Chapitre 5 : Une parmis d'autres.

42 3 2
                                    

Nous sommes à la rentrer, mes vacances se sont plutôt bien passer, enfin, quand je n'allais pas chez Loïc, il était de plus en plus violent, mais il s'excusait après, il me disait qu'il n'était pas lui même, qu'il m'aime comme jamais il n'a aimer une autre personne. Je le crois. Qu'est ce que je peux faire d'autre ? Je suis en marche vers le lycée. J'étais a deux pas lorsque Ezra m'attrape l'épaule. Par peur je me retourne.

- Et du calme April, ce n'est que moi. Qu'est ce qu'il y a ?
- Je. Enfin. Je ne dois pas te parler. Désolé.
- Attends April ! Tu nous a évité pendant toutes les vacances alors qu'on est même venu devant chez toi, mais tu n'étais sois disant pas là.
- Ezra, laisse moi.

Je me retourne et vis Loïc, qui n'était pas content du tout, se qui me fais raidir de suite. Je marche avec une boule au ventre. J'avais des bleus un peu partout. Il me pris la mains et me la brouilla.

- Je t'avais dit de ne plus parler à d'autres garçons.
- Lâche ma main, tu me fais mal Loïc.

Il me lâcha et il parti vers ces pote. J'entre dans le lycée.

PDV Ezra.

Elle s'éloigne. Je la vois se raidir lorsqu'elle voit Loïc. Elle nous avait dit qu'elle lui avait pardonner et que depuis c'est l'amour fou. On a pas eu de nouvelle d'elle, nous sommes allés chez elle, ses parents nous ont dit qu'elle n'était pas là mais lorsqu'on est monter sur nos motos elle est sorti sur son balcon pour nous regarder. Je les vu, Matt et Reed aussi. Mais elle est bizarre. Je lui ai à peine toucher l'épaule qu'elle a eu peur. Je dois en parler avec Reed. Mais il va s'emporter. Je cours dans le lycée à sa recherche. Je la vois devant son casier. Elle n'est plus la fille qui pétiller. La lueur dans ses yeux c'est éteinte, pourquoi ? Je m'approche d'elle.

- Ça va ? Je lui chuchote presque.

Mais même ça, sa l'a fait sursauter, elle était des ses pensée.

- Ezra. Je. Tu. Enfin. Laisse moi.

Elle ferme la porte de son casier et pars mais je la rattrape.

- Est ce qu'il y a un problème April ?
- Non. Laisse moi !

Elle avait dit sa avec une grosse voix.

- April je...
- Qu'est ce que tu n'as pas compris dans la phrase laisse moi ? Merde tu es con ou c'est comment ? Abruti !

Elle criait. Avec des larmes dans les yeux. Elle parti dans sa classe. Je me retourne et vis Loïc. Il passe a côté de moi.

- Laisse April tranquille.
- Qu'est ce qu'elle a ?
- Rien, en ce moment elle n'est pas bien.

Et il parti dans une autre classe. Il y a quelque chose de bizarre. Je dois en parler avec les garçons, sa devient important.

PDV April.

Je suis dans ma classe. Assise au fond. La prof entre avec tout les autres élèves. Sydney s'assoie a côté de moi. C'est devenu ma meilleure amie de Los Angeles. On se disait tout, enfin je lui disais tout sauf se qu'il m'arrive avec Loïc. On parle tout les soirs au téléphone. Même lorsque je suis chez Loïc. Grâce à elle je m'évade un peu plus de cette situation. C'est mon rayon de soleil. Reed entre avec les 4 autres garçons.

- Messieurs Summer, je ne peux accepté vos amis dans mon cours.
- On ne vous demande pas votre avis.

Ils s'assitent sur les chaises restante. La prof ne dit rien. Elle commence son cours. J'écoutais attentivement lorsque Reed se retourne vers moi.

- Comment tu vas April ?
- Mais merde laissé moi !
- Mademoiselle Blacks vous voulez participer ?
- Non madame.

Je baisse la tête. Même mon cou me fait un mal de chien. Les deux heures ce passa rapidement. Dès que la sonnerie retentit je sors directement de la salle. Pour vu qu'il ne m'a pas vu !
Après les cours Loïc m'attendais avec sa cigarette à la bouche.

- Mon cœur a tu mis mon bracelet ?
- Oui.

Depuis qu'il me l'a offert je dois l'avoir h24 sur moi. Il regarde mon poignet et sourie. Les élèves partaient.

- En silence.

Je ne savais pas de quoi il parlait, mais il soulève ma manche droite et écrase son mégot sur ma peau. J'avais mal, très mal. Mais aucun bruit sors de ma bouche. Une larme coule suivi de plusieurs d'autre. Son mégot éteins, il rallume une cigarette et jette la fumer sur mon visage.

- Écoute petit cœur. Lorsque je te dis aucuns garçons, c'est aucuns garçons. Sois heureuse que j'accepte Sydney.

On resta là, pendant encore 10 minutes et il écrase une nouvelle fois son mégot sur mon bras. Je pleurais, oui je pleurais mais aucun son.

- Bien, maintenant à chaque fois qu'un garçons te parle j'écraserais un mégot sur ton corps.

Il me remet ma manches et me balance dans sa voiture, il me dépose devant chez moi. Il n'y avait personne. Je mis mes écouteurs et ma musique, se qui sauve mon cœur. Je mis Uncover de Zara Larsson. Des larmes coulaient sur mes joues, je retire ma veste et mon t-shirt, j'avais deux ronds rouges, noirs sur mon bras. J'ouvre le placard à pharmacie, je cherche une crème contre les brûlures. Je la trouve enfin, mes larmes coulent encore. J'applique la crème en serrant les dents. Je range la crème dans le tiroir de ma table de nuit. J'en aurais encore besoin. Peut être.

Grâce à eux.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant