Chapitre 11 : Un poid en moins.

45 4 2
                                    

Je ne sais pas quoi faire, ou dire, je m'installe à côté de Jacob.

- Alors, enfin, ça ne vous dérange pas qu'il y est tout ce monde.
- Non, ce sont ses amis, ses sœurs, et son petit copain.
- Bien, alors elle a perdu pas mal de sang, elle a du se cogner la tête lorsqu'elle c'est laisser couler. Celui ou celle qui la sorti de cette baignoire la sauvé de justesse. Elle y serait resté encore 1 minute elle ne serait plus de ce monde. On a réussi à stoppé le sang. Elle est réveiller, vous pouvez aller la voir, mais pas en groupe, cela pourrait la fatiguer. Et j'ai un mot de sa part aussi.
- Qui est ? s'impatiente sa mère.
- Elle ne veut pas voir un certain Loïc. Mais demain oui.

Tout les regards vont sur ce gars.

- Vous savez pourquoi ? Demande-je.
- Non. Je vous propose sa famille d'abord et après ses amis.
- Bien. Répond Caroline.

Sa famille parti mais nous restons immobile.

- Tu peux rentrer chez toi mon gars. Dis-je
- Me parle pas comme ça sous merde.

Il se rapprocha de moi, mais comme si il me faisait peur. Mon groupe resta derrière.

- Je la verrai demain de toute façon.

Et sur ces mots il parti. Nous sommes restés plus d'une heure assis à attendre. Je m'étais endormie. Une mains me presse l'épaule. J'ouvre les yeux et vis Jacob.

- Vous pouvez y aller. Elle n'a rien dit.

Je me relève directement. Ils étaient déjà près d'elle. Je frappe à la porte et entre. Je regardais tout le monde, mais une seule paire de yeux me captive. Ses yeux à elle.

- Salut Reed. Me dit elle.

Rien que sa voix me mets les larmes aux yeux. Je me penche pour la prendre dans mes bras. Elle me sert aussi fort qu'elle peut mais pour moi sa me donne l'effet d'une plume. Je me redresse.

- Plus jamais tu ne me fais ça April, plus jamais.

Elle se mit à rire. Mais je ne riais pas.

- Vous auriez dû me laisser partir...

Ses mots mon toucher. Mon cœur est gros comme une baleine.

- Jamais ! Cria Sydney.
- Tu es complètement folle. Repris Ezra.
- Et qui me botterais le cul ? Demande Kylian.
- Tu rêve. Rétroque Caroline.

Elle se met à rire. Nous parlions, mais elle ne dit rien sur lui. Tout le monde sort, mais moi je reste là, à la regarder. Je ne veux pas faire autre chose.

- Reed...
- April ?
- Ma mère m'a dit que c'est toi qui a défoncé ma porte de ma salle de bain.
- ...
- Alors j'aimerais que tu me repaye une porte, parce que jamais je pourrais me laver sans porte.

Je me mit à rire et elle aussi, mais elle toussait. Je lui tends un verre d'eau. Elle le boit avec difficulté.

- Tu devrais y aller, ils vont t'attendre...
- Je peux rester encore un peu ?
- Bien sûr.

Je m'assois sur la chaise qui se trouva à côté de son lit. On se mit à parler. On parlait de son chat. Minou. Je savais très bien que ce sujet là aller la remonté. On débattait sur l'intelligence des chats. Elle n'était pas d'accord, mais j'en faisais exprès. J'aime la voir sourire. Enfin, jusqu'au moment où un médecin entra.

- Bonsoir mademoiselle Blacks.
- Bonsoir. Répondit-elle

Il regardait son dossier.

- Mademoiselle, je suis désolé mais je suis obliger d'informer les autorité.
- Pourquoi ?
- Vous avez fait une tentative de suicide. Je suis obligé.

Grâce à eux.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant