resserre notre étreinte, je me sens tellement bien dans ses bras que je finis par m'endormir.


PDV de Cross

Je sens (t/p) s'endormir dans mes bras. Je souris en la regardant, je ne me suis jamais senti aussi bien avec quelqu'un. Elle est tellement mignonne quand elle dort. Alors, je la prends dans mes bras et la dépose doucement sur le lit pour qu'elle puisse dormir tranquillement. Alors que j'allais sortir de la chambre, (t/p) me retient en me tenant par la manche de mon pull. Je souris et je reste avec elle, je m'installe à côté d'elle, je mets la couverture sur nous et moi aussi, je me laisse guider dans les bras de Morphée avec ma (t/p).


{Ellipse de 4 mois}


PDV de (t/p)

Déjà 6 mois de passés après la rentrée, et on peut déjà dire que je suis en couple avec Cross. Nous venons de sortir du cours de Maths qui était trop chiant, Cross et moi sommes dans la même classe depuis la rentrée. J'aime tellement Cross, je ne veux pas le perdre. Alors que je sortais du lycée pour me promener et je croise mes amis squelettes : PJ, Palette, Goth, Fury et Sprinkle. Ils sont très gentils, et à ce qui paraît, Goth et Palette sont ensembles, ils sont trop mignons. On se raconte nos journées en cours, après leur avoir dit "au revoir", je repris ma route jusqu'à ce que j'entends quelqu'un pleurer. Je me dirige vers l'origine des pleurs et cela venait d'une petite fille, envahie par la peur, je vais la voir pour lui demander ce qui ne va pas.


(t/p) : Quelque chose ne va pas, petite ?

??? : Je suis perdue, mes parents sont morts dans un accident de voiture et je suis la seule à avoir survécu.

(t/p) : Ne t'inquiète pas, ne perds pas espoir. Je sais qu'un jour, tu pourras trouver une famille, mais pas une famille comme la mienne, une bande de meurtriers sans cœur. Mais, je sais que tu pourras un jour trouver une famille qui s'occupera bien de toi.

??? : Merci

(t/p) : De rien, mais pourquoi au juste ?

??? : Pour m'avoir redonné espoir.

(t/p) : De rien. Au fait, tu t'appelles comment ?

Juliette : Juliette. Et vous ?

(t/p) : Tu peux me tutoyer, et je m'appelle (t/p)

Juliette : D'accord.

(t/p) : Je vais t'aider à trouver une famille.

Juliette : Merci !

(t/p) : De rien.


J'emmène la petite Juliette avec moi pour l'aider à trouver une famille qui s'occupera d'elle. Je faisais du porte-à-porte, mais personne ne voulait de Juliette, qui commence à perdre espoir. Je faisais un dernier porte-à-porte, en espérant que quelqu'un adopte Juliette. Je vois la porte s'ouvrir et je vois un homme aux cheveux bruns et aux yeux verts portant le nom Fabien et une femme aux cheveux blonds et aux yeux bleus portant le nom de Lucie.


Lucie : C'est pour quoi ?

(t/p) : Eh bien, cette petite fille ici présente avec moi a perdu ses parents dans un accident de voiture, mais ils n'ont pas survécu. La petite a eu de la chance d'avoir survécu.

Lucie : Oui, elle cherche une famille, c'est ça ?

(t/p) : Tout à fait, elle était désespérée lorsqu'elle avait perdu ses parents dans l'accident.

Fabien : Nous comprenons ce qu'elle ressent, et on est désolé pour ce qui est arrivé

Juliette : C'est pas grave.

(t/p) : Alors, qu'en dites-vous ?

Je vois Fabien et Lucie discuter, sans doute pour se mettre d'accord. Après quelques instants, ils nous regardent avec un petit sourire.

Lucie : Nous allons adopter Juliette.

Fabien : Oui, parce que personne ne mérite de vivre dans la rue, surtout un enfant. Et d'ailleurs, Lucie et moi avions voulu avoir un enfant, mais Lucie était stérile. Nous avions perdu tout espoir jusqu'à ce que tu viennes frapper à notre porte. Vous êtes les "Messagères de l'Espoir".

(t/p) : C'est un surnom que m'ont donné les personnes que j'ai aidé dans ma jeunesse.

Lucie : Et ce n'est pas pour rien que l'on te nomme ainsi.

(t/p) : Oui, merci. Mais, vous savez, quand j'étais petite, on me donnait des surnoms affreux comme "La Non-Voulue", "La Messagère de la Mort" ou même "L'Enfant de Satan". Ce sont les surnoms que m'avaient donnés les autres enfants de mon âge.

Fabien : C'est affreux comme surnoms qu'on vous a donné.

(t/p) : Oui, mais ceux que j'ai aidé ne m'appelaient pas seulement "La Messagère de l'Espoir". Ils m'appelaient aussi "La Protégée des Dieux" ou même "L'Ange des Hespérides".

Lucie : Eh bien, ce n'est pas pour rien que l'on vous a nommé ainsi.

(t/p) : Merci.

Fabien : Oui et nous allons adopter Juliette

Juliette : Merci. Et merci à toi, (t/p).

(t/p) : De rien.


Je m'éloigne de Fabien, Lucie et Juliette qui vont maintenant former une nouvelle famille. Je leur dis "Au revoir" et je repars dans ma promenade. J'entends du bruit dans une ruelle, je me dirige vers la provenance du bruit. Je ne vois rien, il fait assez pour que je ne vois rien dans la ruelle. J'entends des bruits de pas derrière moi, mais je n'ai pas eu le temps de me retourner qu'on m'a déjà assommé.

Cross x Depressed!ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant