Twilight : L'haut de là {Tome 6}

Chapitre 11

PDV AMÉLIE
Après plusieurs minutes, à entendre Heidi demander à Anthony de lâcher Richard... La bouche de ce dernier, commençait à ouvrir. Je regardais ce qui se passais, plus que perplexe. Qu'est-ce qu'Anthony voulait faire? Heidi, elle, semblait penser que mon petit ami l'avait lâché.

Heidi - Il était temps que tu m'écoute. Je suis contente que tu es pris le bon chemin.

La gueule du loup de Richard, continuait à s'ouvrir. Jusqu'à ce qu'elle commence à ouvrir un peu trop grand. Anthony était entrains de lui casser la mâchoire, et Heidi venait de s'en apercevoir.

Heidi - ANTHONY, SI TU CONTINUE JE VAIS PORTER PLAINTE!

CRACK! C'était le bruit de la mâchoire qui avait débarquée. À cet instant, il se retournait vers moi et se couchait. Ce qui voulait dire qu'il voulait ses vêtements. Je me levais donc sans peur ou stresse, et allais lui porter ses vêtements.

Heidi - Comment peux-tu rester calme après ce qu'il a fait?

Dès qu'il redevenait humain, je le cachais par jalousie. Le temps qu'il puisse se rhabiller.

Amélie - Je suis habituée.

Dès qu'il eu finit de mettre ses boxer et pantalon, j'arrêtais d'être jalouse et le laissais ce déplacer. Il partait voir Richard et lui chuchotait...

Anthony - La prochaine fois que tu reviendras, je ne te laisserais pas avec une chance de t'en sortir.

Je devais avouer cas ce moment, j'eus un certains frisson de peur. Je savais qu'il ne me ferait jamais de mal mais, il me faisait un peu peur parfois...

Heidi - Tu vas regretter ton geste.

Elle aidait Richard à se relever et partait tout les deux de la maison. Ce qu'elle avait dit me préoccupais énormément... Soudain, je sentais la tête de mon amoureux se poser sur mon épaule, et ses mains saisir mes hanches. Je me calmais aussitôt.

Amélie - Je croyais que tu t'étais amélioré ses derniers temps... Mais tu as juste appris à ne plus frapper dans les murs, quand je suis là...

Pendant au moins un an, Démétri, moi et même Brianna avait aider Anthony. Dès qu'il était fâché, on lui avait appris à aller se calmer plus loin. Parce qu'il avait faillit à plusieurs reprises, me frapper quand il était fâché. Depuis, il faisait toujours cela quand on était en chicane. Mais, il ne le faisait point pour autre chose. Il me répondit tout simplement, en me donnant un bisou sur mon cou. Je ne pouvais à ce moment, m'empêcher de sourire.

Anthony - L'important c'est qu'il ne revienne plus.

Après quelques minutes, on entendait quelqu'un sonner à la porte. Perplexe, on allait voir qui ça pouvait bien être. Démétri ouvrait malheureusement, la porte avant nous avec Brianna dans ses bras.

Démétri - Oui?
Carlisle - J'aimerais entrer, c'est au sujet de votre fils.

Il hésitait mais, le laissait entrer n'aillant pas le choix. Dès que Carlisle entrait, il fixait Anthony et soupirait.

Carlisle - Votre fils est un danger pour le village.

Mon stresse montait immédiatement.

Démétri - Ce qui est arrivé avec Richard n'était qu'un mal entendu...

Il le coupait.

Carlisle - C'est un mal entendu de lui casser la mâchoire?

Démétri lançait un regard noir à son fils, et ce dernier lui sourit. Heidi avait donc bel et bien portée plainte...

Démétri - Je sais que ça parait bizarre mais...

Il s'arrêtait de parler quand Carlisle lui donnait une feuille. Je regardais la feuille, curieuse de savoir c'était quoi.

Carlisle - Il y a une famille qui veux bien d'Anthony. Par famille, j'entends une personne. Je suis désolé Démétri, on ne vous enlève pas la garde de votre fille. Seulement celle de votre fils.

Il voulait partir mais, Démétri déposait Brianna et le retenait.

Démétri - Écoutez, je ne comprends pas. Tu es qui pour m'enlever mon garçon?

Je le voyais qu'il essayait de rester calme, fasse à la situation.

Carlisle - Tout le monde penses qu'il serait mieux avec l'autre personne. Donc, je suis désolé... Écoute... Tu connais bien cette personne, tu pourras lui rendre visite.

Démétri relevait immédiatement la tête perplexe. Moi, j'essayais de chercher quelqu'un mais, il connaissait tout le monde...

Démétri - Qui veux me voler mon fils, Carlisle?