Chapitre 2 : Ma première journée au lycée.

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Deux semaines sont passer et c'est le jour de la rentrée. Loïc était devant le portail et m'attendais.

- Bisous tout le monde !

Je cours vers la voiture et monte.

- Salut mon cœur.

Il m'embrassa. En 15 minutes on était arrivé devant le lycée.

- T'inquiète pas ça va bien se passer. Tu sais moi sa c'est très bien passer quand je suis arriver ici.

- Ouais, mais on est pas pareil Loïc.

Il m'ouvrit la porte. Je ressert mon sac sur mon dos.

- Je t'emmène au bureau et après à toi de te débrouiller d'accord ?

- Okay.

En vrai je n'étais pas vraiment confiante. En entrant, tout les regards se sont poser sur nous enfin sur moi. La petite nouvelle. Au bras d'un dernier année.

- Voilà mon cœur. Tu demande ton emploi du temps.

- D'accord.

- Aller bisous, je serais devant ta classe pour le déjeuner.

- Merci.

Il m'embrassa et parti, je frappa et demande mon emploi du temps.

- A quel nom ?

- Blacks. April Blacks.

Elle tapa sur son clavier et imprime mon emploi du temps.

- Merci.

- Attendez.

Un garçon entra dans le bureau en rigolant.

- Messieurs Summer...

Je me tourne et vis le garçon de la dernière fois, avec son groupe, enfin là, il était tout seul.

- Salut ma jolie.

Il me regardait.

- Messieurs Summer, voulez-vous aller en cours avec mademoiselle Blacks.

- Pourquoi ? Demanda t-il.

- Parce qu'elle est nouvelle, et que vous êtes dans la même classe, et il n'y a pas à discuter.

La dame parti. Il sorti a son tour, énervé. Je le suivi comme je pouvais.

- Arrête de courir !

Il se retourne et me plaque contre les casiers. Il n'y avait plus personne.

- Alors déjà, tu vas me parler autrement on est pas pote tout les deux.

Il était a deux centimètre de mon visage, je sentais son souffle contre ma joue.

- Si tu veux que je te parle bien tu n'as cas me lâcher les poignets, tu me fais mal.

Il se mit a rigoler, il me lâcha, et il ouvre une porte, sans même frapper.

- Messieurs Summer.

- Je vous emmène juste la nouvelle.

Il me tira par le poignet jusqu'au prof, il ferma la porte derrière lui. Je me sentais pas a l'aise.

- Bien mademoiselle ?

- Blacks.

- Aller vous asseoir près de mademoiselle Prescotte qui va lever la mains.

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