Chapitre 8

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Point de vue de Enzo Stark

J'observais Naomie de loin, elle se disputait encore avec le nouveau, Béné je crois. Depuis qu'il était arrivé il l'a suivait, elle s'énervait, ils s'engueulaient. Mais là elle s'énervait de plus en plus, je m'approcha d'eux et elle lui mis un méga coup de poing dans la tronche. Elle était fille de rage, elle allait lui bondir dessus comme une lionne féroce. Alors je l'ai attrapé et je l'ai emmené plus loin. Et on passés la journée ensemble et j'ai réussi à faire redescendre sa rage. Et j'en étais sûr après cette journée, c'était bizarre mais je l'aimais. Je crois bien que je l'ai aimais des la première seconde ou je l'ai vu.

Le lendemain

Comme hier nous avions passés la journée ensemble dès que je me suis levé j'ai étais voir Naomie mais je semblais la souler plus qu'autre chose. Alors elle m'a envoyé bouler avec cette phrase à la noix du genre ne m'aime pas sinon tu va crevé blablabla. Tu parle quand hier elle avait besoin de moi là elle m'envoyait pas bouler, mais bon je l'aime donc j'ai sortis cette phrase complètement débile, en gros machos. Et là cela se voyait dans son regards qu'elle voulait s'enfuir ou me trucider sur place mais je préfère la première option alors je les laissé partir vers la cellule de Donald et du nouveau.

C'est con, mais comme je la voyais pas revenir je me suis inquiété. Alors au risque d'une embrouille je me suis approché et la, je les vue, évanouie à côté du cadavre de Béné. Donald dormait encore. Je me suis précipité vers elle, je les pris dans mes bras en lui disant de s'accrocher même si cela ne servait à rien. J'ai couru, Naomie dans les bras jusqu'à l'infirmerie. Je n'avais pas vraiment le droit mais rien à foutre, j'irai à l'isolement si vraiment il le faut tant pis.

L'infirmière est affirmative c'est un malaise comme post-traumatique causé par la découverte du corps de Béné. Je ne l'ai pas lâchée de la journée. J'avais glissé sa main dans la mienne et je suis resté, là, des heures à regarder son visage si sublime et terrifiée, à la fois si magnifique et apeuré. Elle parlait dans son sommeil, je crois qu'elle parlait de son père, de drogue, de rendez vous secret et de Béné. Elle pleurait aussi dans son sommeil et je voulais tellement qu'elle arrête je voulais la prendre dans mes bras, la réconforter mais c'était impossible.

Elle se réveilla seulement le lendemain, en pleure. Elle arracha la main de la mienne et elle ne parla pas. Le lendemain de revenu, elle n'avait pas bougé, elle était toujours repliée sur elle même, le corps secoué de sanglots. Quelque chose c'était brisé en elle. Pourtant tout les jours je revenu et toutes les journées je restais là, assise à la regarder impuissant. La seule chose que j'arrivais à faire c'était la faire manger, c'était bien compliqué une bataille continue, j'ai du un jour lui parler.

«- Que tu ne parle pas okay! Que tu ne bouges pas okay! Que tu pleure toute la journée okay! Mais que tu ne manges pas non! Alors toi et moi on va faire un deal. Tu mange au moin le midi et moi je continue à ne pas te faire chier okay?
- Okay.»

Okay le seul mot qu'elle décrocha de toute la semaine. Et là seul fois où elle bougea vraiment bien ce fut quand Donald venu la voir. Je ne l'avais pas prévenu de ne pas la toucher, il a essayé et il c'est reçu un verre dans la gueule. Il n'a pas dû apprécier il n'est jamais revenu.

Après une semaine, je me suis dis que le seul moyen de retrouver l'ancienne Naomie serait de lui faire quitter l'infirmerie. Ce qui n'était pas une tâche facile. Il fallu toute la force de persuasion et que je sois borné et insistant mais ces barrières avait fini par céder et elle avait acceptée de sortir.

The RevengeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant