✍🏾PARTIE 39

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Bonne Lecture 📖


? : Aaargh ! Enc*lé mon ventre !

Moi : T... Toi ?

Lui : Mdr oui, t'es pas contente de me voir ?

BAMME je lui file une de ces baffes.

Moi : Espèce de chien va me... ne me retouche plus.... jamais t'a compris ?

Lui : *rire nerveux* Maïssa même handicapé tu trouves toujours le moyen d'être sauvage mdrr

Moi : Ne m'approche pas dé.... dégage INFIRMIÈRE ! INFIRMI... MMH MMH *en me débattant*

Il met sa main devant ma bouche et il nous rentre dans les toilettes et il ferme la porte à clef.

Infirmière : Oui vous m'avez appelé Mademoiselle Maïssa ? Mademoiselle Maïssa ?

Moi : Mmmh Mmmh !!

Je bouge dans tout les sens mais il ne veut pas me lâcher il force sur mon dos j'ai tellement mal lorsque d'un coup on entend des pats venir vers nous, et la poignet se tourner.

Infirmière : Ah vous êtes aux toilettes, d'accord je repasserais tout à l'heure.

Elle s'en va. Je mords sa main et j'ouvre la porte et je me dirige vers la sortie mais il me barre la route et il me pousse sûr le lit.

Moi : Hafid...

Hafid : ...

Moi : pleure, Non s'il te plaît... ne me-

Je termine même pas ma phrase qu'il enlève sa ceinture et il ouvre sa braguette.
Je n'arrive plus à bouger à cause de mon dos je ne peut que le supplier.

Hafid : Arrête de pleurnicher zebi j'ai encore rien fais.

Il se met sur moi et il me redonne la gifle que je lui ai donné tout à l'heure et il retire mon haut.
Il me fait des bisous de partout tout en me caressant. Je crie à l'aide je lui demande de me lâcher lorsqu'il déboutonne l'arrière de mon soutien-gorge.

Moi : S'il te plaît Ha... Hafid... ne me fait pas ça *pleure*

Il s'arrête et il me regarde en rigolant.

Lui : T'a cru que j'allais prendre le risque de te ken ici ? Nte nte nte non c'est pas l'endroit idéal pour ça. Je t'avertis seulement que je vais faire de ta vie un enfer et dis à Nafyssa de sortir de sa cachette elle n'ira pas bien loin. Bande de p*tes que vous êtes.

Il se relève et il remet sa ceinture et il me pousse violemment par terre avant de sortir.

Je lâche un crie atroce en pleurant, la porte s'ouvre à nouveau.

-: MAÏSSA, MAÏSSA !

Moi : en pleure, Ja-cem

Il me porte, et il s'assoit sur le lit et il me pose sur ces genoux.

Lui : Maïssa mais... qu'est-ce qui s'est passé comment tu t'es retrouvée comme ça ? Qui t'a fais ça.

Moi : Il... il voulait me v- ne me laisse plus toute seule s'il te plaît pleurant abondamment

Nafissa : Le poids de leurs erreurs ont fait celle que je suis. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant