Média: Sue Bennett.
Je les suis et je me demande si je ne suis pas un peut folle de suivre des Maoris sauvage, je ne sais pas a quel époque j'ai atterri, si il son encore hostile, ou cannibale. L'homme qui ma parler semble être le chef du groupe, ont avance a travers la forêt et il semble être sur leur garde. Je me racle la gorge et il tourne son regard noir vers moi.
_ Ou allons nous?
Il ne comprend pas se que je dit et je ne suis pas sur de comment le dire dans leur langue... Je montre du doigt, l'est, l'ouest, le nord et le sud puis lève les mains en signe d'interrogations. Il regard ses autre homme peut être pour demander s l'un d'entre eu a compris ma mimique. Je cherche dans ma mémoire comment ont dit déjà...
_ Eu.... ranei haere ki a tatou (ou aller nous.)
Je prononce les mots avec beaucoup d'hésitation. Il se mettes a rigole, je crois que la manier don je parle les amuse ou alors ses peut être l'accent que j'ai quand je parle leur langue. En tout cas celui qui les dirige s'avance vers moi et parle de manier lente afin que je comprenne.
_ i roto i te pa taiepa (Village fortifier)
Je fait une grimasse, car je ne comprend pas tout les mots, il s'abaisse et dessine sur la terre, je crois reconnaître une sorte de village.
_ Oh, un village...
_ Village?
Je lui montre du doigt le dessin en sourient et répète le mots. Il acquise de la tête et reprend la route. Au bout d'une demi heure de marche, ils fond une pose et mange quelque chose don je ne serais reconnaître, leur chef s'avance vers moi et me temps se truc. Je n'ose pas le refusé de peur de le vexé, je regarde cet espèce de bout de viande séché, ont dirait du poisson, voyant que je ne mange pas, il me fait signe de manger et tape sur son ventre. J'ai envie de rigolé a sa, mais m'abstiens, me contentent de sourire et de croqué un bout....
_ Pas mauvais... C'est bon.... eu... qu'es que c'est?... He aha te mea? ( c'est quoi).
_ ika. Dit-il en miment un poisson avec ses mains.
_ ika, poisson...
Je lui sourit et continue a manger, jusqu'ici il n'ont montré aucune traces d'hostilité, et j'espère que sa continuera, durent la pose les autre mime des animaux ou les dessin et me demande comment j'appelle sa. Certain mots les font beaucoup rire. Je ne sais toujours pas comment il s'appelle, je me montre et prononce mon prénom puis tourne ma mains vers lui... Il regard ma mains avec curiosité, je recommence et il fini par me répondre.
_ Je m'appelle Sue. Et toi?.... Sue...
_ Ko taku ingoa ko Taane ( je m'appelle Taane.)
_ Enchanté Taane et eux?
Il tape sur chaque épaule et dit leur nom, je n'ai pas tout retenu, il ont tous des prénom très étrange, il y a Ranga, Haka, Kaha et je crois que c'est a peut près les seule que j'ai retenu, il sont plus d'une vingtaine et c'est pas facile de retenir tout sa. Ont reprend la route, et si il n'avait pas tous une arme a la mains, près a tuer. Sa aurait était une charmante promenade, Quand ont arrive a un endroit, Taane tend le bras et tout le monde s'arrête. Tous prennent une positions d'attaque, m'entourent en leur centre. Taane, se tourne vers moi et me fait signe d'aller vers les buissons. Je lui obéi ne sachant pas se qui se trame. Il me fait signe de me baisser.
_ Huna i muri i te ngahere, kaua e neke atu kia tae mai ra ano koe. (Cache toi derrière les buisson et ne bouge plus avant que l'ont revienne.)
Je n'ai rien compris a se qu'il viens de me dire, mais je préfère restais ou je suis, je vois les homme s'avancer vers l'autre coté et je fini par entendre des cri terrifiant, des hurlement. Dans quoi je me suis embarqué??? Pourquoi il a fallu que je remonte jusqu'à cette époque en sachent que les Maoris son dangereux... Au bout de long minute qui me semble interminable, j'entend des pas venir vers moi. Je me suis reculé au plus profond du buisson, Je vois quelqu'un se pencher et reconnais Taane, Je suis apeuré et n'ose pas bouger. Il me tend sa main, mais quand je vois qu'elle est couverte de sang, je n'ose pas la prendre.
_ Haere mai ... Kahore he wehi ki a koe, kua mate ratou. (Viens... Tu n'a plus rien a craindre, ils sont morts.)
Je ne comprend que les deux premier mots, qui signifie "Viens". Je prend sa main, elle et grand et chaude a coté de la mienne, il m'aide a sortir de mon trou et je reste presque coller a lui. Quand je vois les corps gisent par terre, je pousse un cri et colle mon visage a son torse. Sentent son odeur, un mélange d'homme et de sang. Il pose sa main sur mon épaules et les désigne.
_ Ngãti Whãtua ko to tatou hoariri. ( Ngãti Whãtua sont nos ennemis.)
_ Je suis désolé, je ne comprend pas se que tu me dit... Si j'était a mon époque j'aurais utiliser un traducteur, que j'aurais placer dans mon oreilles, il aurait traduit tout se que tu me dit...
Il rigole, a se que je dit. Je suis consciente qu'il ne comprend pas se que je dit, alors je me joins a lui et rigole.
_ Kei a koe nga kanohi o te tae o te moana. (Tu a les yeux de la couleur de l'océan.)
Je fronce les sourcils, ne comprennent pas et il me montre ses yeux, puis les miens...
_ Oui, j'ai les yeux bleu... Et les tien son noir... Noir... Bleu... Dit-je en montrant nos yeux tour a tour.
_ he rite ki te moana, e hiahia ana ki te pupuhi. (ont dirait l'océan, ont a envie d'y plonger dedans).
_ Je sais pas se que tu dit, mais je vais prendre sa pour un compliment, enfin j'espère.
Je vois les autre guerrières se tourné vers nous et murmuré dans leur langue des chose entre eux, puis rigolé. Taane, leur dit quelque chose et ils se taisent tous. Je fronces les sourcils en me retenant de rire. Au bout de d'un moment, ont arrive face a un lac, ou ils en profite pour se nettoyer. Je m'assoie sur un rocher et sort mon carnet, commencent dessiné les guerrières. L'un deux viens vers moi et me montre mon carnet. Je viens juste de finir le dessin, et il semble étonné de voir se qui s'y trouve, il attire les autre qui regard se que je fait. Au loin, je vois le regard de Taane sur moi. J'aimerais bien savoir a quoi il pense. Je sourit quand il prononce mon prénom, au lieu de dire sue il dise chou. Je trouve sa mignon.
_Waiho!!! (Ont repart.)
Quand Taane cri se mots, les autre reprenne vite leur sérieux, attrapent les affaire, il commence a avancer vers le nord. Quand il me regard méchamment , je baisse la tête. j'ignore se que j'ai fait, Taane s'avance vers moi. Ne me quittent pas des yeux, il me prend mon carnet et regarde chaque pages, beaucoup de mes dessin lui son étranger car se que j'ai dessiné n'existe pas encore ou leur sont inconnu. Il bloque sur la page ou j'ai dessiné un tigre. froncent les sourcils, puis il vois la page avec les guerrier.
_ Pehea koe e mahi ana? (Comment tu fait sa?) Me dit-il en me montrant les feuilles.
_ Se sont mes croquis... Dessin.
Il me rend mon carnet et reprend la route, il me tien par mon bras. Ont rattrape les autres et il nous faut encore une bonne heure avant d'arrivait face a un village, je n'ai jamais vu sa. C'est un village avec une vingtaine de maison don une très grand en son centre. Quand les guerrier et moi entrons dans le village, tous me regard comme une attraction, certain vienne jusqu'à sous mon nez et rigole, les enfants tourne autour de moi en rigolent. Jusqu'ici tout va bien, Les guerrier commence a se dispersés pour embrassé leur femme et enfants.
Je continue a suivre Taane, en même temps pas trop le choix, il me tiens toujours par le bras. Quand il s'arrête face a un homme d'environs quarante, cinquante ans. Ils parles entre eux, me jettent des regard de temps a autre. Quand l'homme me regard de la tête au pied, je lui sourit et baisse la tête en signe de respect... Il se tourne vers moi et parle, mais vu que je ne comprend pas, je me contente de lui sourire.
_Ko wai koe, no hea koe? (qui es tu et d'ou viens tu?)
_ Je suis désolé, je ne comprend pas bien votre langue... Mais j'apprend vite.
_eu.... Kaore ahau e korero Maori... ( Je parle pas Maoris). eu... he iti... (un peu)
_ Kei te pai koe... ( tu t'en sort très bien.) Me dit-il sourient.
Il parle a nouveau a Taane, celui-ci me demande de le suivre... Avec un physique pareille, je le suivrait bien n'importe ou...
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Un amour a travers le temps. (à corriger)
RomanceLe temps est une graine de poussière que l'on ne peut saisir. Il suffit d'un clignement d'œil pour qu'une vie soit finie, un claquement de doigts et une page tournent, pour qu'une autre s'ouvre. La vie ne dur qu'un temps, on nous la donne pour mieux...