Chapitre 11 : Le pardon, question de vie ou de mort

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PDV Addison :

Je n'ai pas revu mon père depuis sa convocation à la morgue soit, 48h.N'aillant pas la force de fermé l'oeil, je m'assis sur le fauteuil accompagné d'un pot de glace à la vanille signé Ben&Jerrys.Je regardais à travers le vasistas, demain j'allais voir Ian au parloir. Je ne savais pas comment ça allait se passer. En ce moment je n'ai plus que l'enquête en tête, j'avais énormément de mal à trouver les mots pour l'éloge funèbre de ma mère. Pour moi, ce n'était pas simplement, une mère, même si elle n'a pas était souvent là c'est deux dernières années, je l'aimais et je l'aimerai toute ma vie.Chrystal Marley était un sacré personnage, elle se faisait remarquer aussi bien par son tempérament , que par sa maladresse.Elle était assez connue, dans le quartié et pour les habitants Chrystal ne pouvait pas être la mère de quelqu'un, c'était la mère de tout le monde, un personnage inoubliable. Penser à elle, me rend triste et m'apaise à la fois, c'est grâce à elle qu'exténuait,je trouvais le sommeil.



Brusquement,je fus réveiller par l'ouverture d'une porte. J'étais seule chez moi avec pour seuls armes une couverture et un pot de glace. La porte ouverte donné vue sur la nuit noir et les arbres éventaient, je sentis une présence derrière moi. Je me retournais apeurer :


« -JACK ! Tu m'as fait une de ces peur.

Excuse moi ! » il me prit dans ses bras


« -Papa est rentré ?

Non il a prit la fuite. Bon bah maintenant que je suis réveillée je vais aller me préparer.


Addi il est à peine 7h tu vas aller où ?


Voir Ian au parloir et prendre l'air juste avant d'y aller.


Tu sais ce que j'en pense, et tu veux y aller toute seule ? Mais tu es malade, c'est hors de question.


Et si j'y vais avec Michael ?


Bon okey, mais tu y vas bien avec lui, ne prenons pas de risque.


D'accord merci, tu me préviens si papa revient ?


Evidemment. »



Je me préparais en vitesse, mes cernes prenait la moitié de mon visage, j'étais un peu pâle mais rien de bien méchant. J'avais appelé Michael qui m'avait presque tué de le réveiller à une heure pareil un samedi mais il accepta de m'accompagné. Il prit sa voiture et m'emmena, il devait y avoir une demie heure de route pour aller à la prison. Il était 9h pétante quand nous y sommes arrivés :


« -Bonne chance ! Tiens tu en as plus besoin que moi. »

Il me tendit son collier porte bonheur (et oui monsieur est supersticieux).

« -Je ne peux pas accepter michael.

Si si vas y, il nous protégera tout les deux


Believe Me/Crois moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant