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Je ne savais pas ce que je devais faire à cet instant alors j'ai appelé le chauffeur Antoine.

-Antoine ! Antoine ! Criai je pour qu'il monte.

-Oui madame.

-Viens vite au grenier.

Après quelques minutes, Antoine monta. Je m'écarta du cadavre de cette folle. Je regardai Antoine et ce dernier était paniqué.

-T'es un homme oui ou non? Retorquai je en le poussant.

-Ou... Oui... Oui madame. Bégaya t il.

-Alors je te demande une chose. Va jeter ce cadavre à la mer et fait en sorte que personne ne te vois ok? Grondais je.

-Mais madame... Vous l'avez tué?

-Oui c'est moi qui l'ai tué ! Et alors? Mentis je. Si tu ne fais pas ce que je te dis, tu subiras le même sort.

-O... Ok ma... Dame... Begaya t'il à nouveau.

Quel peureux ! Après les hommes vont nous parler de "virilité" pfff. Je n'avais pas envie de voir comment il va porter le cadavre alors je suis descendue.

Je suis restée au salon quand quelqu'un sonna à la porte. J'ouvris et je vis Pamela. J'ose croire que vous ne connaissez pas Pamela.

Et bien Pamela c'est mon " amie " oui je met amie entre guillemets parce qu'elle croit que nous sommes amies pourtant je l'utilise parce que c'est elle qui fait avancer mes affaires.

Il y a des femmes naïves dans ce monde. Et plus elles sont naïves, plus elles sont bonnes à manipuler.

-Pamela ! Je suis contente de te voir. Criai je en la prenant dans mes bras.

Bien-sûr que je mens, elle est trop bête. J'ouvris grandement  la porte pour qu'elle entre.
-Alors que me vaut l'objet de ta visite? Demandai je en prenant place.

-Je suis venue te demander de me vendre cette maison. Répondit elle en regardant tous les contours de la maison.

D'abord c'est ce Ricardo maintenant Pamela qui veulent m'acheter cette maison. Mais qu'est ce qu'il y a de spécial ici pour que tout le monde veule l'acheter.

-T'as vu une plaque notée "A vendre" devant la maison? Retorquai je en soulevant les sourcils.

-Non mais j'ai envie que tu me vendes cette maison. Et je te promets que je te ligue toute mon entreprise.

Stop ! Qu'est ce qu'elle vient de dire ? Elle me ligue la moitié de son héritage si je lui vend juste cette maison? Alors l'affaire est conclue.

-Affaire conclue ! Je te le donne. Dis je en la serrant la main.

-T'es sérieuse?

-Plus que sérieuse enfin... Si toi aussi t'es sérieuse.

-Bien-sûr que je le suis. Tu me le vend quand?

-Pourquoi pas maintenant ? hein?

-Bon... D'accord... Mais j'ai un truc à régler avant. Je te laisse bisou. Dit elle avant de partir.

Je me mis à danser partout dans le salon parce que je vais devenir milliardaire et même plus. Je montai dans ma chambre pour m'habiller. Je mis une mini jupe et un decolté qui montre franchement ma poitrine. J'enfilai un blouson et des bottes.

Je pris les clefs de ma voiture et je sortit pour me rendre dans le bureau du propriétaire de Livingston crew. C'est le nom d'une entreprise que j'essaye d'arnaquer.

Pdv Antoine.

J'avais déjà emballer le corps de cette pauvre servante dans un tapis. Quand je voulais la mettre à la malle de la voiture, quelqu'un m'interpella.

Je me tournai et c'était Mlle Paméla. Elle s'approcha de moi en tournant. Cette femme est toujours curieuse alors là je suis cuit. Que vais je lui dire...

-Antoine ! Cria t elle.

-Oui Mlle Paméla. Dis avec un faux sourire.

-Qu'est ce que vous transportée comme ça ? Souffla t elle en doigtant le tapis.

-Ce sont... Euh ce sont les tas de tapis Mlle. Mentis je

-Puis je voir?

-Non! Hum je veux dire non vous pouvez pas parce que si Mlle Livarez me voit avec ça, elle va me tuer... Euh je veux dire me viré, elle va me virer.

On dirais que je ne sais pas mentir. J'étais déjà plein de sueur et c'est comme ci elle se doutais de quelque chose. Elle insistait pour que je lui montre mais je persistait à lui répondre non.

Encore et encore jusqu'à ce que son portable sonna. Heureusement si non j'étais cuit. Après avoir finit l'appel, elle me dit "Au-revoir " et partit en me regardant.

Qu'est ce que je vous disais... Cette femme est curieuse. Je ne comprend pas pourquoi c'est l'amie de ma patronne. Une femme aussi méchante...

Pdv Gabriella.

Arrivé devant cette entreprise, je décidai tout d'abord de passer un appel à Antoine pour savoir si il avait bien fait son boulot.

-Allô Antoine !

-Oui... Mlle?

-Alors le travail a été fait comme il fallait ?

-Euh oui oui Mlle. Ne vous inquiètez pas.

-Je l'espère si non vous connaissez la suite. Dis je avant de couper l'appel.

Si il a échoué cette petite mission, il connaitra mon vrai visage.

Pdv Antoine.

J'étais déjà arrivé devant le pont pour jeter le cadavre dans le fleuve. Je déroule le tapis et à ma grande surprise, Liliane( la servante)  toussa

-Oh mon Dieu ! Liliane t'es en vie ?

-Oui... J'ai fait semblant pour qu'elle croit que je suis morte. S'il te plait ne lui dis pas que je suis encore en vie.

-Mais... Comment... Comment t'as fais ?

-Je regarde les films tu sais... J'ai coupé ma respiration un moment et j'ai mis des vêtements avec une tache rouge pour qu'elle croit que c'est du sang... Mais s'il te plait ne lui dis pas... Ajouta t elle en pleurant.

-Ok mais que vas tu devenir..

-Je vais chercher un autre travail mais je ne reviendrai plus jamais... Je dis bien jamais dans cette maison. Si tu veux un conseil mon cher Antoine, fais comme moi. Va t en avant de recevoir le venin de cette vipère qu'on appelle Gabriella Livarez. Rétorqua t elle en me regardant dans les yeux.

Pdv Gabriella.

La secrétaire est partie m'annoncer au directeur que je suis là et j'entrai avec sureté. Parce que je suis belle, attirante,séduisante et pour combler le tout,je suis cruelle.

J'entrai dans le bureau du directeur avec un sourire à tomber par terre mais sa chaise était retournée.

-Bonsoir... Commençai je avec le même sourire.

-Bonsoir. Dit il en se retournant sur la chaise.

Mon sourire se changea en bouche baissé quand je m'aperçus que c'était Ricardo !

-Vous êtes surprise de me voir? Continua t il avec un sourire sûr de lui.

Je sens que ce Ricardo connais tous mes plans. On ne va pas s'entendre lui et moi. Mais je ne vais pas le laisser gâter mes affaires. Parole de Gabriella Livarez.

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Une Femme CruelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant