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8 ans plus tard...

Après la mort de ma mère, j'ai hérité de tout son argent et toutes les entreprises. Donc je suis millionnaire... Mais ça ne me suffit pas, j'ai envie d'en avoir plus.

J'étais dans la maison en train de boire ma tasse de café quand quelqu'un sonna à la porte.

-Moi : Liliane ! Va ouvrir !

-Liliane : Ok mademoiselle. En allant ouvrir la porte.

Elle ouvrit la porte et un homme brun, avec des beaux yeux et très beau entra en montrant son charisme.

-Moi : Puis je savoir à qui j'ai à faire? En déposant ma tasse sur la table.

-???: Permettez moi de me présenter, je m'appelle Ricardo Lombrez. En me faisant une bise sur la main.

-Moi : Bien. Liliane tu peux disposer... Et apporte une tasse de thé à monsieur Lombrez.

-Liliane : Tout de suite mademoiselle. En faisant la révérence.

Ricardo entra dans la maison et s'assis sur le canapé avant de me parler.
-Ricardo : Vous êtes princesse ?

-Moi : Pourquoi cette question?En m'asseyant sur le canapé opposé.

-Ricardo : Parce que vos domestiques vous font la révérence.

-Moi : Vous êtes ici pour parler de mes domestiques ou pour me parler de quelque chose d'important? En tournant les yeux.

-Ricardo : Je suis là pour acheter cette demeure.

Après avoir dit ces mots, je le regardai en fronçant les sourcils et quand je me levai, Liliane venu avec la tasse de thé.

J'étais tellement en colère que j'ai pris la tasse remplie de thé chaud et je l'ai versé sur le visage de Liliane.

- Ricardo : pourquoi avez vous fait une chose pareille ? En se levant vite du canapé.

-Moi : Combien de fois je t'ai dis de ne pas m'interrompre!? Hein !? En m'adressant à Liliane en la giflant.

-Liliane : Oh mademoiselle... Je vous promets que ça ne se répétera plus jamais. En pleurant.

-Moi : Maintenant fais moi le plaisir de ramasser tout ce bazar.

Elle se tourna pour partir sans avoir essuyer.
-Moi : Où vas tu?

-Liliane : je vais chercher une serpillère pour nettoyer le sol mademoiselle.

-Moi : Tu veux salir mes serpillères!? T'as un tablier sur toi non? Nettoie le sol avec.

-Ricardo : vous dépassez les bornes mademoiselle Livanez !

Liliane enleva son tablier et nettoya le sol avec. Elle pleurant tellement que des gouttes des larmes salissaient mon sol.

-Moi : Et en plus tu le salie encore. Quand je finirai avec monsieur, tu reviendras continuer ce que tu as commencé. Maintenant tu peux disposer.

-Liliane : D'accord mademoiselle. En reniflant.

Elle partit et Ricardo et moi restons au salon tous seuls. Je m'assis sur le canapé délicatement comme une grande dame et je lui demandai de poursuivre sa conversation.

Il ne s'assit pas et me regarda avec tant de mystère.
-Moi : Je peux savoir pourquoi vous me fixez ainsi? Vous voulez une photo de moi? Je peux même vous donner un album tout entier vous savez...

-Ricardo : comment une femme aussi belle que vous puisse être si méchante ?

-Moi : Hm... La vie est courte Ricardo... Je peux vous appelez ainsi? Oui? Bon ok Ricardo vous savez la vie est courte et il faut en profiter avant qu'il ne soit trop tard.

-Ricardo : Aucun rapport...

-Moi : Vous comprendrez un jour, mais poursuivons. Vous disiez vouloir acheter ma demeure mais... Pourquoi ?

-Ricardo :Je crois que votre maison est vraiment jolie... Surtout pour en faire un loft ou autre chose.

-Moi : Alors vous me proposez quel prix?

-Ricardo : un million de dollars.

-Moi : Quoi!? Vous me prenez pour qui? Pour un enfant qui ne connais pas la valeur de cette immense maison?en me levant.

-Ricardo: bien. Nous sommes Mercredi donc je vous laisse jusqu'à Samedi pour y réfléchir. Je vous laisse ma carte.

Il déposa sa carte sur la table puis me fit un clin œil avant de partir sans même entendre une réponse venant de moi. Je pris sa carte et je le regardai ensuite je le déchirait en plusieurs morceaux.

Je couru jusqu'à la cuisine parce que je savais que c'était là bas que Liliane était.

Moi : Liliane ! En me dirigeant vers la cuisine.

Je partis dans la cuisine mais elle n'y était pas. Je suis allée dans tous les salons et elle n'y était pas non plus. Je l'ai cherché partout mais le seul endroit que je n'ai pas fouillé c'est dans le grenier qui est sa chambre.

Je n'avais pas envie de monter là bas mais j'avais pas le choix alors j'y suis monté et je l'ai vu. Elle était couchée sur le canapé en train de pleurer comme un bébé.

Je n'avais aucune peine pour elle. Au contraire, j'avais qu'une seule envie, lui verser un saut d'eau glacé comme ma mère me l'avait fait.

Je suis descendu pour aller à la cuisine mais j'ai eu une meilleure idée. Au lieu de l'eau glacée, j'ai plutôt choisi l'eau chaude. J'ai pris une marmite et je l'ai rempli d'eau puis je l'ai posé au feu.

J'ai attendu quelques minutes, et j'ai enlevé la marmite du feu avec un torchon puis je suis montée dans le grenier. Elle avait tellement pleuré qu'elle a fini par dormir.

Alors c'était comme dans mes souvenirs mais en mieux. J'ai bien calculé sa tête et j'ai versé tout l'eau qui était dans la marmite sur tout son corps.

Elle s'est reveillé en sursautant et en criant.
-Liliane : Aaahhh.

-Moi : ça t'apprendra à dormir... Dis je avec un sourire satisfait.

-Liliane : mademoiselle ! Ça fait très mal ! J'ai mal. Je vais avoir des brûlures partout.

-Moi : Tu ne sais pas à quel point ça m'arrangerais. À partir d'aujourd'hui, tache de faire ce que je te demande. Est ce que c'est clair?

Silence.

-Moi : Est ce que c'est clair!?

-Liliane : Oui mademoiselle... En coulant des larmes.

Je regardai en souriant parce que j'étais fière de mon oeuvre. Je suis descendis sûre de moi parce que de jour en jour, je devient cruelle. Je deviens même plus que ma mère.

Depuis j'étais assise sur le canapé mais Liliane ne descendais toujours pas. Alors je suis encore monté dans le grenier.

-moi : Liliane ?

Elle était couchée au sol avec un couteau en main plein de sang... Liliane s'était suicidée.



Une Femme CruelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant