Chapitre 11

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Après ce long chemin remplie de "Bonjour" et de petit chuchotement à mon égard, nous arrivâmes devant le chalet le plus grand du village. Celui là était plus moderne que les autres mais toujours aussi chaleureux. Sa carrure bien qu'imposante restait chaude grâce au bois qui l'entourait.
Je restais derrière Mathéo et je ne le quittais pas des yeux. Mon esprit était torturé par d'innombrables questions auxquelles je ne savais même pas si il allait me répondre vu le temps qu'il prend pour me faire attendre. Lorsqu'il s'arrêta devant l'énorme chalet, je compris que c'était chez lui ce qui dans d'autres circonstances m'aurait fait peur puisque rentrer chez un homme c'est dure pour moi mais en plus un inconnu et surtout mon prof. Mais qu'est ce qui c'est passé pour que j'en arrive là ? Et encore je crois que lorsque je connaîtrai la vérité, je serais dans un pire état.
Il me coupa de mes penser en toussant et je vis qu'il me tenait la porte et qu'il attendait que j'entre mais à cause de mes pensées je suis resté tétaniser sur le paillasson. Je dois vraiment apprendre à penser et agir en même temps. Mais je me repris vite surtout en voyant le visage pâle et froid de Mathéo. Il m'inquiètais énormément entre sa larme dans le bus jusqu'à ce regard fuyant et surtout froid. On entra dans ce qui me semblait être son bureau puisqu'il s'était assis sur le fauteuil centrale devant le bureau. Je m'assis alors sur le canapé d'en face en le regardant droit dans les yeux. Il restait sur son fauteuil la tête baissée mais il ne se décidait toujours pas à me répondre. Ma passience avait déjà atteint ses limites il y a presque une heure devant le loup alors je n'allait pas attendre une minute de plus.

"Maintenant tu vas m'expliquer ce qu'il se passe. Dis je agacé.

Il releva la tête, me vit, rebaissa les yeux et enfin commença à s'expliquer.

-Je vais te le dire mais écoute moi jusqu'à la fin s'il te plaît.
- J'attend.
-Quand il faut ce lancer. Tu vois le village et ces habitants.
-Oui ben quoi.
-Nous sommes des loups-garous.

Ma mâchoire ce décrocha de mon visage. Je devint pâle. Jai vécu toute ma vie dans l'inconnu. Ce n'était pas possible. Ce n'était pas possible.

-Ce n'est pas tout.

Je restais tétaniser bien que surtout terrifié de ce qu'il a dit mais aussi de ce qu'il allait dire.

-Je suis ton âme-soeur.

Je regardais le vide. Je ne sentais plus mon corps. J'étais pétrifié. J'étais glacé. Je n'arrivais plus à réfléchir. Dans ces cas-là la plupart des personnes fuient, et bien c'est mon cas. Je sais ce n'est pas courageux mais comprener moi, je ne suis pas une héroïne courageuse. Mon "AME-SOEUR" ne bougeait pas et restait la tête baissée alors que je me lèva, pris mes affaires et partie vers la porte. Je me mis à courir vers ma maison à toute vitesse, je ne faisais pas attention aux branches qui me fouaitait le visage, ni même au nombre de fois que je suis tombée. Courir était mon seul objectif, non en vérité c'était fuire. J'arrivais devant ma maison. Le visage et les jambes pleine d'égratignurent et de plaies mais je m'en fichais bien. J'entrais en trombe dans la maison. Mais j'avais oublié un truc, un truc très important. Ma mère.

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Désolé pour les fautes et pour le retard. J'ai dû écrire en vitesse ce chapitre mais je le corrigerai, plus tard. J'aurais voulu en faire un plus grand pour mon retour mais je n'ai pas de temps comme toute ado normale. Je suis une piètre auteure pour vous faire attendre comme ça. J'espère que vous allez aimer ce chapitre malgré les fautes. En plus on va bientôt atteindre les 900 vues et donc bientôt les 1000 ! Alors je vous demande qu'est ce que vous voulez que je fasse pour les 1000 ? Vous pouvez tout demandé ! J'attends vos réponses avec impatience.

Âme sœur de mon profOù les histoires vivent. Découvrez maintenant