La fin de l'équipe de test 022 [Chapitre 3]

34 3 0
                                    

Pendant un mois les test ont continués, je fait brièvement vous les résumer, en n'énonçant que les faits plutôt importants ,avant de continuer l'histoire :

- deuxième jour de test : j'ai entendu du raffut depuis la pièce du haut, c'était la voix d'un homme, on aurait dit celle de 022-5 mais les tests on continué après deux coups de feu.

- quatrième jour de test : ils ont amené dans la pièce où je me trouvais une personne que j'identifiais être 022-5 mais qui prétendait être une jeune fille asiatique paraplégique. On m'as fait discuter avec lui (ou elle) puis les gardes l'ont ramené(e) dans la pièce d'en dessous et au vu des coups de feu que j'avais entendu, je pense qu'il l'avaient tué(e).

- onzième jour de test : cette fois ci c'est le "corps" de 022-1 qu'on m'apporta, toujours prétendant être une autre personne, un campagnard français cette fois ci.

- dix-septième jour de test : un objet qui était inconnu des chercheurs viens de surgir de la trappe de la salle du haut, on mans demandé de l'observer et l'étudier. L'objet en question est une trottinette tellement rongée par la rouille et la crasse qu'elle n'en avait plus la forme.

- vingt-cinquième jour de test : On m'avais muté dans la salle du bas dans laquelle je me trouvait face à ce qui me semblait être une morgue, j'en avais déjà vu car mon père était médecin légiste. Une porte de la morgue c'est ouverte et il en est sorti un grand gaillard noir d'environ un mètre quatre-vingt-dix qui prétendait être un enfant ayant perdu sa trottinette.

Il ne s'est rien passé d'intéressant après ce jour jusqu'au trente et unième jour de test, la fin du mois. Ils ont réunis l'équipe 022 dans une salle de présentation. Il ne restait plus que moi, 022-4 et 022-6. Ils nous ont débriefés sur les résultats que l'on a permis d'obtenir et nous ont chacun assigné à un garde pour nous faire passer un dernier test avant de nous rendre notre liberté. Je savais personnellement que les deux autres n'allaient pas être relâchés. Je suivais donc le garde qui m'enjoignit de le suivre rapidement. Il me déplaça dans un nouveau bloc et je quittais le secteur 19. Nous passâmes plusieurs SAS avant de traverser des portes qui semblaient très sécurisées avec marqué LCZ (ce qui signifie Light Containment Zone mais je ne le savais pas à l'époque). Il me conduisit dans un autre bloc de classe D avec plus de places que l'ancien, on me conduisit dans une cellule prioritaire située sur le devant.  Cette fois ci j'eu un compagnon de cellule donc je me souvient encore très bien : Son numéro était D 1728, c'était un homme qui avait à peu près la vingtaine, sans doute un peu plus, d'origine caucasienne et d'environ un mètre soixante-dix-huit, cheveux bruns et yeux marrons. Il en imposait pas mal de part sa stature, avec ses épaules large et ses traits marqués, mais il se révéla au final être assez sympathique et m'accueillit en camarade et je nouais assez rapidement des liens avec lui. Ensuite durant trois ou quatre jours on ne nous sollicita pas mais le sixième jour après mon déplacement dans le nouveau bloc on vint nous chercher D 1728 et moi ...

Mémoires du Dr. Simon : Une vie en enfer [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant