Chapitre 17 : Une limite à ne pas dépasser.

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PDV April.

Nous sommes Vendredi, nous attendons pour rentrer mais en deux minutes on a tous repris nos places.

- Bien. Commençons. Repris le juge. Maître Glane.

Elle se lève. Et demande Jared à la barre. Il lui font le serment de la vérité.

- Bien, Messieurs Brown. La dernière fois on a parler d'une gifle.
-  Oui.
- Vous êtes d'accord de ce geste ?
- Oui, j'étais là, comme tout le groupe sauf Caroline et Sydney.
- Vous avez vu la gifle bien sûr ?
- Non. Mais April ne mentirait jamais.
- Donc, cette gifle est dit.
- Et faite madame.

Il faisait sérieux.

- Selon elle. J'ai fini.

Elle se rassoie et mon avocat se lève.

- Qu'est ce que vous avez fait lorsqu'elle vous a dit que Messieurs Peter a fait ce geste ?
- Rien. Enfin, on était tous en moto et nous nous sommes arrêtés, on était tous choqués de tout ça, enfin de ce qu'elle nous a dit.
- D'accord. Et après vous vous êtes amusés comme si de rien n'était ?
- On a voulu l'aider. Passer une soirée sans problème.
- Bien. Merci Messieurs Brown.

Il se lève et retourne derrière moi en me fessant un sourire. Puis c'est le tour d'Ezra.

- Bon, qu'est ce qui vous fait dire que mon client n'était pas bien pour April ?
- Je vais vous dire la vérité vu que je viens de faire votre serment. Cette fille est un amour. Elle ne ferra pas mal à une mouche. Une fois je l'ai vu dans les quartiers pas très fréquentables si vous voyez ce que je veux dire. Elle donnait un sachet et l'autre de l'argent. Puis elle cours vers une voiture où il y avait votre client comme vous dite. Il lui prend l'argent et après je suis partie. J'ai voulu la contacter sans que votre « client » ne le vois. Je l'ai trouvée bizarre et changée . J'ai donc donné rendez vous à Loïc pour son sachet et j'avais raison, elle était là. Quand elle m'a reconnu, j'ai vu de la peur dans son visage. Je lui est donner l'argent mais je n'est pas pris le sachet. Je lui est chuchoter doucement « Il y a un mot dans les billet ».
- Et le mot ?
- Je lui avait dit que Caroline allait lui proposer un moment entre fille et qu'elle va devoir accepter.
- J'ai fini.

Mon avocat se lève.

- Et le lendemain ?
- Caroline est bien évidemment venue voir April, elle allait accepté comme prévu mais Loïc est arrivé et a décliné à sa place. Caroline nous avait dit qu'elle avait peur de lui. Dans ces yeux ça se voyer.
- Et du coup, elle n'a rien fait ?
- Qu'est ce que vous voulez qu'une fille seule fasse contre un mec qui frappe sur sa copine ?

L'avocate se leva.

- Votre honneur ce propos est inacceptable.
- Monsieur Camer voulez vous reprendre correctement s'il vous plais.
- Qu'est ce que vous voulez que Caroline fasse contre ce mec ?
- J'ai fini.

Il écrit des notes encore une fois. Puis Matt monte.

- Que pouvez vous dire la dessus ?
- Vous savez. April, est calme oui, mais si on la met en pétard vaut mieux pas s'en approcher mais elle ne frappe personne. Elle est douce.
- Comment pouvez vous nous le prouvez ? Un exemple ?

Il me regarde droit dans les yeux.

- Je suis désolé April.

Quoi ? Désoler de quoi ?

- Vous savez, elle avait un chat...

Voilà pourquoi il s'excuse débile !

- Minou. C'était le sien. Je ne sais pas pourquoi elle était attachée à cette boule de poile. Mais c'est devenu notre mascotte, depuis qu'il avait fait ces besoin sur les affaire de Kylian je crois. Elle l'aimait plus que tout au monde.
- C'est bien mais d'où c'est un exemple monsieur Statisme ?
- Malheureusement  ce matou est parti en début de semaine, et vous savez, elle n'est pas venue en cours. Elle nous avez rien dit. Mais nous, on c'est inquiétés. Reed a pris sa moto et nous sommes tous allés chez elle. On l'a retrouvé par terre devant une pierre, son collier dans la main. Elle n'était pas bien.

Des larmes coulent sur mes joues.

- On a fait nos adieu à ce chat et là Reed la attrapé et la jeter dans la piscine. Vous savez ce qu'elle a fait ?
- Non ?
- Elle a rigolé. Elle nous a éclaboussés. Mais est ce qu'elle nous a tapés ? Non.
- J'ai fini.

J'essuie mes larmes d'un revers de manche et mon avocat était déjà devant.

- J'aurais qu'une question à vous poser. Quand elle vous a vu comment elle a réagis ?
- Elle nous a regarder, et plus un mot, mais nous avons parler, comme j'ai dit, on a fait nos adieux.
- Merci.

Juliette passa à la barre, aujourd'hui tout le monde devait passer.

- Mademoiselle Black, votre sœur vous a dit quelque chose ?
- Non. Elle n'a rien dit.
- Et donc pourquoi s'inquiéter ?
- Moi j'ai une question. Si vous avez une petite sœur. C'est la prunelle de vos yeux. Et vous la voyez, s'assombrir, qu'est ce que vous faites ?
- Nous parlons pas de moi, mais de votre sœur.
- Je suis désoler, mais je ne sais pas comment vous l'expliquer alors.
- Bien.

Elle s'assoie.

- Mademoiselle Black. Vous dite s'assombrir ?
- Oui.
- C'est à dire ?
- Elle ne mettait plus de robe, ni de jupe. Ses cheveux une vraie pagaille, alors qu'elle fait toujours attention à sa touffe. Elle ne se maquillé plus. Est ce que vous la voyez maquillé aujourd'hui ?

Il se retourne.

- Non.
- Voilà, parce que ce Ty, enfin Loïc, l'a bloquer. Elle ne voyait plus que lui et du jour au lendemain le groupe de jeune arrive il y a un problème.
- Bien.

Maylis prend place.

- Vos deux petites sœurs se ressemble beaucoup.
- Et qu'est ce qu'il y a à avoir avec le procès ?
- Avez vous aussi la même opinion ?
- Nous sommes un trio. Peut être pas toujours en accord, mais nous sommes des sœurs, des sœurs ne se mentent jamais. Je suis sûr qu'April a eu trop honte pour pouvoir nous en parler.
- Je n'est plus rien à dire.

Au tour de mon avocat.

- Vous la décrivez comment votre sœur ?
- Un être doux, chiante parfois, mais avec un grand cœur, elle sera toujours là pour ses amies et famille. Elle a toujours était là pour toi.

Elle se dirige vers Loïc qui l'a regardait.

- Bien merci

Jacob et Eliott sont passer vite. Pas trop de question à part sur l'histoire de l'hôpital, Sydney est passer mais n'est pas rester longtemps, elle a juste dit que nous parlions beaucoup le soir et qu'elle me trouvait bizarre comme un peu tout le monde, puis après elle est retournée derrière moi. Les parents de Loïc sont aussi passer. Ils ont étaient questionnés comme tout le monde. 

- J'aimerais voir Reed Summers.

Ils se lève en me regardant. Il fait le serment.

- Monsieur , qu'est ce que vous avez fait pour mademoiselle Black ?
- J'ai chercher plusieurs solutions pour lui parler et...
- Mais pourquoi ne pas lui parler en face ?
- Parce qu'elle refusée , mais je suis sûr qu'elle le voulait je peux continuer ?
- Bien sûr.
- J'ai eu des rendez avec ces sœurs et beau-frères. Nous avons pris des centaines de café autour d'une table pour parler de son comportement. Je suis même aller voir son médecin, je lui ai posé pleins de questions, mais elle n'a pas voulu me répondre parce que je n'étais pas de la famille, je m'inquiétais vraiment pour elle.
- J'ai fini.

Mon médecin ? Il est sérieux il a était trop loin.

- Monsieur Summers. Qu'est ce que vous avez trouver ?
- Rien malheureusement.
- Bien. J'ai fini.
- Le procès se terminera Vendredi prochain.

Tout le monde se lève. J'étais à moitié énervée contre lui. Il n'avait pas à faire ça. Je rentre chez moi, je ne lui est même pas répondu quand il m'a dit au revoir. Pour moi la limite d'aller voir le médecin d'une personne est un peu trop oser.

Grâce à eux.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant