Lettre d’un journal quelconque..
- Dimanche: Il est tard, je ne dors pas. J’ai peur de fermer les yeux et de les voirs encore et encore dans mes cauchemars…
- Lundi: Mon réveil à sonner.. ça y est je suis obligée, je vais devoir y aller. Aujourd'hui j'ai décidé de m'effacée de me faire oublier. Malheureusement ça n'a pas marcher, ils m’ont frappé, insulté, humilié. Alors en rentrant chez moi, j'ai pleurée pleurée et encore pleurée.. sans jamais m'arrêter.
- Mardi: Putain il à encore sonner, c'est mon heure je dois y aller! Aujourd'hui il ne s'est rien passé, sauf qu'ils m'ont renversée leurs plateaux repas à la figure. Alors je suis rentrée, j'étais sale et j'avais honte. Je suis montée me changer, espérant ne pas avoir inquiétée, la seule personne que j'ai à aimer.
- Mercredi: Aujourd'hui le réveil n'a pas sonné, je l'ai désactivé parce que je ne voulais vraiment pas me lever. Maman n'a rien dit donc elle est partie. Je pensais être tranquille mais non… un message, deux messages, trois messages… s’arreteront-ils un jour?
- Jeudi: Bon j'y suis retournée car je ne peux pas trop manquer, aujourd'hui j'ai décidé de lutter et de faire semblant de ne pas être toucher. Mais ils m'ont attraper dans les vestiaires du gymnase et m’ont enfermé dans les douches jusqu'à la fin du cours où ils m'ont récupérer pour me frapper, me toucher. Alors j'ai pleurée, j'ai criée.. mais à quoi bon, ils sont tous contre moi. Quand je suis rentrée, j'ai arrêter de lutter, j'ai pris ma lame et je me suis coupée. Encore et encore jusqu'à ne plus pouvoir saigner. J'ai désinfecter et je me suis coucher prête à affronter la journée de demain.
- Vendredi: Je n'ai pas dormis de la nuit, je me suis levée et je me suis regardée dans le miroir. J'ai criée ! Je me suis horrifié ! Pourquoi moi? Qu'es que j'ai fais? Dois je vivre? Les larmes ont coulées.. ma lame à saigner.. ma tête criait d'en finir mais mon coeur hurlait d'arrêter.. j'ai lâcher la lame ! Non je vaux mieux qu'eux, je ne veux pas partir pour ces minables gens. Je veux me battre contre la terre entière s'il le faut. La mort n'est pas faite pour moi. Ma tête commençait à tourner, ma vue devenait flou quand mon subconscient à criée "MAMAN" ! Je ne pouvais pas l'abandonner, pas elle, non ... pourtant je suis tombée, mes yeux sont fermées, mon souffle s'est coupé. Non ! Mon coeur s'est arrêté.. il était désormais trop tard pour lutter…
La mort avait gagnée, elle m’avait emportée.
Écrit par UneReveuseEcrivaine
VOUS LISEZ
Concours de textes ( Ouvert )
RandomVous aimez écrire mais ne savez pas si votre travail est bien? Ou alors vous voulez juste vous faire connaître. Vous voici au bon endroit! Ici, nous vous proposons chaque mois un concours de textes avec un thèmes différent. Alors qu'attendez-vous ?